Bonjour, bonjour!
Je tiens à m'excuser du retard mais suite à une flémingite, une panne d'inspi et des problèmes personnels, les suites deviennent rare, j'ai fini celle-ci rapidement (elle était commencée depuis plus d'une semaine mais on ne sait jamais quand les problèmes surgissent). Je vous ai donc concocter une petite suite pour vous laisser en appétit le temps d'un peu plus d'une semaine...
Car oui, il n'y aura pas de suite la semaine prochaine, je serais en voyage scolaire (faut vraiment que je me change les idées, j'ai eu une semaine difficile et j'ai pas d'idées pour la suite...).
Sur ce, je vous laissent à votre lecture et vous dit à dans un peu plus d'une semaine.


Chapitre VIII:
Fuite

Alors que je me débat avec mon adversaire, j’entends dans mon dos une étrange note métallique, mais pas le temps de rêver, le gros lard menace de l’emporter. Alors qu’il se dégage et pointe son arme sur moi, une détonation retentit et le type s’écroule dans une gerbe de sang. Je me relève en haletant et vois Mashtok un fusil mitrailleur à la main. Derrière lui se tient Vivien, les trois quarts de son bâton au sol, le quart restant dans la main, d’où dépasse un morceau de métal. Non, une lame en dépasse. Vu d’ici, on dirait un sabre japonais… D’ailleurs, c’en est un. C’est un sabre sans garde, c’est pour ça qu’il ressemblait juste à un bâton poli. Un manche long d’une vingtaine de centimètres et une lame d’environ quatre-vingt centimètres. Du sang y coule sur le tranchant et s’avance dans la gouttière. Je suis mi surpris, mi choqué:
« - Depuis quand t’as un sabre? Et d’où il vient?
- Il avait été offert à mon père après une intervention au cours de laquelle son équipe et lui avait délivrés la fille d’un ministre japonais. C’est un véritable Masamune*, il vaut suffisamment cher pour acheter le quartier où nous habitions. »
Bien que surpris, nous ne devons pas trainer. Qui sait quels autres traquenards nous attendent?
A peine sortit, je dégaine mon portable et compose le numéro de Quentin:
« - Ouais, c’est Fab, dis, tu peux venir nous chercher au vieux commissariat du quartier 17? … Dans un quart d’heure? Ouais, c’est cool, à toutes… »
Et donc un quart d’heure après, Quentin arrive au volant d’une antique Citroën XM. Elle appartenait à, son père et il la lui avait laissé avant de partir pour cette fameuse mission…
Il ne l’utilise que rarement à cause de l’essence dure à trouver. Nous montons donc et nous rentrons non sans nervosité jusqu’à notre secteur 11...


* Aucune référence à FF7, pour votre culture, Masamune était un célèbre forgeron japonais spécialisé dans la création de katanas, aujourd’hui encore son travail est reconnu comme excellent au vu des moyens techniques de l’époque.