Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Otages!


Par : [no_PGM]
Genre : Action
Statut : Terminée



Chapitre 23


Publié le 12/09/2009 à 15:28:25 par [no_PGM]

Le dernier chapitre tant attendu.
Bonne lecture et peut-être un épilogue si vous êtes sages :noel:

Chapitre XXIII:
Vengeance

Vanessa crie… moi aussi…
Luciano à réussi à se libérer et il vient de tuer Marchal. Comment est-ce possible?
Le corps du surveillant tombe en arrière, un trou sous l’oeil gauche. Son regard est vide et son teint pâle: il est mort!
Luciano s’avance vers moi, je me place devant mes amis dans la même position que Marchal quelques secondes avant moi. Je serais celui qui aura cette dernière balle. Ce sera ma dernière action pour la société. Dommage, j’aurais aimé passer une dernière fois du temps avec mes amis. Et aussi Marine. Le canon se pose doucement sur mon front. Je ferme les yeux pour ne plus regarder le corps de Marchal et inspire. J’expire une dernière fois… Un simple bruissement, une seconde d‘attente puis le coup de feu…
Je titube…
Je tombe…
Vanessa me rattrape. Je ne suis pas mort!
J’ouvre les yeux.
Luciano titube…
Il tombe….
Vers moi! Je pousse son cadavre avant qu’il ne m’écrase et me remet d’aplomb.
Devant moi se trouve Marine, en larmes, assise sur le sol. Elle tient l’arme d’un des hommes de Luciano dans sa main droite, qui est maintenant sur ses genoux.
Je m’approche d’elle et m’assoit à côté d’elle. Je lui passe mon bras autours des épaules. Elle pose sa tête sur mon épaule et pleure. C’est pas facile de tué un homme. Ce genre de souvenir doit vous suivre toute votre vie, je pense qu’il en ira ainsi pour moi en tous cas…
Vanessa est sous le choc, moi aussi, Marine aussi. Nous attendons tous les secours qui ne devraient plus tardés. Je me demande où sont les profs et les élèves qui ont été libérés. Loin sans doutes…
Les flics arrivent cinq secondes avant l’ambulance.
Rapidement, les secouristes essayent d’enraillé l’hémorragie de Fabien tout en le mettant dans l’ambulance. Quelques secondes après ils sont partis.
Des policiers nous donnent à chacun une couvertures et une boisson chaude, du chocolat au lait, pendant que d’autres mettent les cadavres dans des sacs mortuaires.
Cette journée aura été la pire de ma vie, mais aussi la plus excitante… Étonnant, non?
Au bout d’un moment, on nous conduit à l’hôpital en ambulance pour y passer des tests et déceler d’éventuelles lésions traumatiques et pour nous présenter à des psys… La routine…
Pendant que le psy me parle, je m’endors. Subitement. Sans prévenir. Réaction post-traumatique qu’ils diront…
Et ainsi s’achève cette aventure dramatique…


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