Note de la fic : 
Publié le 06/11/2008 à 22:59:27 par Fossoyeur_minimi
*ALARM ALARM ALARM*
Bon sang... L'alarme incendie! Y'a un survivant pour l'avoir déclenchée!!!
Je me précipita vers la porte de mon appart. Au fur et a mesure que je m'en approchais, des cris devenaient de plus en plus intenses. Ils étaient indescriptibles, et impossible d'en déterminer l'origine...
L'instant crucial fût ces 10 secondes ou je restais planté devant la porte verte : ouvrir ou pas ouvrir?
Prenant mon courage a deux mains, ce qui n'est pas habituel chez moi étant donné que je cache mon image de froussard derriere le gars dur qui s'en fou de tout, je me dis que ces cris pourraient provenir d'une personne étant en danger, et qu'avec une vie humaine, on ne plaisante pas.
*Grincement de porte*
Elle était ouverte... Ouverte...
"-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!! criais-je.
-Airrgh... Moerghh...
-He... Hein...".
Ce que je venais de voir de face, a grosso modo 3 metres de moi, me traumatiserais a jamais. J'eû a peine le reflexe de fermer la porte a clef que les cris reprenaient. M'effondrant dos contre la porte, je me mis a pleurer...
C'etait Barry... Le concierge. Il devait avoir 56 ans. C'était un grand Black d'environs 1m90, avec une carrure de rugbyman.
Le genre de type que l'on croirait presque invincible... Et pourtant, il était la... Il brûlait entièrement.
Oh putain... Faut que j'envoie la sauce la...
Sa face... Elle cramait... On voyait comme si c'était allumé en dessous de sa peau... Il brûlait par en dessous de sa peau...
Oh mon Dieu! Bweeeeeeergh...
Le voilà qui recriait , mais dans la rue cette fois ci. Et contrairement a ce que les personnes peuvent penser, dans ce genre de situation, même si cela paraît inhumain, on a envie de voir... C'est totalement débile, mais l'être humain est curieux... Trop curieux.
Fais pas ça... Mais si va voir et tu seras tranquille une fois pour toute! ... Fais pas ça, tu seras choqué gars...
Choqué? Je l'etais déjà.
Lentement, je pris la direction du salon, me dirigeant vers une des deux fenêtres... Je tirais un rideau puis "admirais le spectacle", si l'on peut dire cela comme ça. Je fondis en larme lorsque je me rendis compte de ma connerie... Je regardais mon concierge être une torche vivante, tandis que ma cu... Euheu... riosit... Euheu ... d'humain me poussais a le Euheu... regard... Euheu ... C-R-A-M-E-R!
Une torche vivante! Et moi comme un...
Je me sens pas bien là... J'ai l'impression que le sol se souleve et va me faire chut...er... Euheu... En plus je tousse et j'ai envie de dormir.
La chaleur me "contrôle" completement.
En une fraction de seconde, mes jambes croulèrent sous mon poids, me laissant chuter dans un trou béant dont je n'appercevais le sol. Je ne sentais plus rien, et cette sensation était agréable. Hélas, ma vie s'arrêterait là...
Le sol se rapprochait ... Gina... Sol...
Je venais de heurter le sol et était dans l'impossibilité de me relever. Le noir tapissait mes paupieres. Impossible de distinguer quelque chose...
___________________________
*DONG ... DONG ... DONG ...*
"Et nous sommes ici pour enterrer Harrison Lewis, décédé a l'âge de 28 a..."
___________________________
*Crink ... Crink ...*
Bon sang... L'alarme incendie! Y'a un survivant pour l'avoir déclenchée!!!
Je me précipita vers la porte de mon appart. Au fur et a mesure que je m'en approchais, des cris devenaient de plus en plus intenses. Ils étaient indescriptibles, et impossible d'en déterminer l'origine...
L'instant crucial fût ces 10 secondes ou je restais planté devant la porte verte : ouvrir ou pas ouvrir?
Prenant mon courage a deux mains, ce qui n'est pas habituel chez moi étant donné que je cache mon image de froussard derriere le gars dur qui s'en fou de tout, je me dis que ces cris pourraient provenir d'une personne étant en danger, et qu'avec une vie humaine, on ne plaisante pas.
*Grincement de porte*
Elle était ouverte... Ouverte...
"-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!! criais-je.
-Airrgh... Moerghh...
-He... Hein...".
Ce que je venais de voir de face, a grosso modo 3 metres de moi, me traumatiserais a jamais. J'eû a peine le reflexe de fermer la porte a clef que les cris reprenaient. M'effondrant dos contre la porte, je me mis a pleurer...
C'etait Barry... Le concierge. Il devait avoir 56 ans. C'était un grand Black d'environs 1m90, avec une carrure de rugbyman.
Le genre de type que l'on croirait presque invincible... Et pourtant, il était la... Il brûlait entièrement.
Oh putain... Faut que j'envoie la sauce la...
Sa face... Elle cramait... On voyait comme si c'était allumé en dessous de sa peau... Il brûlait par en dessous de sa peau...
Oh mon Dieu! Bweeeeeeergh...
Le voilà qui recriait , mais dans la rue cette fois ci. Et contrairement a ce que les personnes peuvent penser, dans ce genre de situation, même si cela paraît inhumain, on a envie de voir... C'est totalement débile, mais l'être humain est curieux... Trop curieux.
Fais pas ça... Mais si va voir et tu seras tranquille une fois pour toute! ... Fais pas ça, tu seras choqué gars...
Choqué? Je l'etais déjà.
Lentement, je pris la direction du salon, me dirigeant vers une des deux fenêtres... Je tirais un rideau puis "admirais le spectacle", si l'on peut dire cela comme ça. Je fondis en larme lorsque je me rendis compte de ma connerie... Je regardais mon concierge être une torche vivante, tandis que ma cu... Euheu... riosit... Euheu ... d'humain me poussais a le Euheu... regard... Euheu ... C-R-A-M-E-R!
Une torche vivante! Et moi comme un...
Je me sens pas bien là... J'ai l'impression que le sol se souleve et va me faire chut...er... Euheu... En plus je tousse et j'ai envie de dormir.
La chaleur me "contrôle" completement.
En une fraction de seconde, mes jambes croulèrent sous mon poids, me laissant chuter dans un trou béant dont je n'appercevais le sol. Je ne sentais plus rien, et cette sensation était agréable. Hélas, ma vie s'arrêterait là...
Le sol se rapprochait ... Gina... Sol...
Je venais de heurter le sol et était dans l'impossibilité de me relever. Le noir tapissait mes paupieres. Impossible de distinguer quelque chose...
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*DONG ... DONG ... DONG ...*
"Et nous sommes ici pour enterrer Harrison Lewis, décédé a l'âge de 28 a..."
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*Crink ... Crink ...*