Note de la fic :
Publié le 16/01/2010 à 23:32:36 par the-snake1
Ce mec n’avait vraiment aucune pitié pour moi, déjà qu’il ne m’aimait pas. Pourquoi ? Car il voulait être avec Cassy depuis longtemps mais elle n’a jamais voulu car elle était amoureuse de moi, mais maintenant qu’il la eu et qu’elle la rejeté. Il veut s’en prendre à moi. Il était jaloux alors il a envoyé son cousin pour essayer de me tuer, il n’avait même pas le cran de le faire lui-même, quel lâche… Mais je crois que je ne connaîtrais pas vraiment toute l’histoire.
Et à présent, je suis à terre et en train de me prendre des coups par lui. Je me disais dans ma tête, quelle honte. Comment je peux me laisser faire par lui, il faut que je fasse quelque chose qui puisse le faire dégager de là . Il faut que je reprenne mes forces…
Antoine me frappait encore dans le ventre, je souffrais et Cassy essayait de l’arrêter, j’ai vu qu’elle sortait son portable pour appeler une personne mais je ne savais pas qui, peut-être la police je ne sais pas trop, et pendant ce moment la, je n’avais pas trop envie de savoir qui elle appelait. Je pensais juste à survivre. Quelques minutes plus tard, Antoine fut poussé par quelqu’un, je ne voyais pas son visage, c’était tout flou, mais il m’aidait, sûrement un ami à moi.
-Chris, tu vas bien ?!
-Steve… ?
-Non, c’est moi. Hayner.
-Tu m’as sauvé ?
-On peut dire ça comme ça. Allez, viens mon pote.
Il m’avait aidé à me relever et à marcher. Mais où était Antoine ? Je regardais autour de moi mais je ne le voyais nulle part. Peu importe ce qu’il lui est arrivé, je vais m’en sortir grâce à mon ami.
Il m’avait emmené chez lui pour que je me repose sans être dérangé par tout le monde, j’étais allongé sur son lit et j’avais mal, très mal.
-Je pense qu’il faut l’emmener à l’hôpital Hayner.
-Non, il faut rien ne dire…
-Mais pourquoi ?
-Tu crois que ça serait plus simple de dire « mon ami s’est fait frapper à mort » ?
-Ca serait mieux en tout cas de le laisser ici à agoniser.
-Je sais ce que je fais Cassy, ne t’inquiète pas pour lui.
-Comment tu veux que je ne m’inquiète pas pour lui ?! Dis moi ! Tu ne comprends pas que je l’aime, je suis en train de voir l’homme que j’aime en train de mourir !
J’entendais toutes ces paroles, j’étais content qu’elle dise ça mais d’un côté, je m’en foutais…
-Ecoute Cassy, je sais qu’il compte pour toi mais laisse moi faire. Fais moi confiance pour une fois.
-Je te fais confiance mais j’ai peur… Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose de grave.
-Ouais, je te comprends…
M’arriver quelque chose de grave ? Je crois que c’est grave ce qui m’arrive en ce moment, elle ne comprend pas que j’ai à moitié perdu la raison.
-Bon, dans la salle de bain, j’ai tout ce qu’il faut pour soigner.
-Je vais le chercher.
Cassy partait dans la salle de bain pour aller chercher l’équipement du médecin Hayner, il était dans une fac de médecine donc il savait ce qu’il fallait faire. S’il arrive à soigner mes blessures, je lui dois la vie.
Hayner était un très bon ami, quand j’ étais gosse, il était toujours avec moi, on jouait ensemble et on s’ entendait super bien, on ne s’est jamais pris la tête. Il était comme un frère pour moi.
Cassy était revenu avec la trousse de médecine, elle la passe à Hayner qui lui, soulève ma tête pour placer un oreiller derrière, il la repose doucement et prends les outils qu’il faut. On est pas dans un hôpital mais j’ai l’impression que si…
Je ne savais pas ce qu’il faisait, je crois que j’étais endormi. Et je ne savais pas non plus si j’allais me réveiller, ou m’éteindre pour toujours…
Et à présent, je suis à terre et en train de me prendre des coups par lui. Je me disais dans ma tête, quelle honte. Comment je peux me laisser faire par lui, il faut que je fasse quelque chose qui puisse le faire dégager de là . Il faut que je reprenne mes forces…
Antoine me frappait encore dans le ventre, je souffrais et Cassy essayait de l’arrêter, j’ai vu qu’elle sortait son portable pour appeler une personne mais je ne savais pas qui, peut-être la police je ne sais pas trop, et pendant ce moment la, je n’avais pas trop envie de savoir qui elle appelait. Je pensais juste à survivre. Quelques minutes plus tard, Antoine fut poussé par quelqu’un, je ne voyais pas son visage, c’était tout flou, mais il m’aidait, sûrement un ami à moi.
-Chris, tu vas bien ?!
-Steve… ?
-Non, c’est moi. Hayner.
-Tu m’as sauvé ?
-On peut dire ça comme ça. Allez, viens mon pote.
Il m’avait aidé à me relever et à marcher. Mais où était Antoine ? Je regardais autour de moi mais je ne le voyais nulle part. Peu importe ce qu’il lui est arrivé, je vais m’en sortir grâce à mon ami.
Il m’avait emmené chez lui pour que je me repose sans être dérangé par tout le monde, j’étais allongé sur son lit et j’avais mal, très mal.
-Je pense qu’il faut l’emmener à l’hôpital Hayner.
-Non, il faut rien ne dire…
-Mais pourquoi ?
-Tu crois que ça serait plus simple de dire « mon ami s’est fait frapper à mort » ?
-Ca serait mieux en tout cas de le laisser ici à agoniser.
-Je sais ce que je fais Cassy, ne t’inquiète pas pour lui.
-Comment tu veux que je ne m’inquiète pas pour lui ?! Dis moi ! Tu ne comprends pas que je l’aime, je suis en train de voir l’homme que j’aime en train de mourir !
J’entendais toutes ces paroles, j’étais content qu’elle dise ça mais d’un côté, je m’en foutais…
-Ecoute Cassy, je sais qu’il compte pour toi mais laisse moi faire. Fais moi confiance pour une fois.
-Je te fais confiance mais j’ai peur… Je ne veux pas qu’il lui arrive quelque chose de grave.
-Ouais, je te comprends…
M’arriver quelque chose de grave ? Je crois que c’est grave ce qui m’arrive en ce moment, elle ne comprend pas que j’ai à moitié perdu la raison.
-Bon, dans la salle de bain, j’ai tout ce qu’il faut pour soigner.
-Je vais le chercher.
Cassy partait dans la salle de bain pour aller chercher l’équipement du médecin Hayner, il était dans une fac de médecine donc il savait ce qu’il fallait faire. S’il arrive à soigner mes blessures, je lui dois la vie.
Hayner était un très bon ami, quand j’ étais gosse, il était toujours avec moi, on jouait ensemble et on s’ entendait super bien, on ne s’est jamais pris la tête. Il était comme un frère pour moi.
Cassy était revenu avec la trousse de médecine, elle la passe à Hayner qui lui, soulève ma tête pour placer un oreiller derrière, il la repose doucement et prends les outils qu’il faut. On est pas dans un hôpital mais j’ai l’impression que si…
Je ne savais pas ce qu’il faisait, je crois que j’étais endormi. Et je ne savais pas non plus si j’allais me réveiller, ou m’éteindre pour toujours…