Note de la fic : 
Un Rêve dans la Réalité
Par : Games
Genre : Science-Fiction
Statut : Terminée
Chapitre 10 : Lendemains Incertains
Publié le 21/08/2010 à 13:47:06 par Games
Un bon gros chapitre9 pour quelque révélation. J'aimerais que vous disiez si il y a des améliorations par rapport aux chapitres précédents (grammaire, scénario, orthographe,...ect) et si vous suivez toujours le déroulement de la fic. Voilà.Donc essayez de poster des commentaires CONSTRUCTIFS.
Bonne Lecture à vous.
Chap9 :
« Celui qui désespère des événements est un lâche, mais celui qui espère en la condition humaine est un fou. »
Un rêve mais une mort certaine. Une colombe mais un chasseur. Une interruption de tout les sens. J’ouvre les yeux. Le noir profonds et infini. Un visage familier devant le mien, une femme en robe blanche qui m’est inconnus.
« Vincent … »
Je ne réponds pas. Elle se détache de moi et je vois se dessiner sur elle un rictus horrible. Cela ne lui va pas, qu’est-ce qu’elle va me faire ? Une voix caverneuse me fait sursauter. Elle déploie ses bras semblable à des ailes de chauve-souris et se rue sur moi. Elle me déchiquette dans un terrible vacarme. Je hurle à la mort. Une longue plainte et des larmes.
L’obscurité de la chambre. Suis-je bien dans la N°547 du centre d’évacuation zone 1 ? Surement, car j’entends ronfler Harper à quelque pas de moi. Des larmes coulaient sur mes joues et venaient s’écrasées sur le drap qui était maintenant humide à cause de la transpiration et de mon cauchemar. Je m’assis sur le bord de mon lit, la tête enfoncée dans mes mains. Je me relevais tant bien que mal à moitié endormis encore. Je sortis de la chambre, exténué. Personne dans les couloirs, c’est sûr que je n’allais pas croiser grand monde à cette heure-ci. Mon inconscient d’humain décida que j’avais faim. Je me bougeais donc d’aller faire un tour à la cafétéria pour choper de quoi grignoter et pouvoir finir ma nuit tranquille.
Cela faisait déjà plusieurs minutes que je marchais au-hasard des couloirs. Rencontrant parfois un gardien qui avait fait l’erreur de tomber dans les bras de Morphée. Je passais le long de la partie administrative où il était interdit d’y entrait sans autorisation. Mais bon puisqu’on y est, on peut toujours froisser un petit interdit. L’entré se composer d’une passerelle métallique et d’une porte à détection infrarouge. Un lecteur de carte était accroché à côté de la porte. Merde ! Pour une fois que je pouvais aller y faire un tour. Mais un détail me sauta aux yeux : la porte était entrouverte. Je décidais d’aller voir. Me glissant lentement dans l’interstice de l’entré, Je me cachai derrière le bureau le plus proche de moi. Je pouvais voir un homme avec un pantalon de treillis et un sweat à capuche vert. Il était occupé à regarder des documents à huit ou neuf bureau de moi. Soudain, il releva la tête et s’en alla par l’entré opposé. Quelques minutes passèrent dans un silence profond. Je me convaincs de bouger lorsqu’une main m’agrippa le cou et me plaqua sur le sol. Une précision de commando que je ne tardai pas à reconnaître :
« Harper ? »
« Putain Vin’s tu m’as fait une de ces peurs, j’ai crus que je m’étais fait repéré »
« Mais qu’est-ce que tu foutais ? Tu sais très bien qu’on a pas le droit d’aller dans cette partie »
« Peut-être… Mais je connais la raison, allez amène-toi »
On sortit tout les deux de derrière le bureau. Une impression de crainte mais de curiosité recouvris mes pensées.
« Regarde ce que j’ai trouvé sur l’ordinateur de l’un d’eux il y a à peu près dix secondes »
Harper faisait la manip’ tout en me parlant. Le mail venait de la planète X22 par transmission satellite.
« Déclenchez la phase N°5 »
La seule phrase du texte. Même pas un « salut » ou un « ciao ».
« J’ai commencé à chercher en quoi consiste la phase N°5 mais tu es arrivé au mauvais moment. »
Il me sourit, je le lui rendis et il continua ses explications.
« Alors il me faut juste quelques secondes pour entré dans le serveur principal et … »
L’ordinateur s’éteignit et la grande lumière s’alluma. On entendit une personne applaudir. Nous nous tournèrent vers celle-ci : le professeur entouré d’une vingtaine de garde.
« Bravo ! Franchement, magnifique ! Inutile de vous décarcassez à hacker le serveur maintenant que je vous ai pris la main dans le sac, je vais tout vous expliquez. »
« Dit-moi pauvre merde, t’as besoins d’une vingtaine de tes sbires pour nous maîtriser mon pote et moi ? Je te croyais plus puissant que ça ! »
Le professeur ignora notre agression verbale et continua.
« Ainsi le consul à décrété la phase 5 ? Bien bien, je l’attendais avec impatience celle-là parce qu’on va enfin pouvoir s’amuser un peu après tant de décennies passé sous terre. »
Il eu un rire sadique, le genre de rire qui vous glace le sang en de tel circonstance.
« Ainsi donc Mister Harper ou… dois-je vous appelez Boris Stakhanov ? »
J’eu un temps d’arrêt puis me tourna lentement vers l’homme qui était à mes côtés.
« Me dit pas que… »
« Oui, mais laisse le finir tu comprendras pourquoi… »
« Donc, monsieur Stakhanov, vous voulez savoir à quoi correspond cette phase puisque c’est, je crois, le seul renseignement que vous et vos services secrets n’ayez pas. Pour faire en bref, c’est la dernière phase du plan. »
Harper… enfin Boris était crispé à cette annonce. Moi je ne pouvais pas comprendre, moi je n’étais qu’un simple soldat dans ce monde de grande personne.
« C’est donc la fin… »
Boris me regarda l’air triste. Il avait prononcé ces mots désignant la dernière phase.
« Monsieur Stakhanov, veillé à expliquer ce que représente cette ultime partie de l’histoire de notre humanité pendant le voyage en convois cellulaire. »
Le professeur interpella quatre de ses gorilles et leur donna l’ordre de nous emmener.
Serait-ce donc la fin ?
Bonne Lecture à vous.
Chap9 :
« Celui qui désespère des événements est un lâche, mais celui qui espère en la condition humaine est un fou. »
Un rêve mais une mort certaine. Une colombe mais un chasseur. Une interruption de tout les sens. J’ouvre les yeux. Le noir profonds et infini. Un visage familier devant le mien, une femme en robe blanche qui m’est inconnus.
« Vincent … »
Je ne réponds pas. Elle se détache de moi et je vois se dessiner sur elle un rictus horrible. Cela ne lui va pas, qu’est-ce qu’elle va me faire ? Une voix caverneuse me fait sursauter. Elle déploie ses bras semblable à des ailes de chauve-souris et se rue sur moi. Elle me déchiquette dans un terrible vacarme. Je hurle à la mort. Une longue plainte et des larmes.
L’obscurité de la chambre. Suis-je bien dans la N°547 du centre d’évacuation zone 1 ? Surement, car j’entends ronfler Harper à quelque pas de moi. Des larmes coulaient sur mes joues et venaient s’écrasées sur le drap qui était maintenant humide à cause de la transpiration et de mon cauchemar. Je m’assis sur le bord de mon lit, la tête enfoncée dans mes mains. Je me relevais tant bien que mal à moitié endormis encore. Je sortis de la chambre, exténué. Personne dans les couloirs, c’est sûr que je n’allais pas croiser grand monde à cette heure-ci. Mon inconscient d’humain décida que j’avais faim. Je me bougeais donc d’aller faire un tour à la cafétéria pour choper de quoi grignoter et pouvoir finir ma nuit tranquille.
Cela faisait déjà plusieurs minutes que je marchais au-hasard des couloirs. Rencontrant parfois un gardien qui avait fait l’erreur de tomber dans les bras de Morphée. Je passais le long de la partie administrative où il était interdit d’y entrait sans autorisation. Mais bon puisqu’on y est, on peut toujours froisser un petit interdit. L’entré se composer d’une passerelle métallique et d’une porte à détection infrarouge. Un lecteur de carte était accroché à côté de la porte. Merde ! Pour une fois que je pouvais aller y faire un tour. Mais un détail me sauta aux yeux : la porte était entrouverte. Je décidais d’aller voir. Me glissant lentement dans l’interstice de l’entré, Je me cachai derrière le bureau le plus proche de moi. Je pouvais voir un homme avec un pantalon de treillis et un sweat à capuche vert. Il était occupé à regarder des documents à huit ou neuf bureau de moi. Soudain, il releva la tête et s’en alla par l’entré opposé. Quelques minutes passèrent dans un silence profond. Je me convaincs de bouger lorsqu’une main m’agrippa le cou et me plaqua sur le sol. Une précision de commando que je ne tardai pas à reconnaître :
« Harper ? »
« Putain Vin’s tu m’as fait une de ces peurs, j’ai crus que je m’étais fait repéré »
« Mais qu’est-ce que tu foutais ? Tu sais très bien qu’on a pas le droit d’aller dans cette partie »
« Peut-être… Mais je connais la raison, allez amène-toi »
On sortit tout les deux de derrière le bureau. Une impression de crainte mais de curiosité recouvris mes pensées.
« Regarde ce que j’ai trouvé sur l’ordinateur de l’un d’eux il y a à peu près dix secondes »
Harper faisait la manip’ tout en me parlant. Le mail venait de la planète X22 par transmission satellite.
« Déclenchez la phase N°5 »
La seule phrase du texte. Même pas un « salut » ou un « ciao ».
« J’ai commencé à chercher en quoi consiste la phase N°5 mais tu es arrivé au mauvais moment. »
Il me sourit, je le lui rendis et il continua ses explications.
« Alors il me faut juste quelques secondes pour entré dans le serveur principal et … »
L’ordinateur s’éteignit et la grande lumière s’alluma. On entendit une personne applaudir. Nous nous tournèrent vers celle-ci : le professeur entouré d’une vingtaine de garde.
« Bravo ! Franchement, magnifique ! Inutile de vous décarcassez à hacker le serveur maintenant que je vous ai pris la main dans le sac, je vais tout vous expliquez. »
« Dit-moi pauvre merde, t’as besoins d’une vingtaine de tes sbires pour nous maîtriser mon pote et moi ? Je te croyais plus puissant que ça ! »
Le professeur ignora notre agression verbale et continua.
« Ainsi le consul à décrété la phase 5 ? Bien bien, je l’attendais avec impatience celle-là parce qu’on va enfin pouvoir s’amuser un peu après tant de décennies passé sous terre. »
Il eu un rire sadique, le genre de rire qui vous glace le sang en de tel circonstance.
« Ainsi donc Mister Harper ou… dois-je vous appelez Boris Stakhanov ? »
J’eu un temps d’arrêt puis me tourna lentement vers l’homme qui était à mes côtés.
« Me dit pas que… »
« Oui, mais laisse le finir tu comprendras pourquoi… »
« Donc, monsieur Stakhanov, vous voulez savoir à quoi correspond cette phase puisque c’est, je crois, le seul renseignement que vous et vos services secrets n’ayez pas. Pour faire en bref, c’est la dernière phase du plan. »
Harper… enfin Boris était crispé à cette annonce. Moi je ne pouvais pas comprendre, moi je n’étais qu’un simple soldat dans ce monde de grande personne.
« C’est donc la fin… »
Boris me regarda l’air triste. Il avait prononcé ces mots désignant la dernière phase.
« Monsieur Stakhanov, veillé à expliquer ce que représente cette ultime partie de l’histoire de notre humanité pendant le voyage en convois cellulaire. »
Le professeur interpella quatre de ses gorilles et leur donna l’ordre de nous emmener.
Serait-ce donc la fin ?