Note de la fic :
Publié le 07/02/2009 à 14:22:05 par Non-Lus
Aujourd’hui c’est l’anniversaire d’Etienne, fraîchement célibataire grâce à Natalia. Amoureux, celui-ci l’invitait tout de même ne se rendant pas compte que la charmante russe était déjà sur un autre coup, moi pour me nommer
Je savais que les tensions qui régnaient dans le groupe étaient en ascension et qu’il fallait faire très attention à mes actes, préserver les relations avec chaque membre du groupe mais aussi avec la fille la plus sexy de celui-ci. Cela allait être difficile, vu les sms que je recevais tous les jours, mademoiselle allait certainement me sauter dessus.
Etienne habitait un village à une vingtaine de minutes de notre ville, d’habitude je ne me serais jamais déplacé mais pour l’occasion je voulais bien faire un effort. De plus, ce sont ses dix huit ans qu’il fête aujourd’hui, vu l’importance de l’événement je me devais d’y assisté.
Je m’assis sur un des sièges libre d’un bus à moitié vide qui stationnait dans cette gare depuis une dizaine de minutes, quand celui-ci démarra, je me mis à imaginer la fête que j’allais passer. Dans mon interprétation, je nous voyais tous ensemble buvant de l’alcool et dansant sur une musique rythmé et stylisé par de grands dj mondiaux enregistrés sur un Ipod diffusant du son via des enceintes. J’apercevais aussi des nouvelles rencontres, drôles et intéressantes ainsi que, je l’espérais, des filles magnifiques. Etienne était un boulet, mais cela ne l’empêchait peut être pas de connaitre certaines personnes intéressante.
J’esquissais un sourire discret en supposant que l’anniversaire se déroulerait selon mes pensées. Je sortis du bus et m’avança en direction de la maison d’Etienne. Je traversais des chemins de campagnes et croisait de temps à autre un promeneur, âgé, qui me regardait bizarrement avant de continuer son chemin. Je suppose que dans ce village, tous le monde se connait et que la population sait désormais qu’un étranger à mit le pied sur leur terre
La maison campagnarde d’Etienne se dressait maintenant devant moi, j’avançais lentement sur le pas de la porte et tendit ma main pour sonner. Je n’entendis rien, aucuns bruits de fonds c’était très bizarre. D’ habitude ces gens là étaient plutôt du style hystérique et là je me retrouvais devant le vide total. Soudain, j’entendis des pas se rapprocher de la porte coté intérieur, la poignée de celle – ci s’abaissa et j’aperçus Etienne, la mine un peu triste qui me regardait droit dans les yeux.
- Etienne : Salut
- Florian : Salut, tu vas bien ?
- Etienne : ouais ouais, entre tous le monde est déjà là
- Florian : Bon anniversaire !
- Etienne : Merci
Il m’emmena alors dans son salon où tout le monde était assit, je connaissais tous les invités sauf une fille. Quand je m’approchai vers elle pour la saluer et pour parler un peu une main se glissa dans la mienne et prit la parole.
- ??? : Alors Carole tu fais connaissance avec Florian ? il est sympa hein ? bon tu viens maintenant tu m’as même pas salué !
Je me retournais et découvrait Natalia, heureuse et souriante qui regardait cette Carole jalousement, apparemment mademoiselle avait décidé de me louer pour la soirée
Je pris place sur un confortable canapé, Natalia me regarda bizarrement. Elle monta juste derrière moi et sans que je comprenne tout de suite pourquoi, elle commença à mettre ses mains sur mon coup, à me caresser avec ses ongles et à me chuchoter des mots doux à l’oreille. Le message était clair : personne ne s’approche de Florian sous peine d’avoir affaire à la Russie !
Au début, j’étais un peu gêné, il y avait Margaux qui me regardait ainsi qu’Etienne et Samuel. Mais au fils de la soirée, rien ne se passait, c’était une fête extrêmement merdique. Les garçons jouaient à guitar hero et les filles parlaient de leurs histoires, sympa les dix huit ans d’Etienne…
A la fin de la soirée, tous le monde se coucha dans le salon, je me mis sur un matelas qu’Etienne avait installé pour ses invités et je me couchai dans mon sac de couchage, lui aussi mit à disposition. Deux minutes plus tard, un autre sac de couchage se colla contre moi.
- Florian : Hey tu respectes mon espace vitale toi !!!!
La personne ne bougeait pas alors je décidai de me retourner en pensant que c’était un garçon et qu’il cherchait une bagarre « amicale » mais ce n’étais pas un garçon, c’était Natalia qui me regardait sans dire un mot. Derrière elle, Margaux sur un canapé et derrière moi Samuel qui nous regardaient discrètement. Etienne était monté dans sa chambre pour ne pas trop montrer sa dépression. Natalia me caressa le visage puis s’arrêta, à mon tour, je promenais mes doigts sur ses joues, son coup, lorsque j’atteignis ses lèvres, elles s’entrouvrirent…. C’était une invitation.
Alors j’avançais mes lèvres vers les siennes et les prochaines minutes qui suivirent furent la confirmation des désires de nos deux corps. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser sans prendre en considération le taux énorme d’exs qui se trouvaient dans la même pièce que nous, égoïstement et profitant de l’instant sous les yeux tristes de ceux ci.
Le lendemain, Natalia partit très tôt pour un déjeuner avec sa famille. Etienne profita de l’instant pour me prendre à part et me demander quelque chose qui le rongeait :
- Est-ce que Natalia me trompais avec toi ?
Ma réponse négative le rassura, il ne se rendait pas compte de qui elle était, moi j’essayais de ne pas trop y penser. C’était bientôt la fin…
Je savais que les tensions qui régnaient dans le groupe étaient en ascension et qu’il fallait faire très attention à mes actes, préserver les relations avec chaque membre du groupe mais aussi avec la fille la plus sexy de celui-ci. Cela allait être difficile, vu les sms que je recevais tous les jours, mademoiselle allait certainement me sauter dessus.
Etienne habitait un village à une vingtaine de minutes de notre ville, d’habitude je ne me serais jamais déplacé mais pour l’occasion je voulais bien faire un effort. De plus, ce sont ses dix huit ans qu’il fête aujourd’hui, vu l’importance de l’événement je me devais d’y assisté.
Je m’assis sur un des sièges libre d’un bus à moitié vide qui stationnait dans cette gare depuis une dizaine de minutes, quand celui-ci démarra, je me mis à imaginer la fête que j’allais passer. Dans mon interprétation, je nous voyais tous ensemble buvant de l’alcool et dansant sur une musique rythmé et stylisé par de grands dj mondiaux enregistrés sur un Ipod diffusant du son via des enceintes. J’apercevais aussi des nouvelles rencontres, drôles et intéressantes ainsi que, je l’espérais, des filles magnifiques. Etienne était un boulet, mais cela ne l’empêchait peut être pas de connaitre certaines personnes intéressante.
J’esquissais un sourire discret en supposant que l’anniversaire se déroulerait selon mes pensées. Je sortis du bus et m’avança en direction de la maison d’Etienne. Je traversais des chemins de campagnes et croisait de temps à autre un promeneur, âgé, qui me regardait bizarrement avant de continuer son chemin. Je suppose que dans ce village, tous le monde se connait et que la population sait désormais qu’un étranger à mit le pied sur leur terre
La maison campagnarde d’Etienne se dressait maintenant devant moi, j’avançais lentement sur le pas de la porte et tendit ma main pour sonner. Je n’entendis rien, aucuns bruits de fonds c’était très bizarre. D’ habitude ces gens là étaient plutôt du style hystérique et là je me retrouvais devant le vide total. Soudain, j’entendis des pas se rapprocher de la porte coté intérieur, la poignée de celle – ci s’abaissa et j’aperçus Etienne, la mine un peu triste qui me regardait droit dans les yeux.
- Etienne : Salut
- Florian : Salut, tu vas bien ?
- Etienne : ouais ouais, entre tous le monde est déjà là
- Florian : Bon anniversaire !
- Etienne : Merci
Il m’emmena alors dans son salon où tout le monde était assit, je connaissais tous les invités sauf une fille. Quand je m’approchai vers elle pour la saluer et pour parler un peu une main se glissa dans la mienne et prit la parole.
- ??? : Alors Carole tu fais connaissance avec Florian ? il est sympa hein ? bon tu viens maintenant tu m’as même pas salué !
Je me retournais et découvrait Natalia, heureuse et souriante qui regardait cette Carole jalousement, apparemment mademoiselle avait décidé de me louer pour la soirée
Je pris place sur un confortable canapé, Natalia me regarda bizarrement. Elle monta juste derrière moi et sans que je comprenne tout de suite pourquoi, elle commença à mettre ses mains sur mon coup, à me caresser avec ses ongles et à me chuchoter des mots doux à l’oreille. Le message était clair : personne ne s’approche de Florian sous peine d’avoir affaire à la Russie !
Au début, j’étais un peu gêné, il y avait Margaux qui me regardait ainsi qu’Etienne et Samuel. Mais au fils de la soirée, rien ne se passait, c’était une fête extrêmement merdique. Les garçons jouaient à guitar hero et les filles parlaient de leurs histoires, sympa les dix huit ans d’Etienne…
A la fin de la soirée, tous le monde se coucha dans le salon, je me mis sur un matelas qu’Etienne avait installé pour ses invités et je me couchai dans mon sac de couchage, lui aussi mit à disposition. Deux minutes plus tard, un autre sac de couchage se colla contre moi.
- Florian : Hey tu respectes mon espace vitale toi !!!!
La personne ne bougeait pas alors je décidai de me retourner en pensant que c’était un garçon et qu’il cherchait une bagarre « amicale » mais ce n’étais pas un garçon, c’était Natalia qui me regardait sans dire un mot. Derrière elle, Margaux sur un canapé et derrière moi Samuel qui nous regardaient discrètement. Etienne était monté dans sa chambre pour ne pas trop montrer sa dépression. Natalia me caressa le visage puis s’arrêta, à mon tour, je promenais mes doigts sur ses joues, son coup, lorsque j’atteignis ses lèvres, elles s’entrouvrirent…. C’était une invitation.
Alors j’avançais mes lèvres vers les siennes et les prochaines minutes qui suivirent furent la confirmation des désires de nos deux corps. Nous n’arrêtions pas de nous embrasser sans prendre en considération le taux énorme d’exs qui se trouvaient dans la même pièce que nous, égoïstement et profitant de l’instant sous les yeux tristes de ceux ci.
Le lendemain, Natalia partit très tôt pour un déjeuner avec sa famille. Etienne profita de l’instant pour me prendre à part et me demander quelque chose qui le rongeait :
- Est-ce que Natalia me trompais avec toi ?
Ma réponse négative le rassura, il ne se rendait pas compte de qui elle était, moi j’essayais de ne pas trop y penser. C’était bientôt la fin…
Commentaires
- sasori22
08/02/2009 à 13:26:16
Chaud la fête en mousse.
- Pseudo supprimé
08/02/2009 à 11:49:21
omg jerry du paradoxe de la fête quoi
- Pseudo supprimé
07/02/2009 à 18:03:34
PWNED BY NO-LIFE HERO
- Sultano
07/02/2009 à 16:25:27
PWNED BY LE PLUS GRAND CABARET DU MONDE