Note de la fic :
Publié le 06/11/2008 à 22:58:53 par Fossoyeur_minimi
Lorsque j'ouvris les yeux, je me rendit compte que je venais de m'endormir sur le canapé. Face a moi, mes horribles rideaux laissaient passer la lumière. A coté de moi, quelques bouteilles vides. Hmmmm... J'ai déconné.
Un mal de ventre m'apparût dès lors mon levé. Ca m'apprendra a m'endormir en pleine journée. Il fallait que je prenne une bonne douche froide histoire de revenir a la raison et de me rafraîchir, étant donné la chaleur écrasante. Les gouttes de sueurs parcouraient mon front avant de tomber sous mes yeux et de s'écraser par terre... S'écraser par terre... Des gouttes de sueurs qui me rappellent Gina.
Enlevant mes habits, je fonce dans la salle de bain, me précipitant dans la douche, baissant la temperature de l'eau.
De fins jets d'eau jaillirent, mouillant mon corps imprégné de sueur. Mais l'eau... Elle était bouillante. Et pourtant, j'avais bien mis sur 36°.
Je m'empressa alors de sortir de cette douche bouillante et ouvrit la lucarne située en haut du mur. Elle était pleine de buée. Pas étonnant d'ailleurs!
Allez, de l'air... De l'air... Je devais faire de grandes inspirations pour bien respirer. Mes poumons paraissaient bloqués, tandis que la peur de mourir me submergeait. J'en pleurais d'ailleurs, avec une boule dans la gorge.
Mais ça... Cette odeur immonde. Bordel. Ma respiration était peut-être mauvaise en ce moment, mais ce truc ça trompait pas.
Un mélange de cramé et de vomi. C'est avec dégoût et mintes difficultés que je referma cette fenêtre. Inspire... expire... Fioouuu...
Ouais , voilà c'est ça. Ma respiration qui était haletante il y a 10 secondes encore semblait reprendre un cours normal. Soulagement.
Mais cette odeur immonde, infecte, elle m'intrigue. De ma chambre je devrais avoir une bonne vue.
En ouvrant la porte en bois, ces deux grandes vitres apparurent et se dresserent devant moi. Le lit sur ma droite, les armoires sur ma gauche. Elle était quand même un peu bordelique ma chambre. Des T-shirts qui trainent par terre, un bouquin sur mon oreiller et j'en passe.
J'apprehendais de savoir de quoi émanait cette odeur. En m'approchant de la vitre, je remarquais enfin que je n'entendais plus les klaxons incessants et les gens se gueulant dessus dans la rue, pour interpeller son voisin qui marche sur le trottoir en face ou savoir qui a bousculer qui devenus la routine.
Une lueur , comme quand vous regardez le soleil, me fit détourner le regard.
Oh la vache. Bon aller, vas y quand même. Plus je m'approchais de la fenêtre, plus je prenais le risque de perdre la vue. Mais je prenais aussi la "chance" de savoir ce qui se passait.
Un nuage de poussiere orange recouvrait toute la rue. Quelques mètres devant moi, se trouvait un corps. Inanimée? Je l'espere.
Il s'agissait d'une personne de petite taille, dont le dos etait en feu. Ouvrant la fenêtre, j'eû a peine le temps de passer la tête dehors, que je sentis des sortes de petits grains de sables se frotter a ma peau, me brûlant. En un mouvement brusque de ma part, la fenêtre fût refermée. Des petites parcelles de peau étaient brulées. Sur le dessus de ma main drotie particulièrement, et certainement sur mon visage.
Arf. Pfeu, pfeu, pfeu.... J'ai l'impression d'en avoir sur la langue.
Peut-être que la télé m'en dira plus. C'est donc optimiste que je me rendis dans le salon, appuyant sur le gros bouton de la télé.
Que vois-je? Une image toute noire. Boarf... Peut-être plus de chance avec la chaîne suivante. Et c'est ainsi de suite que je zappais, avec ce noir total qui réaparaissait a chaque changement.
Le téléphone alors.
Numéro de la police... Faut bien que je les prévienne du cadavre...
9 1 1 ... Duuut.... Duuut... . ...e numéro ...e vous deman..ez n'est pas attr...é .
QUOI?! Jamais la quand on a besoin d'eux! Grrr...
Super! Je suis bloqué dans mon appart avec un truc qui brûle tout ce qui met les pieds dehors.
Enfin pour moi c'était plutôt la main qui avait été brulée.
*ALARM* ...
Un mal de ventre m'apparût dès lors mon levé. Ca m'apprendra a m'endormir en pleine journée. Il fallait que je prenne une bonne douche froide histoire de revenir a la raison et de me rafraîchir, étant donné la chaleur écrasante. Les gouttes de sueurs parcouraient mon front avant de tomber sous mes yeux et de s'écraser par terre... S'écraser par terre... Des gouttes de sueurs qui me rappellent Gina.
Enlevant mes habits, je fonce dans la salle de bain, me précipitant dans la douche, baissant la temperature de l'eau.
De fins jets d'eau jaillirent, mouillant mon corps imprégné de sueur. Mais l'eau... Elle était bouillante. Et pourtant, j'avais bien mis sur 36°.
Je m'empressa alors de sortir de cette douche bouillante et ouvrit la lucarne située en haut du mur. Elle était pleine de buée. Pas étonnant d'ailleurs!
Allez, de l'air... De l'air... Je devais faire de grandes inspirations pour bien respirer. Mes poumons paraissaient bloqués, tandis que la peur de mourir me submergeait. J'en pleurais d'ailleurs, avec une boule dans la gorge.
Mais ça... Cette odeur immonde. Bordel. Ma respiration était peut-être mauvaise en ce moment, mais ce truc ça trompait pas.
Un mélange de cramé et de vomi. C'est avec dégoût et mintes difficultés que je referma cette fenêtre. Inspire... expire... Fioouuu...
Ouais , voilà c'est ça. Ma respiration qui était haletante il y a 10 secondes encore semblait reprendre un cours normal. Soulagement.
Mais cette odeur immonde, infecte, elle m'intrigue. De ma chambre je devrais avoir une bonne vue.
En ouvrant la porte en bois, ces deux grandes vitres apparurent et se dresserent devant moi. Le lit sur ma droite, les armoires sur ma gauche. Elle était quand même un peu bordelique ma chambre. Des T-shirts qui trainent par terre, un bouquin sur mon oreiller et j'en passe.
J'apprehendais de savoir de quoi émanait cette odeur. En m'approchant de la vitre, je remarquais enfin que je n'entendais plus les klaxons incessants et les gens se gueulant dessus dans la rue, pour interpeller son voisin qui marche sur le trottoir en face ou savoir qui a bousculer qui devenus la routine.
Une lueur , comme quand vous regardez le soleil, me fit détourner le regard.
Oh la vache. Bon aller, vas y quand même. Plus je m'approchais de la fenêtre, plus je prenais le risque de perdre la vue. Mais je prenais aussi la "chance" de savoir ce qui se passait.
Un nuage de poussiere orange recouvrait toute la rue. Quelques mètres devant moi, se trouvait un corps. Inanimée? Je l'espere.
Il s'agissait d'une personne de petite taille, dont le dos etait en feu. Ouvrant la fenêtre, j'eû a peine le temps de passer la tête dehors, que je sentis des sortes de petits grains de sables se frotter a ma peau, me brûlant. En un mouvement brusque de ma part, la fenêtre fût refermée. Des petites parcelles de peau étaient brulées. Sur le dessus de ma main drotie particulièrement, et certainement sur mon visage.
Arf. Pfeu, pfeu, pfeu.... J'ai l'impression d'en avoir sur la langue.
Peut-être que la télé m'en dira plus. C'est donc optimiste que je me rendis dans le salon, appuyant sur le gros bouton de la télé.
Que vois-je? Une image toute noire. Boarf... Peut-être plus de chance avec la chaîne suivante. Et c'est ainsi de suite que je zappais, avec ce noir total qui réaparaissait a chaque changement.
Le téléphone alors.
Numéro de la police... Faut bien que je les prévienne du cadavre...
9 1 1 ... Duuut.... Duuut... . ...e numéro ...e vous deman..ez n'est pas attr...é .
QUOI?! Jamais la quand on a besoin d'eux! Grrr...
Super! Je suis bloqué dans mon appart avec un truc qui brûle tout ce qui met les pieds dehors.
Enfin pour moi c'était plutôt la main qui avait été brulée.
*ALARM* ...