Note de la fic :
Publié le 28/08/2009 à 22:07:29 par julichou
Je me réveille tranquillement, je prends mon petit déjeuner, je prends ma couette et m'installe dans mon canapé pour rester au chaud. Je vais sur internet, il faut que je me change les idées. L'autre jour , le saut en parachute, c'était splendide. Je garde cette journée dans un petit coin de ma tête. Je me renseigne sur l'ULM. J'ai vu sa à la télé. Des personnes faisaient de l'ULM à côté des oies. Sa me plairais beaucoup de faire ça. Je me renseigne donc sur un site juste à côté de chez moi, où ils proposent ce genre de vols. Il y est marqué : «prendre rendez-vous!». J'appelle donc le centre et il me propose une séance cette après-midi. Je réserve bien évidemment. Je remarque que le lieu n'est pas très loin de chez mes parents, j'en profiterais pour passer leurs dire un petit bonjour.
12h, je décide de sortir manger en ville, encore pour me faire plaisir. Je ne me refuse plus rien à présent, j'ai remarqué comme la vie valait le coup d'être vécue. Je réserve une table pour moi tout seul dans un resto' chic de la ville. J'arrive là-bas, j'ai pas fait d'efforts vestimentaire. Je me fais plaisir s'est pas pour autant que je vais me mélanger à la masse, je reste tel que je suis, je ne vais pas changer pour ces culs-serrés. Je commande, je mange trois pauvres crevettes, deux radis et une boule de glace, tout ça pour 60 euros. Ils se foutent de nous ce genre de personnes.
Je sort de ce restaurant, je m'en vais voir mes oies, elles au moins elles ne parlent pas, ça les empêche de dire des conneries. J'arrive à l'endroit, un homme me reçoit, c'est lui qui a dressé ses bêtes. Il me les montrent, il m'explique tout ce qu'il y a à savoir sur ses animaux. Nous nous dirigeons enfin vers sa machine, sans plus attendre j'enfile une combinaison, l'homme monte avec moi dans l'ULM et un autre homme est avec les oies sur la piste. Nous décollons, les oies nous suivent de près, elles arrivent à notre hauteur. Je suis juste à quelques mètres de ces volatiles,j'ai l'impression de voler avec elles. L'altitude ne me dérange plus a présent. Depuis que j'ai fais ce saut en parachute, je n'ai plus le vertige, s'est miraculeux. L'accompagnateur me propose de piloter l'appareil, je prend en main un espèce de triangle en métal ressemblant étrangement à l'instrument de musique. J'avais les choses en main, je faisait vaciller légèrement l'appareil pour voir la réaction des animaux. Ils continuaient à me suivre, le soleil se reflétait dans leurs plumes argentées. J'étais muni d'un casque et d'un micro se qui me permettait de communiquer en direct avec le moniteur. Je lui posais des questions sur ces bêtes du genre «Comment reconnaît-on un mâle d'une femelle?» ou bien «Est-ce que sa leurs fait plaisir de voler avec nous ou elles sont obligées parce que vous les avaient éduqué?».
Je suis d'un naturel curieux. Généralement, quand je rencontre quelque chose de nouveau, il faut que j'en sache plus sur cette objet, animal, ou autre.
Nous atterrissons, sa faisait plus de 30 minutes que l'on volait. Je descends de l'appareil, les oies passent devant comme si elles avaient terminé leurs jobs. Je remercient l'équipe et je m'en vais voir mes parents.
Arrivé chez eux, je suis accueillie comme un roi chez mes parents. Ils m'invitent à manger, me demandent des nouvelles. Je leurs racontent ma journée avec les oies et le saut en parachute. Ma mère avait peur quand je lui ai dit que j'avais sauté à plus de 4000m, je la rassurai en lui disant que le parachute s'était bien ouvert. Pendant le dîner je culpabilise:
«-Je suis pas allé voir mes enfants aujourd'hui j'ai honte.
-Ne te fais pas de soucis mon fils, me dis mon père, tu les verras demain. Se que je vais te dire est un peu égoïste mais pense à toi fiston, tu en as grand besoin.
-Oui tu as peut-être raison.»
Je dis au revoir à mes parents et je rentre chez moi. Épuisé je m'endors rapidement.
12h, je décide de sortir manger en ville, encore pour me faire plaisir. Je ne me refuse plus rien à présent, j'ai remarqué comme la vie valait le coup d'être vécue. Je réserve une table pour moi tout seul dans un resto' chic de la ville. J'arrive là-bas, j'ai pas fait d'efforts vestimentaire. Je me fais plaisir s'est pas pour autant que je vais me mélanger à la masse, je reste tel que je suis, je ne vais pas changer pour ces culs-serrés. Je commande, je mange trois pauvres crevettes, deux radis et une boule de glace, tout ça pour 60 euros. Ils se foutent de nous ce genre de personnes.
Je sort de ce restaurant, je m'en vais voir mes oies, elles au moins elles ne parlent pas, ça les empêche de dire des conneries. J'arrive à l'endroit, un homme me reçoit, c'est lui qui a dressé ses bêtes. Il me les montrent, il m'explique tout ce qu'il y a à savoir sur ses animaux. Nous nous dirigeons enfin vers sa machine, sans plus attendre j'enfile une combinaison, l'homme monte avec moi dans l'ULM et un autre homme est avec les oies sur la piste. Nous décollons, les oies nous suivent de près, elles arrivent à notre hauteur. Je suis juste à quelques mètres de ces volatiles,j'ai l'impression de voler avec elles. L'altitude ne me dérange plus a présent. Depuis que j'ai fais ce saut en parachute, je n'ai plus le vertige, s'est miraculeux. L'accompagnateur me propose de piloter l'appareil, je prend en main un espèce de triangle en métal ressemblant étrangement à l'instrument de musique. J'avais les choses en main, je faisait vaciller légèrement l'appareil pour voir la réaction des animaux. Ils continuaient à me suivre, le soleil se reflétait dans leurs plumes argentées. J'étais muni d'un casque et d'un micro se qui me permettait de communiquer en direct avec le moniteur. Je lui posais des questions sur ces bêtes du genre «Comment reconnaît-on un mâle d'une femelle?» ou bien «Est-ce que sa leurs fait plaisir de voler avec nous ou elles sont obligées parce que vous les avaient éduqué?».
Je suis d'un naturel curieux. Généralement, quand je rencontre quelque chose de nouveau, il faut que j'en sache plus sur cette objet, animal, ou autre.
Nous atterrissons, sa faisait plus de 30 minutes que l'on volait. Je descends de l'appareil, les oies passent devant comme si elles avaient terminé leurs jobs. Je remercient l'équipe et je m'en vais voir mes parents.
Arrivé chez eux, je suis accueillie comme un roi chez mes parents. Ils m'invitent à manger, me demandent des nouvelles. Je leurs racontent ma journée avec les oies et le saut en parachute. Ma mère avait peur quand je lui ai dit que j'avais sauté à plus de 4000m, je la rassurai en lui disant que le parachute s'était bien ouvert. Pendant le dîner je culpabilise:
«-Je suis pas allé voir mes enfants aujourd'hui j'ai honte.
-Ne te fais pas de soucis mon fils, me dis mon père, tu les verras demain. Se que je vais te dire est un peu égoïste mais pense à toi fiston, tu en as grand besoin.
-Oui tu as peut-être raison.»
Je dis au revoir à mes parents et je rentre chez moi. Épuisé je m'endors rapidement.