Note de la fic :
Publié le 20/03/2010 à 20:53:14 par Mr.Bad-Luck
Ce sera la dernière chose que j'écris de ma vie. Dans quelques heures, je prononcerai mon dernier souffle. J'avalerai ma dernière bouffée d'oxygène et je vivrais l'expérience unique et mortelle de prendre plusieurs centaines de volt dans le corps. En fait, je suis vraiment déçu de ne pas pouvoir choisir les conditions de ma mort. Je ne sais pas, il y a des choses plus cool que la chaise électrique ! Par exemple, ce lancer du haut d'un building ! Ca doit être génial, cette sensation de voltige, libre comme l'aire. Par contre, l'atterrissage doit être vraiment agressif. Les jambes qui se plient violemment, le crâne qui se fend. Le corps entier est désintégré par la chute...bouh, en fait je préfère mourir pénard, assis avec une éponge sur la gueule.
Avant que Richard ne parte, je lui avais demandé si cela allait faire mal. Il m'a répondu qu'il en savait rien, personne n'a jamais donné d'avis après avoir vécu la chaise électrique... Il rigola en donnant cette réponse. Moi aussi. Pourquoi lui avait posé cette question ? On s'en fout si on a mal, car on est certain que la douleur va disparaître, car la mort va nous en extirper. Elle est cool, la Mort. Un élément qui nous permet de sortir de la souffrance, des sentiments quels qu'il soit, l'on s'évade du pénitencier de la vie. L'on ferme les yeux pour toujours, en croyant que le monde sera meilleur sans nous, car nous sommes humains. On espère sincèrement que nos proches ressentiront de la tristesse. C'est égoïste comme désir, mais c'est réel. Je désire sincèrement que Richard pleure, car je serais plus là pour écouter sa musique. Vous ne pouvez pas imaginez comment ça me ferait plaisir de savoir que ma Mort fera souffrir quelqu'un.
J'allais presque oublier ma petite histoire. Vous voulez tant savoir pourquoi j'en suis arrivé là ? Je me demande bien qui serais assez fou pour lire les dernières pensées d'un assassin...Bref, le type qu'il le fait doit être plus con que moi. J'ai donc pris ce revolver. Je me retrouve à rechercher le gars qui a tué mon ami. Je le retrouve vite, ce pauvre mec n'a même pas changé de coin. Il ressemble à un biker, crâne rasé, le même tatouage que « l'autre fois » et une belle bécane. Il est entouré de trois mecs qui porte le même manteau, tous en train de boire une bière dans cette rue coloré par le sang des diverses bagarres qui s'y sont déroulés. Avant de passer à l'action, je m'en vais à la cabine téléphonique. Je tape « 911 » et demande les flics. Je leur donne l'adresse et il me demande ce qu'il se passe.
« Venez vite…je vais tuer un homme. »
Quand j'ai prononcé ces mots, j'ai bien sentis la froideur qu'elle avait provoquée chez mon interlocuteur. Je raccroche aussi vite et repars en direction du raciste. Ils me voient arriver, me demande ce que je fous là. Ils n'ont le temps de rien faire. Je sors de la poche intérieure de ma veste l'arme et tire une balle dans la tête du biker. Pas d'souffrance. Il a eu de la chance, par rapport à à mon pote. Il tombe sur le sol. Ces potes sont ébahis par la violence de la scène, mais se remette vite et sorte leur arme (couteau, chaîne...). Les sirènes de police se font entendre. Comme je l'avais prévu, ça les fait fuir. Ce ne sont pas de vrai pote et ils n'auront aucune envie de venger leur collègue mort.Je lâche mon arme sous l’ordre de l’officier et je me laisse passer les menottes. Tribunal, jugement…et me voici condamné à mort. J’ai tué deux salauds. Lui et Moi.
Arf, c’est déjà fini. La cellule s’ouvre. Deux gardes se ramènent et me disent « c’est l’heure, lâche ce stylo… »
Avant que Richard ne parte, je lui avais demandé si cela allait faire mal. Il m'a répondu qu'il en savait rien, personne n'a jamais donné d'avis après avoir vécu la chaise électrique... Il rigola en donnant cette réponse. Moi aussi. Pourquoi lui avait posé cette question ? On s'en fout si on a mal, car on est certain que la douleur va disparaître, car la mort va nous en extirper. Elle est cool, la Mort. Un élément qui nous permet de sortir de la souffrance, des sentiments quels qu'il soit, l'on s'évade du pénitencier de la vie. L'on ferme les yeux pour toujours, en croyant que le monde sera meilleur sans nous, car nous sommes humains. On espère sincèrement que nos proches ressentiront de la tristesse. C'est égoïste comme désir, mais c'est réel. Je désire sincèrement que Richard pleure, car je serais plus là pour écouter sa musique. Vous ne pouvez pas imaginez comment ça me ferait plaisir de savoir que ma Mort fera souffrir quelqu'un.
J'allais presque oublier ma petite histoire. Vous voulez tant savoir pourquoi j'en suis arrivé là ? Je me demande bien qui serais assez fou pour lire les dernières pensées d'un assassin...Bref, le type qu'il le fait doit être plus con que moi. J'ai donc pris ce revolver. Je me retrouve à rechercher le gars qui a tué mon ami. Je le retrouve vite, ce pauvre mec n'a même pas changé de coin. Il ressemble à un biker, crâne rasé, le même tatouage que « l'autre fois » et une belle bécane. Il est entouré de trois mecs qui porte le même manteau, tous en train de boire une bière dans cette rue coloré par le sang des diverses bagarres qui s'y sont déroulés. Avant de passer à l'action, je m'en vais à la cabine téléphonique. Je tape « 911 » et demande les flics. Je leur donne l'adresse et il me demande ce qu'il se passe.
« Venez vite…je vais tuer un homme. »
Quand j'ai prononcé ces mots, j'ai bien sentis la froideur qu'elle avait provoquée chez mon interlocuteur. Je raccroche aussi vite et repars en direction du raciste. Ils me voient arriver, me demande ce que je fous là. Ils n'ont le temps de rien faire. Je sors de la poche intérieure de ma veste l'arme et tire une balle dans la tête du biker. Pas d'souffrance. Il a eu de la chance, par rapport à à mon pote. Il tombe sur le sol. Ces potes sont ébahis par la violence de la scène, mais se remette vite et sorte leur arme (couteau, chaîne...). Les sirènes de police se font entendre. Comme je l'avais prévu, ça les fait fuir. Ce ne sont pas de vrai pote et ils n'auront aucune envie de venger leur collègue mort.Je lâche mon arme sous l’ordre de l’officier et je me laisse passer les menottes. Tribunal, jugement…et me voici condamné à mort. J’ai tué deux salauds. Lui et Moi.
Arf, c’est déjà fini. La cellule s’ouvre. Deux gardes se ramènent et me disent « c’est l’heure, lâche ce stylo… »