Note de la fic :
Publié le 04/08/2010 à 14:12:33 par Games
Chap. 4 :
(A écouté pendant le premier paragraphe et plus si vous voulez : )
Une noirceur sans fin. Un trou béant dans mon esprit. Un choc dans mon torse. Une décharge puis une explosion. La vie ne s’achève que quand on a vus la mort en face et que celle-ci nous entraîne loin de toute chose qui nous sommes cher. La mort, voilà un bien triste nom, qu’il soit commun ou propre. Elle fait frissonner bon nombre de mortel et le pousse à rebrousser chemin rien que pour sa survie. Il se retourne et entend des murmures sombres et glacés. Quand on a entendus la mort, le seul moyen, c’est de sombrer dans la folie. La mort nous prend chaque jour des éléments essentiels de notre âme pour s’en servir contre nous et détruire notre misérable vie d’humain.
Je me réveillai, encore une fois, sous le couvert d’une tente. Une toile grise et morose comme le temps. Je levai ma tête. Je n’avais plus l’armure mais mes armes étaient posées sur une table à côté.
« Lieutenant rasseyez-vous s’il vous plaît »
J’avais été surpris. Lieutenant ? Aussi gradé ? Je devais avoir fait l’école d’officier alors.
« Vous n’êtes pas encore totalement reposé. Il vous faut un peu de temps »
« C’est-à -dire ? »
« Eh bien … une à deux semaines cela dépend »
Je me rallongeai. Les yeux ternes et vides. Une question existentielle vint à mon esprit :
« Vous êtes qui au faite ? »
Il me regarda un instant. Je le dévisageai aussi. Il avait une armure aussi mais sans casque. Quatre étoiles en argent sur un aigle surmontaient ses épaules et plusieurs rangées de médailles dont je reconnus : la medal of honor, la gold star et la médaille du service militaire. Américain ? Il avait aussi la médaille militaire, la légion d’honneur et n’avait pas un brin d’accent anglais.
« On ma dit aussi que vous aurez un choc post-traumatique donc on va un peu tout vous réexpliquez ce qui c’est passé depuis le début. Depuis le Grand Flash jusqu’à aujourd’hui. »
« Le grand… le … le grand flash … »
Vide. Voilà ce que je ressentais au moment où je chutais. 50 centimètre entre le haut de la table et le sol poussiéreux. Une chute interminable, infernale. Je sombrais dans les abysses du sommeil. Pour la troisième fois.
Une soudaine inspiration. Je me levai, fébrilement, et chercha du regard mon ordinateur. Il se trouvait sur le bureau en face de moi. Je le fixai paisiblement, un mal incompréhensible dans la tête. J’allumai l’ordi. Je tremblai tellement qu’il m’échappa des mains.
« No signal. Error system failure »
L’ordinateur s’éteignis dans un grésillement et une fumée blanche en sortis. J’allumai la tv, elle laguait mais j’arrivais à recevoir la seconde chaîne. Un gros titre en bas qui défilait :
« Menace planétaire : tempête solaire à seulement 500 000 kilomètre de la Terre »
La belle blonde des infos était en état de choc et elle fut remplacée par un mec à la peau mat :
« Veuillez nous excusez pour ce petit incident et vous prions de rester tranquille, de descendre dans vos caves et d’attendre la fin de l’alerte … »
A ce moment là , la télévision s’éteignit et j’entendis les sirènes d’. Je prenais le chemin de la cave mais j’obliquais vers la porte d’entrée. Pourquoi ? Je ne sais pas. Encore un mystère à résoudre avant la fin de ma misérable vie. Dehors, certain avait commencé le pillage et était rentré illico se barricader chez eux. Une chaleur immense se faisait sentir et un vent de plus en plus violent commençait à déferler sur la ville et sur le pays voir même sur la planète.
La tempête était là .
Devant moi.
Je sentais sa force et la regardais avec éblouissement. Elle allait bientôt m’atteindre. Une vague immense composée de feu et de cendre se tenait devant.
Je sentis le souffle mais pas assez pour me faire tomber. Je n’avais pas peur. Je ne sais pas pourquoi. Une explosion se fit entendre, comme un rugissement de lion que l’on défit dans les yeux, il est sûr que vous allez perdre donc il joue un peu avec vous.
La tempête me traversa.
Je tendis les bras, comme si j’étais crucifié, la bouche ouverte.
Un tourbillon m’emporta. Je ne sais pas où j’ai atterris mais je sombrais, inévitablement, dans le noir de la mort.
Celle-ci, on la connait. Chacun la connait. Chaque personne sur Terre la connait. Regarder la mort en face sans ciller est une preuve d’héroïsme car après on s’en souvient.
Dans nos rêves.
Dans la réalité.
(A écouté pendant le premier paragraphe et plus si vous voulez : )
Une noirceur sans fin. Un trou béant dans mon esprit. Un choc dans mon torse. Une décharge puis une explosion. La vie ne s’achève que quand on a vus la mort en face et que celle-ci nous entraîne loin de toute chose qui nous sommes cher. La mort, voilà un bien triste nom, qu’il soit commun ou propre. Elle fait frissonner bon nombre de mortel et le pousse à rebrousser chemin rien que pour sa survie. Il se retourne et entend des murmures sombres et glacés. Quand on a entendus la mort, le seul moyen, c’est de sombrer dans la folie. La mort nous prend chaque jour des éléments essentiels de notre âme pour s’en servir contre nous et détruire notre misérable vie d’humain.
Je me réveillai, encore une fois, sous le couvert d’une tente. Une toile grise et morose comme le temps. Je levai ma tête. Je n’avais plus l’armure mais mes armes étaient posées sur une table à côté.
« Lieutenant rasseyez-vous s’il vous plaît »
J’avais été surpris. Lieutenant ? Aussi gradé ? Je devais avoir fait l’école d’officier alors.
« Vous n’êtes pas encore totalement reposé. Il vous faut un peu de temps »
« C’est-à -dire ? »
« Eh bien … une à deux semaines cela dépend »
Je me rallongeai. Les yeux ternes et vides. Une question existentielle vint à mon esprit :
« Vous êtes qui au faite ? »
Il me regarda un instant. Je le dévisageai aussi. Il avait une armure aussi mais sans casque. Quatre étoiles en argent sur un aigle surmontaient ses épaules et plusieurs rangées de médailles dont je reconnus : la medal of honor, la gold star et la médaille du service militaire. Américain ? Il avait aussi la médaille militaire, la légion d’honneur et n’avait pas un brin d’accent anglais.
« On ma dit aussi que vous aurez un choc post-traumatique donc on va un peu tout vous réexpliquez ce qui c’est passé depuis le début. Depuis le Grand Flash jusqu’à aujourd’hui. »
« Le grand… le … le grand flash … »
Vide. Voilà ce que je ressentais au moment où je chutais. 50 centimètre entre le haut de la table et le sol poussiéreux. Une chute interminable, infernale. Je sombrais dans les abysses du sommeil. Pour la troisième fois.
Une soudaine inspiration. Je me levai, fébrilement, et chercha du regard mon ordinateur. Il se trouvait sur le bureau en face de moi. Je le fixai paisiblement, un mal incompréhensible dans la tête. J’allumai l’ordi. Je tremblai tellement qu’il m’échappa des mains.
« No signal. Error system failure »
L’ordinateur s’éteignis dans un grésillement et une fumée blanche en sortis. J’allumai la tv, elle laguait mais j’arrivais à recevoir la seconde chaîne. Un gros titre en bas qui défilait :
« Menace planétaire : tempête solaire à seulement 500 000 kilomètre de la Terre »
La belle blonde des infos était en état de choc et elle fut remplacée par un mec à la peau mat :
« Veuillez nous excusez pour ce petit incident et vous prions de rester tranquille, de descendre dans vos caves et d’attendre la fin de l’alerte … »
A ce moment là , la télévision s’éteignit et j’entendis les sirènes d’. Je prenais le chemin de la cave mais j’obliquais vers la porte d’entrée. Pourquoi ? Je ne sais pas. Encore un mystère à résoudre avant la fin de ma misérable vie. Dehors, certain avait commencé le pillage et était rentré illico se barricader chez eux. Une chaleur immense se faisait sentir et un vent de plus en plus violent commençait à déferler sur la ville et sur le pays voir même sur la planète.
La tempête était là .
Devant moi.
Je sentais sa force et la regardais avec éblouissement. Elle allait bientôt m’atteindre. Une vague immense composée de feu et de cendre se tenait devant.
Je sentis le souffle mais pas assez pour me faire tomber. Je n’avais pas peur. Je ne sais pas pourquoi. Une explosion se fit entendre, comme un rugissement de lion que l’on défit dans les yeux, il est sûr que vous allez perdre donc il joue un peu avec vous.
La tempête me traversa.
Je tendis les bras, comme si j’étais crucifié, la bouche ouverte.
Un tourbillon m’emporta. Je ne sais pas où j’ai atterris mais je sombrais, inévitablement, dans le noir de la mort.
Celle-ci, on la connait. Chacun la connait. Chaque personne sur Terre la connait. Regarder la mort en face sans ciller est une preuve d’héroïsme car après on s’en souvient.
Dans nos rêves.
Dans la réalité.
Commentaires
- guydark
18/08/2010 Ã 00:31:19
bon j'avoue, je pouvais pas attendre, j'ai lu la fin avant de me mettre enfin a dormir, je trouve ca tres interessant (sinon j'aurais pas tout lu )
j'attends la suite - Salmanzare
18/08/2010 Ã 00:00:16
Comment se fait-il que la suite ne soit toujours pas là !
J'attends - CrazyMarty
17/08/2010 Ã 15:14:16
Suite