Note de la fic :
Publié le 05/09/2009 à 11:21:18 par julichou
[Une semaine plus tard]
Dans une semaine mon fils sort, je me doit de lui faire une surprise pour son retour dans la vie normal. Un match de foot c'est déjà fait, faut que je trouve quelque chose d'exceptionnel. Je réfléchis, une idée géniale me vient en tête mais il y a peut de chance pour que sa marche et pour qu'ils veuillent.
[…]
Je vais le voir dans son lit d'hôpital vers 15h de l'après-midi. Le médecin est dans la chambre, il me dit qu'il y a peu de chance pour qu'il fasse une rechute. Il est sous traitement intensif qu'il faudra poursuivre lorsqu'il sera sortit. Je l'aurai à l'œil pour qu'il les prennent, hors de questions qu'il revienne entre les murs blancs et livides de cette hôpital. Le docteur sort et nous laisse en tête à tête. Je dis à mon fils, que j'ai convoqué toute la famille chez nous, pour un repas pour fêter ton retour de convalescence:
«-Tu n'étais pas obligé, me dit-il.
-Je me devais de faire ça, mais ne t'inquiète pas, c'est pas tout de suite après que tu soit rentré, on va attendre une semaine ou deux.
-Sa m'arrange parce que je suis pas sûr de pouvoir supporter tout le monde quand je serais rentré. Espérons maintenant que le docteur a raison.
-Pourquoi se tromperait-il, c'est son job. Vu combien on le paye sa m'étonnerais qu'il se goure.
-Ouais t'as raison.»
Il était encore faible, mais il avait la force de pouvoir supporter le vie extérieur. C'est pas ça qui va l'arrêter, ça va même le motiver, tel que je le connais:
«-J'aurais une surprise pour toi quand tu sortiras mais si tu veut pas la louper il faut que tu soit prête exactement à 14h45, si tu n'est pas prêt à cette heure là tu auras loupé ta surprise. Sa serais dommage, parce que c'est vraiment une grosse surprise.»
Il me promet qu'il sera prêt à l'heure prévu. Il ne voudrais rater ça pour rien au monde, même si il ne sait pas se que c'est. Je finis ma ronde quotidienne en allant voir ma fille. Le médecin avait prévu le coup et est déjà dans la chambre à m'attendre. Il m'annonce que le rétablissement sera plus long pour elle que pour son frère, mais il devrait tout de même pas y avoir de problèmes. Le médecin s'en va. Je me rends compte que je n'ai rien préparé pour elle. Je vais finalement réunir la famille autour d'un bon dîner lorsque les deux seront sortit, je pense que c'est mieux. Mais c'est pas une aussi grosse surprise que celle de mon fils. J'y réfléchirais plus tard, lorsque le premier sera sortit. Je la réconforte, je pense qu'elle en a vraiment besoin, elle est plus fragile que son petit frère.
La journée se termine tranquillement comme tout les jours depuis que mes enfants sont enfermés.
Dans une semaine mon fils sort, je me doit de lui faire une surprise pour son retour dans la vie normal. Un match de foot c'est déjà fait, faut que je trouve quelque chose d'exceptionnel. Je réfléchis, une idée géniale me vient en tête mais il y a peut de chance pour que sa marche et pour qu'ils veuillent.
[…]
Je vais le voir dans son lit d'hôpital vers 15h de l'après-midi. Le médecin est dans la chambre, il me dit qu'il y a peu de chance pour qu'il fasse une rechute. Il est sous traitement intensif qu'il faudra poursuivre lorsqu'il sera sortit. Je l'aurai à l'œil pour qu'il les prennent, hors de questions qu'il revienne entre les murs blancs et livides de cette hôpital. Le docteur sort et nous laisse en tête à tête. Je dis à mon fils, que j'ai convoqué toute la famille chez nous, pour un repas pour fêter ton retour de convalescence:
«-Tu n'étais pas obligé, me dit-il.
-Je me devais de faire ça, mais ne t'inquiète pas, c'est pas tout de suite après que tu soit rentré, on va attendre une semaine ou deux.
-Sa m'arrange parce que je suis pas sûr de pouvoir supporter tout le monde quand je serais rentré. Espérons maintenant que le docteur a raison.
-Pourquoi se tromperait-il, c'est son job. Vu combien on le paye sa m'étonnerais qu'il se goure.
-Ouais t'as raison.»
Il était encore faible, mais il avait la force de pouvoir supporter le vie extérieur. C'est pas ça qui va l'arrêter, ça va même le motiver, tel que je le connais:
«-J'aurais une surprise pour toi quand tu sortiras mais si tu veut pas la louper il faut que tu soit prête exactement à 14h45, si tu n'est pas prêt à cette heure là tu auras loupé ta surprise. Sa serais dommage, parce que c'est vraiment une grosse surprise.»
Il me promet qu'il sera prêt à l'heure prévu. Il ne voudrais rater ça pour rien au monde, même si il ne sait pas se que c'est. Je finis ma ronde quotidienne en allant voir ma fille. Le médecin avait prévu le coup et est déjà dans la chambre à m'attendre. Il m'annonce que le rétablissement sera plus long pour elle que pour son frère, mais il devrait tout de même pas y avoir de problèmes. Le médecin s'en va. Je me rends compte que je n'ai rien préparé pour elle. Je vais finalement réunir la famille autour d'un bon dîner lorsque les deux seront sortit, je pense que c'est mieux. Mais c'est pas une aussi grosse surprise que celle de mon fils. J'y réfléchirais plus tard, lorsque le premier sera sortit. Je la réconforte, je pense qu'elle en a vraiment besoin, elle est plus fragile que son petit frère.
La journée se termine tranquillement comme tout les jours depuis que mes enfants sont enfermés.
Commentaires
- Pseudo supprimé
05/09/2009 à 13:22:40
Ta fait une faute -J'aurais une surprise pour toi quand tu sortiras mais si tu veut pas la louper il faut que tu soit prête
Sinon sweet - bouffon34
05/09/2009 à 11:37:17
"il faut que tu soit prête exactement à 14h45"
T'as fait une faute
Sweet ! - hui
05/09/2009 à 11:27:01
Sweet