Note de la fic :
Publié le 18/08/2009 à 23:18:30 par sebb73
« Je crois qu’elle va mieux. »
« Tu es sûr ? » Lui demandais je
« Viens constater » Me répondit elle
Avec cette phrase je me disais qu’elle était confiante. J’entrai dans la salle où la jeune fille se reposait et elle était réveillée, assise et me regarda fixement pendant un petit moment et la médecin revint lui parler:
« Comme tu te sens Sandy ? » Lui demanda t-elle
Sandy était assez grande, brune aux yeux noisettes. Ce qui m’avait frappée c’est qu’elle avait repris des couleurs. Son teint blanchâtre de la veille avait disparu au profit de quelque chose de plus chaud bien moins morbide en tout cas. Je me dirigeais vers la médecin et allait dire quelque chose et me retournais vers Sandy qui m’avait suivie du regard. Ceci fut la deuxième surprise que j’eus. Sandy avait retrouvé l’usage de ces yeux.
« Ça va mais j’ai encore mal un peu partout » Répondit-elle au médecin
Fred nous avait rejoint et me demanda le verdict finale la concernant:
« Ça a l’air d’aller elle vient avec nous » Lui dis-je
Josué qui avait entendu ce que j’avais dis poussa un grand soupir de soulagement. Nous nous regroupâmes et je fis une sorte de briefing improvisé avec un plan que j’eus dessiné la veille pendant notre tour de garde
« On est ici, ma maison est a peu près a 10 minutes de marche peut-être 20 si on va au rythme de Sandy. Sur la route on sera surement amener à rencontrer ces saloperies ! Va falloir la jouer fine et ne surtout pas tomber dans leur piège. On fuit si on en croise et on tire uniquement si ils nous rattrapent car les munitions ne sont pas illimitées. Il faut également parler le moins possible. Le silence est notre allié »
« Comment on se dispose pour le temps de la route ? » Me demanda Eva
« Sandy et ceux qui la soutiendront resteront au milieu je me mettrais devant avec Fred et … est-ce que quelqu’un d’autre sait se servir d’une arme ? »Demandais-je
Tout le monde hocha la tête pour dire non.
« Dans ce cas Fred se mettra en queue de peloton. Si ces choses nous attaquent il pourra nous défendre »
Tout le monde était d’accord et 8H00 arriva finalement. Il était temps de partir. Nous fîmes des sacs légers avec des munitions et quelques affaires. Fred sortit le premier et vérifia qu’aucun monstre était à nos trousses. Il nous fit signe de sortir et la marche pouvait commencer. Nous traversâmes un chemin avec des escaliers ce qui était la route la plus courte mais aussi la moins fréquentée pour rejoindre ma maison. Ceci réduisait les chances de rencontre avec ces monstres. Nous passâmes devant une école quand un bruit de métal nous fit sursauter. Nous nous retournâmes et vîmes des bouffeurs. Ils étaient de l’autre côté du grillage de l’école à nous fixer . Ils étaient 4 avec la bave aux lèvres. Ma voix brisa le silence.
« On se tire ! »
Nous nous sommes mis à courir tandis que j’entendais les monstres qui essayaient de briser la clôture ce qui nous donna assez d’avance pour les semer et rejoindre la porte de mon immeuble. J’ouvris la porte et dans le hall je fis un signe pour demander aux autres de ne rien dire et d’avancer le plus discrètement possible. Une fois en haut j’ouvris la porte de ma maison. Tout le monde entra et je verrouilla la porte à double tour. Nous avions de la chance d’être tous arrivés en vie. Nous entrâmes dans une des 2 chambres de mon appartement où nous pouvions allonger Sandy car même si il y eut du mieux elle souffrait quand même. D’où nous étions nous avions une bonne vue sur le quartier qui était vraiment désert. Le soleil d’hier avait été remplacé pour des averses et de gros nuages menaçants couvraient le ciel. Cette image me fit penser à notre situation. Paradisiaque la veille avec des rires, le soleil et les retrouvailles et infernale aujourd’hui avec ces monstres, ces cris, ces morts. Je me rendis dans ma cuisine chercher les vivres et dans la salle de bain chercher des médicaments. C’est ainsi que la première partie de la journée s’écoula. Tandis que je restais à la fenêtre pour monter la garde, David commença à entamer le dialogue avec la médecin.
« Merci pour tout »
« De quoi je n’ai rien fait de spécial » Répondit elle « Grâce à vous Sandy va mieux qu’hier quand elle nous a rejoint » « Je n’ai fais que mon job » Répondit elle
Amélie qui entendit cette conversation s’y joignit
« Au fait comment tu t’appelles ? »
« Moi c’est Sylvie, vous j’ai entendu toi c’est Amélie et toi David c’est ça ? »
« Oui tout à fait, hé tu as le même prénom que ma sœur » Dit David en souriant
Cette remarque avait jetée un froid car chacun se mit à penser à ses proches quand Josué nous appela.
« Docteur venez voir ! »
Je demandais à Tof de prendre ma place tandis que Sylvie et moi allions dans l’autre chambre où Josué tenait compagnie à Sandy. Nous entrâmes et vîmes Sandy qui allait vraiment mal. Elle vomissait du sang et avait du mal a respirer. Tandis que la médecin allait l’allonger sur le côté, Sandy fut prise d’une violente convulsion puis d’une autre. On aurait dit que tous ces muscles se contractaient d’un coup et puis plus rien. Sandy était là étendue sur le lit sans réaction. Après une brève vérification par la médecin elle revint me voir.
« Elle est dans le coma »
« Vous savez à quoi c’est dû ? » Lui demandais-je
Sylvie me prit à part et me dit:
« Peut-être j’ai constaté quelque chose d’anormal en la consultant »
« De quoi s’agit il ? »
Nous entrâmes donc dans la chambre et Sylvie allongea Sandy sur le ventre et remonta la manche de son T-Shirt et me dit:
« Vous voyez ça ? »
Son doigt pointait en direction d’une morsure d’un bouffeur qui était sur le bras de Sandy
« Qu’est ce qu’il y a d’anormal là ? » Lui demandais je « Vous ne voyez pas ? »
Je me penchais un peu et effectivement le sang de Sandy à cet endroit était passé du rouge à un vert type moisissure et le bouffeur qui l’avait mordu était allé assez loin car nous pouvions voir sa veine qui avait anormalement gonflée.
« Tu es sûr ? » Lui demandais je
« Viens constater » Me répondit elle
Avec cette phrase je me disais qu’elle était confiante. J’entrai dans la salle où la jeune fille se reposait et elle était réveillée, assise et me regarda fixement pendant un petit moment et la médecin revint lui parler:
« Comme tu te sens Sandy ? » Lui demanda t-elle
Sandy était assez grande, brune aux yeux noisettes. Ce qui m’avait frappée c’est qu’elle avait repris des couleurs. Son teint blanchâtre de la veille avait disparu au profit de quelque chose de plus chaud bien moins morbide en tout cas. Je me dirigeais vers la médecin et allait dire quelque chose et me retournais vers Sandy qui m’avait suivie du regard. Ceci fut la deuxième surprise que j’eus. Sandy avait retrouvé l’usage de ces yeux.
« Ça va mais j’ai encore mal un peu partout » Répondit-elle au médecin
Fred nous avait rejoint et me demanda le verdict finale la concernant:
« Ça a l’air d’aller elle vient avec nous » Lui dis-je
Josué qui avait entendu ce que j’avais dis poussa un grand soupir de soulagement. Nous nous regroupâmes et je fis une sorte de briefing improvisé avec un plan que j’eus dessiné la veille pendant notre tour de garde
« On est ici, ma maison est a peu près a 10 minutes de marche peut-être 20 si on va au rythme de Sandy. Sur la route on sera surement amener à rencontrer ces saloperies ! Va falloir la jouer fine et ne surtout pas tomber dans leur piège. On fuit si on en croise et on tire uniquement si ils nous rattrapent car les munitions ne sont pas illimitées. Il faut également parler le moins possible. Le silence est notre allié »
« Comment on se dispose pour le temps de la route ? » Me demanda Eva
« Sandy et ceux qui la soutiendront resteront au milieu je me mettrais devant avec Fred et … est-ce que quelqu’un d’autre sait se servir d’une arme ? »Demandais-je
Tout le monde hocha la tête pour dire non.
« Dans ce cas Fred se mettra en queue de peloton. Si ces choses nous attaquent il pourra nous défendre »
Tout le monde était d’accord et 8H00 arriva finalement. Il était temps de partir. Nous fîmes des sacs légers avec des munitions et quelques affaires. Fred sortit le premier et vérifia qu’aucun monstre était à nos trousses. Il nous fit signe de sortir et la marche pouvait commencer. Nous traversâmes un chemin avec des escaliers ce qui était la route la plus courte mais aussi la moins fréquentée pour rejoindre ma maison. Ceci réduisait les chances de rencontre avec ces monstres. Nous passâmes devant une école quand un bruit de métal nous fit sursauter. Nous nous retournâmes et vîmes des bouffeurs. Ils étaient de l’autre côté du grillage de l’école à nous fixer . Ils étaient 4 avec la bave aux lèvres. Ma voix brisa le silence.
« On se tire ! »
Nous nous sommes mis à courir tandis que j’entendais les monstres qui essayaient de briser la clôture ce qui nous donna assez d’avance pour les semer et rejoindre la porte de mon immeuble. J’ouvris la porte et dans le hall je fis un signe pour demander aux autres de ne rien dire et d’avancer le plus discrètement possible. Une fois en haut j’ouvris la porte de ma maison. Tout le monde entra et je verrouilla la porte à double tour. Nous avions de la chance d’être tous arrivés en vie. Nous entrâmes dans une des 2 chambres de mon appartement où nous pouvions allonger Sandy car même si il y eut du mieux elle souffrait quand même. D’où nous étions nous avions une bonne vue sur le quartier qui était vraiment désert. Le soleil d’hier avait été remplacé pour des averses et de gros nuages menaçants couvraient le ciel. Cette image me fit penser à notre situation. Paradisiaque la veille avec des rires, le soleil et les retrouvailles et infernale aujourd’hui avec ces monstres, ces cris, ces morts. Je me rendis dans ma cuisine chercher les vivres et dans la salle de bain chercher des médicaments. C’est ainsi que la première partie de la journée s’écoula. Tandis que je restais à la fenêtre pour monter la garde, David commença à entamer le dialogue avec la médecin.
« Merci pour tout »
« De quoi je n’ai rien fait de spécial » Répondit elle « Grâce à vous Sandy va mieux qu’hier quand elle nous a rejoint » « Je n’ai fais que mon job » Répondit elle
Amélie qui entendit cette conversation s’y joignit
« Au fait comment tu t’appelles ? »
« Moi c’est Sylvie, vous j’ai entendu toi c’est Amélie et toi David c’est ça ? »
« Oui tout à fait, hé tu as le même prénom que ma sœur » Dit David en souriant
Cette remarque avait jetée un froid car chacun se mit à penser à ses proches quand Josué nous appela.
« Docteur venez voir ! »
Je demandais à Tof de prendre ma place tandis que Sylvie et moi allions dans l’autre chambre où Josué tenait compagnie à Sandy. Nous entrâmes et vîmes Sandy qui allait vraiment mal. Elle vomissait du sang et avait du mal a respirer. Tandis que la médecin allait l’allonger sur le côté, Sandy fut prise d’une violente convulsion puis d’une autre. On aurait dit que tous ces muscles se contractaient d’un coup et puis plus rien. Sandy était là étendue sur le lit sans réaction. Après une brève vérification par la médecin elle revint me voir.
« Elle est dans le coma »
« Vous savez à quoi c’est dû ? » Lui demandais-je
Sylvie me prit à part et me dit:
« Peut-être j’ai constaté quelque chose d’anormal en la consultant »
« De quoi s’agit il ? »
Nous entrâmes donc dans la chambre et Sylvie allongea Sandy sur le ventre et remonta la manche de son T-Shirt et me dit:
« Vous voyez ça ? »
Son doigt pointait en direction d’une morsure d’un bouffeur qui était sur le bras de Sandy
« Qu’est ce qu’il y a d’anormal là ? » Lui demandais je « Vous ne voyez pas ? »
Je me penchais un peu et effectivement le sang de Sandy à cet endroit était passé du rouge à un vert type moisissure et le bouffeur qui l’avait mordu était allé assez loin car nous pouvions voir sa veine qui avait anormalement gonflée.