Note de la fic :
Publié le 01/09/2009 à 18:43:20 par julichou
Je prends mon manteau, je sort de chez, je prends le volant pour aller à l'hôpital. J'aurais pu dire «toujours la même routine», mais s'est plus que ça. Le fait est qu'aller à l'hôpital, je ne le faisais pas lorsque mes enfants allaient bien. Cette «routine» là, je ne pourrais la supporter à long terme. Je finirais un jour par m'en lasser, et on sait très bien comment ça pourrais se terminer. Généralement, ce genre d'histoire finit toujours mal. Sauf dans les films ou dans les livres, donc en dehors de la réalité. Je vais donc les voir, ceux qui sont là-bas, enfermés. Je pense que ma présence peut être bénéfique pour le rétablissement de mes enfants. En tout cas s'est se que je me dit, je me dit que grâce à moi ils peuvent s'en sortir. Bien évidemment si ma présence était inutile, les nettoyeur auraient déjà ramasser le peu de matière qui me sert à faire bouger ces mains, ces pieds, ces poumons, ce cœur.
Ma fille est de nouveau en état de me recevoir, en revanche moi je suis peut-être pas en état pour la voir. C'est vrai!! faut que je sois beau pour ma fille, surtout cacher ma tristesse envers elle. Je rentre dans la chambre. Je peux enfin ressentir son odeur, sa peau, sa présence. J'espère que ça lui fait le même effet, en revanche elle ne peut sentir mon odeur, un tuyau lui permet de respirer de l'oxygène pur.
Elle est là, je suis là, nous sommes là, tout les deux. Je n'aurais manqué ce rendez-vous pour rien au monde. Je lui apprends qu'elle sera dehors dans un mois environ, elle est réjouit mais glisse un «Peut-être»en signe de sa perte d'espoir. Je la rassure en lui disant qu'elle ne lui arrivera rien, je crois que s'est se qu'on dit pour réconforter. Je ne suis pas sûr que sa marche l'hypocrisie. C'est vraie je ne peux pas prédire de la bonne ou mauvaise récupération de ma fille. Néanmoins, j'espère. Même si les espérances ne peuvent changer le cours d'une vie, sa vaut bien le coup d'essayer. Je donne des nouvelles de ses grand-parents à Solène. Je lui dit que tout le monde pensent à elle et à son frère. D'ailleurs en parlant de lui, je vais le voir, je quitte «mon ange» pour retrouver mon garçon. Lui va beaucoup mieux, de jours en jours je vois son état s'améliorer, s'est rassurant. Il est bientôt sortit d'affaire, plus que deux semaines pour lui et sa sera finit. Sa sortit sera le prélude d'une nouvelle vie, meilleure bien évidemment. Je tiens le même discours pour mes deux enfants, lui aussi à le droit aux nouvelles des grands-parents. Je sort de l'hôpital, j'ai pris mon « booster » de la journée. On va pouvoir passer aux choses sérieuses. Mais je suis vite freiner, je ne trouve rien à faire. Il est quand même 15h je vais bien trouver quelque chose à faire. Je trouve enfin une idée qui ne me serais jamais passée par la tête auparavant, je vais faire du shopping. Cette idée me répugner pour je ne sais pas quoi mais jamais je n'aurais pensé marcher dans les rues à la recherche de vêtements. Relooking party pour moi, je fais du lèche vitrine toute l'après-midi. Rentré chez moi je suis claqué. Je fais une petite séance défilé de mode. On dirait une grosse pédale mais je m'en fous personne me vois. La soirée se termine tranquillement, je me couche très fatigué.
Ma fille est de nouveau en état de me recevoir, en revanche moi je suis peut-être pas en état pour la voir. C'est vrai!! faut que je sois beau pour ma fille, surtout cacher ma tristesse envers elle. Je rentre dans la chambre. Je peux enfin ressentir son odeur, sa peau, sa présence. J'espère que ça lui fait le même effet, en revanche elle ne peut sentir mon odeur, un tuyau lui permet de respirer de l'oxygène pur.
Elle est là, je suis là, nous sommes là, tout les deux. Je n'aurais manqué ce rendez-vous pour rien au monde. Je lui apprends qu'elle sera dehors dans un mois environ, elle est réjouit mais glisse un «Peut-être»en signe de sa perte d'espoir. Je la rassure en lui disant qu'elle ne lui arrivera rien, je crois que s'est se qu'on dit pour réconforter. Je ne suis pas sûr que sa marche l'hypocrisie. C'est vraie je ne peux pas prédire de la bonne ou mauvaise récupération de ma fille. Néanmoins, j'espère. Même si les espérances ne peuvent changer le cours d'une vie, sa vaut bien le coup d'essayer. Je donne des nouvelles de ses grand-parents à Solène. Je lui dit que tout le monde pensent à elle et à son frère. D'ailleurs en parlant de lui, je vais le voir, je quitte «mon ange» pour retrouver mon garçon. Lui va beaucoup mieux, de jours en jours je vois son état s'améliorer, s'est rassurant. Il est bientôt sortit d'affaire, plus que deux semaines pour lui et sa sera finit. Sa sortit sera le prélude d'une nouvelle vie, meilleure bien évidemment. Je tiens le même discours pour mes deux enfants, lui aussi à le droit aux nouvelles des grands-parents. Je sort de l'hôpital, j'ai pris mon « booster » de la journée. On va pouvoir passer aux choses sérieuses. Mais je suis vite freiner, je ne trouve rien à faire. Il est quand même 15h je vais bien trouver quelque chose à faire. Je trouve enfin une idée qui ne me serais jamais passée par la tête auparavant, je vais faire du shopping. Cette idée me répugner pour je ne sais pas quoi mais jamais je n'aurais pensé marcher dans les rues à la recherche de vêtements. Relooking party pour moi, je fais du lèche vitrine toute l'après-midi. Rentré chez moi je suis claqué. Je fais une petite séance défilé de mode. On dirait une grosse pédale mais je m'en fous personne me vois. La soirée se termine tranquillement, je me couche très fatigué.