Note de la fic :
Des wesh dans la ville
Par : SuperVilain
Genre : Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Jeux de mains jeu de vilains...
Publié le 31/07/2010 à 16:03:14 par SuperVilain
Lorsque j’entrouvris les yeux, je vis une infirmière. La soixantaine, un nez relativement crochu, de la moustache. Elle avait une magnifique verrue sur la joue gauche, et avait une haleine pestilentielle. Je refermais les yeux.
-Alors, c’est ça le paradis ?
-Non, tu n’y es pas encore. On t’a retrouvé au terminus. T’a eu de la chance, tu étais, c’est le mot, plié sous un siège, et le contrôleur a bien fait son boulot. Tu es resté dans le coma pendant…une semaine environ. Tes parents sont partis il y a une demi-heure, on vient de les appeler, ils arrivent.
-Merci madame dis-je en faisant une tentative pour éloigner mon visage du sien. Je n’y arrivais pas.
-T’a été sérieusement tabassé. On a essayé de retrouver qui t’a fait ça, mais y’avait aucun témoin. Et sur la bande de surveillance, tu t’es assis pile dans l’angle mort. Ah, au fait, y’a une fille qui est passée, et elle t’a laissé ça. L’infirmière lui tendit un papier.
« Salut, c’est Amélie. Tu sais, la fille qui est à côté de toi en Français. Ecoute. Un de tes potes m’a dit de te remettre ça. Je ne sais pas ce que c’est, ça ressemble a un gros boitier. Il n’a pas pu te le remettre, car tu sais que c’est la semaine de classe verte. Je n’y suis pas allée, mais eux si. Donc voilà. Je l’ai donné à ton infirmière, elle a refusé de le laisser à côté de toi car soit disant ça émet des ondes
Bisous. «
Mince, je devais rappeler la vieille peau. Après une énorme hésitation, j’appuyai sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, une infirmière entra.
Disons qu’elle était tout le contraire de l’infirmière qui s’était occupée de moi avant. Brune, la vingtaine, des proportions respectées et respectueuses. Je me sentis comme un enfant.
-Oui, tu as besoin de quelque chose dit-elle ?
-AGAHHHH… Pardon Oui, apparemment une amie m’a remis un paquet dis-je en me retenant de baver.
-Ah, oui celui-là ? Ne bouge pas je vais le chercher. Elle se releva de mon chevet, et alla chercher le paquet. Après une dizaine de minutes, elle revint avec mon paquet.
-Tiens dit-elle en le posant sur mes genoux (j’étais assis ) Je te laisse, j’ai un patient qui m’appelle. Si tu as besoin de quelque chose, je suis là.
-Ok, merci beaucoup :cœur : dis-je. Elle sentait la vanille :cœur: Une fois le souvenir de l’infirmière estompé, je décidai qu’avant d’ouvrir le paquet, un M+Z était de rigueur. J’étais, pour ne pas être vulgaire, à fond dedans lorsque vieille peau ouvrit ma porte…
-Alors, c’est ça le paradis ?
-Non, tu n’y es pas encore. On t’a retrouvé au terminus. T’a eu de la chance, tu étais, c’est le mot, plié sous un siège, et le contrôleur a bien fait son boulot. Tu es resté dans le coma pendant…une semaine environ. Tes parents sont partis il y a une demi-heure, on vient de les appeler, ils arrivent.
-Merci madame dis-je en faisant une tentative pour éloigner mon visage du sien. Je n’y arrivais pas.
-T’a été sérieusement tabassé. On a essayé de retrouver qui t’a fait ça, mais y’avait aucun témoin. Et sur la bande de surveillance, tu t’es assis pile dans l’angle mort. Ah, au fait, y’a une fille qui est passée, et elle t’a laissé ça. L’infirmière lui tendit un papier.
« Salut, c’est Amélie. Tu sais, la fille qui est à côté de toi en Français. Ecoute. Un de tes potes m’a dit de te remettre ça. Je ne sais pas ce que c’est, ça ressemble a un gros boitier. Il n’a pas pu te le remettre, car tu sais que c’est la semaine de classe verte. Je n’y suis pas allée, mais eux si. Donc voilà. Je l’ai donné à ton infirmière, elle a refusé de le laisser à côté de toi car soit disant ça émet des ondes
Bisous. «
Mince, je devais rappeler la vieille peau. Après une énorme hésitation, j’appuyai sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, une infirmière entra.
Disons qu’elle était tout le contraire de l’infirmière qui s’était occupée de moi avant. Brune, la vingtaine, des proportions respectées et respectueuses. Je me sentis comme un enfant.
-Oui, tu as besoin de quelque chose dit-elle ?
-AGAHHHH… Pardon Oui, apparemment une amie m’a remis un paquet dis-je en me retenant de baver.
-Ah, oui celui-là ? Ne bouge pas je vais le chercher. Elle se releva de mon chevet, et alla chercher le paquet. Après une dizaine de minutes, elle revint avec mon paquet.
-Tiens dit-elle en le posant sur mes genoux (j’étais assis ) Je te laisse, j’ai un patient qui m’appelle. Si tu as besoin de quelque chose, je suis là.
-Ok, merci beaucoup :cœur : dis-je. Elle sentait la vanille :cœur: Une fois le souvenir de l’infirmière estompé, je décidai qu’avant d’ouvrir le paquet, un M+Z était de rigueur. J’étais, pour ne pas être vulgaire, à fond dedans lorsque vieille peau ouvrit ma porte…