Note de la fic :
Publié le 08/09/2009 à 21:27:30 par [no_PGM]
Chapitre XXI:
Confrontation
Après quelques minutes, Vivien se lève et se tourne vers moi:
« - Allons-y, on a une école à sauvé. »
J’admire ce gosse, aider les autres avant tout…
Je regarde ma montre, plus que vingt-cinq minutes avant le point de non-retour…
Je me dirige vers le bâtiment de cours qui sert de refuge à Luciano. Après avoir laisser Vivien à l’abri, je grimpe jusqu’à une fenêtre ouverte du deuxième étage.
Une fois dedans, je commence la recherche.
Ils ne sont pas assez bêtes pour être restés au rez-de-chaussée et par soucis pratique doivent s’être réfugiés du côté où les fenêtres donnent sur la cour où j’ai tués les derniers terroristes.
Ça me laisse deux moitié d’étage à fouillé, rien à mon étage, je passe à l’étage inférieur… Rien!
Plus que vingt minutes… Un petit bruit au-dessus de ma tête m’indique enfin l’emplacement de ma proie: le toit!
J’arrive à la porte et l’entrouvre doucement. Ils sont bien du côté cour…
Grâce au brouillard, ils ne nous ont pas vu arrivé, un bon point pour moi!J’épaule le M-16, vise l’homme à côté de Luciano et tire. Il s’écroule.
Luciano se retourne mais je le tient en joue.
Ça y est! Cette prise d’otages est terminée!
Je m’approche de lui jusqu’à l’agenouillé, après l’action, l’interrogatoire:
« - Pourquoi as-tu pris cette école en otage?
- Pour toi… »
Mon coeur rate un battement. Pour me trouver, ce con à mis des vies en jeu? Vingt-cinq personnes - et même bientôt vingt-sept si je me dépêche pas - sont mortes à cause de ce fils de pute qui veut me voir?
« - Qu’est-ce que tu me veux?
- Silvio*…
- Quoi ‘Silvio’?
- C’était mon père… Il était soldat d’élite dans votre groupe d’intervention… »
Encore? Sauf que j’ai pas de souvenirs d’un quelconque Silvio…
« - Désolé, mais ce nom ne me dit rien…
- MENTEUR!!! Il était avec vous sur le projet EDEN et il est mort ce jour là! »
Il se relève, mon temps de réaction trop long me coûte un coup au ventre et un autre dans les poignets, ce qui à pour effet de faire chuter mon arme depuis le toit. Je le frappe, il me rend coup pour coup, il sait se battre cet enfoiré.
Il me met à terre. Juste dix ans et j’ai autant ramollie? Il s’agenouille pardessus moi et commence à me latter la gueule méchamment. Ça y est! Je le remet! L’italien! J’ai honte de le dire, mais personne n’a jamais appelé son père par son prénom. C’était un vrai soumis mais excellent en prise de contrôle. On le mettait avec un bon fusil d’assaut devant une pièce occupée par une demi douzaine d’ennemis et il vous prenais le contrôle sans difficultés. On l’appelait Macaroni, j’ai jamais sut son vrai prénom…
Au moment où Luciano s’apprête à porter le coup final, un canon de M-16 se braque sur sa tempe.
A l’autre bout de l’arme se tient un Vivien essouflé qui semble prêt à tué son deuxième homme.
Luciano me lâche et s’agenouille de nouveau. Je me lève et lui met mon poing sur le nez, ça craque et il tombe dans les pommes.
Je me masse le poignet et ligote le terroriste avec ma ceinture…
* ah ok le nom de ravioli
Confrontation
Après quelques minutes, Vivien se lève et se tourne vers moi:
« - Allons-y, on a une école à sauvé. »
J’admire ce gosse, aider les autres avant tout…
Je regarde ma montre, plus que vingt-cinq minutes avant le point de non-retour…
Je me dirige vers le bâtiment de cours qui sert de refuge à Luciano. Après avoir laisser Vivien à l’abri, je grimpe jusqu’à une fenêtre ouverte du deuxième étage.
Une fois dedans, je commence la recherche.
Ils ne sont pas assez bêtes pour être restés au rez-de-chaussée et par soucis pratique doivent s’être réfugiés du côté où les fenêtres donnent sur la cour où j’ai tués les derniers terroristes.
Ça me laisse deux moitié d’étage à fouillé, rien à mon étage, je passe à l’étage inférieur… Rien!
Plus que vingt minutes… Un petit bruit au-dessus de ma tête m’indique enfin l’emplacement de ma proie: le toit!
J’arrive à la porte et l’entrouvre doucement. Ils sont bien du côté cour…
Grâce au brouillard, ils ne nous ont pas vu arrivé, un bon point pour moi!J’épaule le M-16, vise l’homme à côté de Luciano et tire. Il s’écroule.
Luciano se retourne mais je le tient en joue.
Ça y est! Cette prise d’otages est terminée!
Je m’approche de lui jusqu’à l’agenouillé, après l’action, l’interrogatoire:
« - Pourquoi as-tu pris cette école en otage?
- Pour toi… »
Mon coeur rate un battement. Pour me trouver, ce con à mis des vies en jeu? Vingt-cinq personnes - et même bientôt vingt-sept si je me dépêche pas - sont mortes à cause de ce fils de pute qui veut me voir?
« - Qu’est-ce que tu me veux?
- Silvio*…
- Quoi ‘Silvio’?
- C’était mon père… Il était soldat d’élite dans votre groupe d’intervention… »
Encore? Sauf que j’ai pas de souvenirs d’un quelconque Silvio…
« - Désolé, mais ce nom ne me dit rien…
- MENTEUR!!! Il était avec vous sur le projet EDEN et il est mort ce jour là! »
Il se relève, mon temps de réaction trop long me coûte un coup au ventre et un autre dans les poignets, ce qui à pour effet de faire chuter mon arme depuis le toit. Je le frappe, il me rend coup pour coup, il sait se battre cet enfoiré.
Il me met à terre. Juste dix ans et j’ai autant ramollie? Il s’agenouille pardessus moi et commence à me latter la gueule méchamment. Ça y est! Je le remet! L’italien! J’ai honte de le dire, mais personne n’a jamais appelé son père par son prénom. C’était un vrai soumis mais excellent en prise de contrôle. On le mettait avec un bon fusil d’assaut devant une pièce occupée par une demi douzaine d’ennemis et il vous prenais le contrôle sans difficultés. On l’appelait Macaroni, j’ai jamais sut son vrai prénom…
Au moment où Luciano s’apprête à porter le coup final, un canon de M-16 se braque sur sa tempe.
A l’autre bout de l’arme se tient un Vivien essouflé qui semble prêt à tué son deuxième homme.
Luciano me lâche et s’agenouille de nouveau. Je me lève et lui met mon poing sur le nez, ça craque et il tombe dans les pommes.
Je me masse le poignet et ligote le terroriste avec ma ceinture…
* ah ok le nom de ravioli