Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Des wesh dans la ville


Par : SuperVilain
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 2 : Tout ne va pas si bien


Publié le 31/07/2010 à 16:02:16 par SuperVilain

J’inscrivis son numéro, et je la remerciait.
Puis, je repris ma marche, tout content. Je ne me rendis même pas compte qu’elle fit signe aux 3 weshs qui étaient sur le banc. Ils se levèrent. Moi, tout guilleret, je ne vis rien.
J’habite à 15 minutes à pied du lycée, mais je rentre en métro. Je pris la première Station, et attendit une rame. Je vis du coin de l’œil quelques wesh arriver. Mais je m’en foutait. J’AVAIS LE NUMERO D’UNE FILLE !

Le métro arriva, et je m’installai dans un carré. Les wesh me suivirent. Je me rendis soudain compte que la rame était vide Il y avait un black, et deux blancs. Ils étaient bourrés de tatouages. Sur les bras, les jambes. Bref, de vraies décorations murales. Un des deux blancs arborait fièrement un œil au beurre noir, et des contusions sur le poing gauche qu’il avait serré.
Le black m’aborda.
-Wesh, couzin t’a un Phone ? Il s’approcha soudainement de moi.
-Un que….quoi ? Je n’ait pas compris. T’as un accent très prononcé
-Wesh, j’comprend pas c’que tu dis Passe ton phone !
-Hein ? Mais j’ai pas de téléphone dis-je en tremblant à moitié.
-Fais pas genre, on t’a vu. Vazy Nicolas, tiens-le. Je vais le fouiller
Je vis le plus grand des deux blancs s’approcher. Je me rendis soudain compte que je n’avait pas le choix. Je sortis soudainement mon portable de ma poche, et le fourra dans mon caleçon.
-ZIVA BATARD C’EST HALLAL
-Et on va te défoncer cousin.
Moi comme un idiot, je répondis. De toute façon, ma situation ne pouvait pas s’aggraver.
-Je n’entretiens aucun lien de parentée avec vous, jeune gomme.
-QUOI ? ZIVA IL INSULTE MA MERE LA ?
-Viens on le défonce
Ils me prirent tous les deux par un bras, et ils me précipitèrent contre une paroi du métro. Je sentis une douleur atroce me parcourir le crâne. Du sang me brouilla la vue. Ensuite, je ne me souviens plus. Il me semble, a travers le brouillard que j’avais dans le cerveau, a moitié conscient, qu’il me rouèrent de coup. L’un d’entre eux semblait avoir une barre de fer. La douleur étaient insupportable.
Dés lors, je sombrais dans l’inconscience. Lorsque je me réveillai, j’étais dans un lit d’hôpital...

Candy ?


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