Note de la fic :
Publié le 18/08/2009 à 11:01:40 par sebb73
Elle portait un tailleur assez chic et avait les cheveux blonds. Alors que nous fîmes choqués je décidais d?approcher un peu. D?un peu plus loin j?entendais ma s?ur et les autres parler entre eux.
« Ça doit être un voleur qui l?a tuée la pauvre » Lança David blême « Surement » Répondit Tof
Je me penchais vers le corps de la malheureuse et vérifiai son pouls. Rien. Je me relevai et dit aux autres:
« Oui elle est morte »
Je pus entendre les réactions de dégoût de mes compagnons et décida de me pencher de nouveau vers la défunte. Au premier regard rien ne laissait présager de la suite. J?allais de nouveau me relever quand je vis une bonne quantité de sang de l?autre côté du visage. Je décidai de la tourner et ce que je vis me choqua. Je revins vers les autres tout pâle et Amélie me demanda:
« Qu'est ce qui se passe ? »
« C'est pas un voleur, un voleur ne ferait pas ça » Leur répondis je
Intrigué par ma réponse David alla voir de plus près. Il se pencha et vit très vite où je voulais en venir. Il revint aussi pâle que moi. Amélie inquiète lui demanda:
« Qu'est ce qu'il y a David ? »
« C'est horrible il lui manque la moitié du visage ! »
Cette vision l'avait écoeuré au point de vomir et affola complètement le reste du groupe. Je repris la parole.
« Je sais pas ce qu'il lui a fait ça mais faut qu?on se barre en vitesse ! »
Mes acolytes acquiescèrent d?un hochement de la tête mais au moment ou l?on commença a marcher, Éva resta prostrée par une vision et instinctivement elle montra quelque chose du doigt, On ne le vit pas de suite et Tof se retourna vers sa copine:
« Ça va pas ? »
« Regarde là bas » Répondit elle prostrée
Nous nous retournâmes et vîmes un homme seul, debout, au milieu de la route a une cinquantaine de mètres de nous. Je me mis en première ligne et tenta de lui parler.
« Monsieur ça va ? Vous vous sentez bien ? »
L?homme ne répondit pas mais s?approcha doucement de nous. Il devait avoir la quarantaine est ses habits étaient déchirés en plusieurs endroits. De plus, il avait une démarche qui laissait penser qu?il était drogué.
« Un SDF » Pensais je alors.
L?homme avait fait bien 15 mètres quand il s?écroula au sol et de loin on entendait de faibles gémissements venant de lui. On crut d?abord à une crise de convulsion.
« Faut aller l?aider il souffre » Dit Josué
« Non attends ! » >Répondis-je fermement.
J?hésitais entre fuir ou tenter d?aider cet homme mais au moment ou j?allais prendre une décision, l?homme se releva brusquement et s?approcha du corps de la malheureuse. Je ne compris pas immédiatement pourquoi mais d?un coup il se pencha sur elle et commença à la dévorer. Nous assistions impuissant a du cannibalisme. Du moins c?est ce que je croyais jusqu?à ce que l?homme se releva et se retourna dans notre direction. Il devait être a une quinzaine de mètres et de là je voyais ces lèvres pleines de sang et surtout un sourire terrifiant s?était dessiné sur son visage comme pour dire que ça allait être notre tour. Je murmurais à mes compagnons:
« Courez... »
Nous partîmes en courant en direction du centre-ville et pendant notre fuite, je jetais un ?il derrière moi pour voir et là je dis aux autres:
« Arrêtez on l?a semé ! » En effet il ne nous avait pas suivi et surtout il était parti.
« On va où ? » Lança Josué encore choqué par ces évènements « On va aller chez moi mais on va pas aller au bus on va prendre une voiture »Répondis-je alors
Mes amis étaient d?accord et un peu plus loin un monospace était visible. David s?en approcha et par chance vit les clefs sur le contact. Il nous fit signe de venir. Tof brisa la vitre de la voiture et nous chargions les sacs dans le véhicule quand soudain nous entendîmes au loin des hurlements d?une telle intensité que nous fîmes tous terrorisés. Ces cris étaient à la fois humain et inhumain. Nous montâmes donc dans la voiture et heureusement elle fonctionnait. Au moment de démarrer, David , dans le rétroviseur, aperçut de très nombreuses silhouettes et nous le fit savoir. Nous nous retournâmes tous et les vîmes approcher à grande vitesse. Ces gens là avaient l?air normaux mais ce qui me choqua ce fut leur nombre. Ils étaient plusieurs dizaines et quand ils nous virent dans la voiture, l?un d?entre eux nous fit signe de baisser la vitre. Il s?approcha et nous dit
« Vous faites bien de dégager y a des choses pas claires qui se passent ici ! » Il avait l?air effrayé « Qu?est ce qui se passe ? » Demanda Amélie
« On en sait rien mais vous avez déjà croisé l?un des leurs ? » « Des leurs ? Des leurs de qui ? » Demandais-je intrigué « Nous on les appelle les «bouffeurs» parce qu?ils nous attaquent, nous tuent et nous bouffent. »Répondit l?homme qui repris sa route.
J?allais refermer la vitre quand on entendit de nouveaux hurlements. Similaire à ceux de tout à l?heure mais en plus puissant.
« David fonce ça se rapproche ! » Dis-je
David enclencha le moteur et nous passâmes devant les personnes. Un tout petit peu plus loin il regarda dans son rétroviseur et dit:
« Oh mon dieu ! »
« Qu?est ce qu?il y a ? » Demanda Tof l?air inquiet
« Regardez derrière » Lança David qui avait pris une drôle de voix
Nous nous retournâmes et vîmes un spectacle de désolation. En effet des bouffeurs, ils devaient être une dizaine et avaient encerclés le groupe d?exilé. Un nouveau hurlement à rendre sourd se fit entendre et les monstres passèrent à l?attaque avec une telle rapidité qu?il tuèrent tous les survivants en quelques secondes. Les pauvres n?avaient rien pu faire pour se défendre. Les bouffeurs s?écroulèrent alors et commencèrent à dévorer leurs malheureuses victimes. Nous étions tous dégoutés. David enclencha le moteur et partit du secteur avant que ces monstres ne se décident à nous poursuivre.
« Ce n?est qu?un cauchemar j-je vais me réveiller c?est pas possible » Me répétais-je
Nous étions tous en état de choc tandis que David avait continué de rouler. Nous nous approchâmes alors de mon quartier.
« Vous avez vu ? » Lança Éva qui regardait dehors.
Nous étions a Chambéry le Haut et ici une certaine forme d?activité humaine existait encore dans le supermarché de la seconde tranche du quartier.
« Faut les prévenir ! » Dit David
« Tu crois qu?ils nous écouteront ? » Rétorqua Josué « Va falloir essayer » Lui répondit David
Nous décidâmes donc de nous arrêter sur le parking et d?entrer dans le magasin où il y avait une bonne vingtaine de personnes. Amélie prit l?initiative et commença a exposer la situation du centre-ville. Les gens furent d?abord surpris mais ensuite se mirent à rire. Cette réaction des gens m?énerva et j?allais hurler quand un homme dit
« Regardez !! »
La foule se dirigea vers l?extérieur ou une colonne de fumée était visible de notre position. Cette colonne était menaçante et très épaisse.
« Ça vient du Piochet. Faut appeler les pompiers ! » Dit une autre personne
Je pris mon téléphone et ici étrangement il y avait de la tonalité. Je composais le numéro et quelqu?un me répondit alors
« Puis-je prendre la raison de votre appel ? »
« Oui y a très grosse colonne de fumée au Piochet et .... Allô Allô !! »
Je revins vers les autres et leur annonça qu?il n?y avait plus de tonalité
« C?est comme ça que ça avait commencé en ville » Dit Josué terrifié
Là dessus il avait raison et je me mis à réfléchir quand un des autres hommes avec nous dit:
« Regardez y a d?autres gens qui viennent ils savent peut-être ce qui s?est passé là bas ! »
En effet un groupe d?une bonne demi-douzaine de personnes était visible un peu plus haut sur la route. Ils nous virent et commencèrent à approcher. David vit un détail qui l?angoissa. Ce détail je ne le l?avais pas remarqué tout de suite mais l?une des personnes avaient les 2 bras sectionnés tandis que certains autres boitaient lourdement.
« Ça doit être un voleur qui l?a tuée la pauvre » Lança David blême « Surement » Répondit Tof
Je me penchais vers le corps de la malheureuse et vérifiai son pouls. Rien. Je me relevai et dit aux autres:
« Oui elle est morte »
Je pus entendre les réactions de dégoût de mes compagnons et décida de me pencher de nouveau vers la défunte. Au premier regard rien ne laissait présager de la suite. J?allais de nouveau me relever quand je vis une bonne quantité de sang de l?autre côté du visage. Je décidai de la tourner et ce que je vis me choqua. Je revins vers les autres tout pâle et Amélie me demanda:
« Qu'est ce qui se passe ? »
« C'est pas un voleur, un voleur ne ferait pas ça » Leur répondis je
Intrigué par ma réponse David alla voir de plus près. Il se pencha et vit très vite où je voulais en venir. Il revint aussi pâle que moi. Amélie inquiète lui demanda:
« Qu'est ce qu'il y a David ? »
« C'est horrible il lui manque la moitié du visage ! »
Cette vision l'avait écoeuré au point de vomir et affola complètement le reste du groupe. Je repris la parole.
« Je sais pas ce qu'il lui a fait ça mais faut qu?on se barre en vitesse ! »
Mes acolytes acquiescèrent d?un hochement de la tête mais au moment ou l?on commença a marcher, Éva resta prostrée par une vision et instinctivement elle montra quelque chose du doigt, On ne le vit pas de suite et Tof se retourna vers sa copine:
« Ça va pas ? »
« Regarde là bas » Répondit elle prostrée
Nous nous retournâmes et vîmes un homme seul, debout, au milieu de la route a une cinquantaine de mètres de nous. Je me mis en première ligne et tenta de lui parler.
« Monsieur ça va ? Vous vous sentez bien ? »
L?homme ne répondit pas mais s?approcha doucement de nous. Il devait avoir la quarantaine est ses habits étaient déchirés en plusieurs endroits. De plus, il avait une démarche qui laissait penser qu?il était drogué.
« Un SDF » Pensais je alors.
L?homme avait fait bien 15 mètres quand il s?écroula au sol et de loin on entendait de faibles gémissements venant de lui. On crut d?abord à une crise de convulsion.
« Faut aller l?aider il souffre » Dit Josué
« Non attends ! » >Répondis-je fermement.
J?hésitais entre fuir ou tenter d?aider cet homme mais au moment ou j?allais prendre une décision, l?homme se releva brusquement et s?approcha du corps de la malheureuse. Je ne compris pas immédiatement pourquoi mais d?un coup il se pencha sur elle et commença à la dévorer. Nous assistions impuissant a du cannibalisme. Du moins c?est ce que je croyais jusqu?à ce que l?homme se releva et se retourna dans notre direction. Il devait être a une quinzaine de mètres et de là je voyais ces lèvres pleines de sang et surtout un sourire terrifiant s?était dessiné sur son visage comme pour dire que ça allait être notre tour. Je murmurais à mes compagnons:
« Courez... »
Nous partîmes en courant en direction du centre-ville et pendant notre fuite, je jetais un ?il derrière moi pour voir et là je dis aux autres:
« Arrêtez on l?a semé ! » En effet il ne nous avait pas suivi et surtout il était parti.
« On va où ? » Lança Josué encore choqué par ces évènements « On va aller chez moi mais on va pas aller au bus on va prendre une voiture »Répondis-je alors
Mes amis étaient d?accord et un peu plus loin un monospace était visible. David s?en approcha et par chance vit les clefs sur le contact. Il nous fit signe de venir. Tof brisa la vitre de la voiture et nous chargions les sacs dans le véhicule quand soudain nous entendîmes au loin des hurlements d?une telle intensité que nous fîmes tous terrorisés. Ces cris étaient à la fois humain et inhumain. Nous montâmes donc dans la voiture et heureusement elle fonctionnait. Au moment de démarrer, David , dans le rétroviseur, aperçut de très nombreuses silhouettes et nous le fit savoir. Nous nous retournâmes tous et les vîmes approcher à grande vitesse. Ces gens là avaient l?air normaux mais ce qui me choqua ce fut leur nombre. Ils étaient plusieurs dizaines et quand ils nous virent dans la voiture, l?un d?entre eux nous fit signe de baisser la vitre. Il s?approcha et nous dit
« Vous faites bien de dégager y a des choses pas claires qui se passent ici ! » Il avait l?air effrayé « Qu?est ce qui se passe ? » Demanda Amélie
« On en sait rien mais vous avez déjà croisé l?un des leurs ? » « Des leurs ? Des leurs de qui ? » Demandais-je intrigué « Nous on les appelle les «bouffeurs» parce qu?ils nous attaquent, nous tuent et nous bouffent. »Répondit l?homme qui repris sa route.
J?allais refermer la vitre quand on entendit de nouveaux hurlements. Similaire à ceux de tout à l?heure mais en plus puissant.
« David fonce ça se rapproche ! » Dis-je
David enclencha le moteur et nous passâmes devant les personnes. Un tout petit peu plus loin il regarda dans son rétroviseur et dit:
« Oh mon dieu ! »
« Qu?est ce qu?il y a ? » Demanda Tof l?air inquiet
« Regardez derrière » Lança David qui avait pris une drôle de voix
Nous nous retournâmes et vîmes un spectacle de désolation. En effet des bouffeurs, ils devaient être une dizaine et avaient encerclés le groupe d?exilé. Un nouveau hurlement à rendre sourd se fit entendre et les monstres passèrent à l?attaque avec une telle rapidité qu?il tuèrent tous les survivants en quelques secondes. Les pauvres n?avaient rien pu faire pour se défendre. Les bouffeurs s?écroulèrent alors et commencèrent à dévorer leurs malheureuses victimes. Nous étions tous dégoutés. David enclencha le moteur et partit du secteur avant que ces monstres ne se décident à nous poursuivre.
« Ce n?est qu?un cauchemar j-je vais me réveiller c?est pas possible » Me répétais-je
Nous étions tous en état de choc tandis que David avait continué de rouler. Nous nous approchâmes alors de mon quartier.
« Vous avez vu ? » Lança Éva qui regardait dehors.
Nous étions a Chambéry le Haut et ici une certaine forme d?activité humaine existait encore dans le supermarché de la seconde tranche du quartier.
« Faut les prévenir ! » Dit David
« Tu crois qu?ils nous écouteront ? » Rétorqua Josué « Va falloir essayer » Lui répondit David
Nous décidâmes donc de nous arrêter sur le parking et d?entrer dans le magasin où il y avait une bonne vingtaine de personnes. Amélie prit l?initiative et commença a exposer la situation du centre-ville. Les gens furent d?abord surpris mais ensuite se mirent à rire. Cette réaction des gens m?énerva et j?allais hurler quand un homme dit
« Regardez !! »
La foule se dirigea vers l?extérieur ou une colonne de fumée était visible de notre position. Cette colonne était menaçante et très épaisse.
« Ça vient du Piochet. Faut appeler les pompiers ! » Dit une autre personne
Je pris mon téléphone et ici étrangement il y avait de la tonalité. Je composais le numéro et quelqu?un me répondit alors
« Puis-je prendre la raison de votre appel ? »
« Oui y a très grosse colonne de fumée au Piochet et .... Allô Allô !! »
Je revins vers les autres et leur annonça qu?il n?y avait plus de tonalité
« C?est comme ça que ça avait commencé en ville » Dit Josué terrifié
Là dessus il avait raison et je me mis à réfléchir quand un des autres hommes avec nous dit:
« Regardez y a d?autres gens qui viennent ils savent peut-être ce qui s?est passé là bas ! »
En effet un groupe d?une bonne demi-douzaine de personnes était visible un peu plus haut sur la route. Ils nous virent et commencèrent à approcher. David vit un détail qui l?angoissa. Ce détail je ne le l?avais pas remarqué tout de suite mais l?une des personnes avaient les 2 bras sectionnés tandis que certains autres boitaient lourdement.
Commentaires
- sebb73
18/08/2009 à 16:02:22
Merci
Oui les apostrophes à bugs c'est l'horreur Enfin bref suite ce soir - TosTi
18/08/2009 à 14:40:48
Sweet très bien malgré les bugs, je me fait ridiculiser j'aurai du attendre avant de sortir ma fic moi
- Pseudo supprimé
18/08/2009 à 14:17:04
Oui petit bug avec les apostrophes mais sinon bien écrit, on est prit dans l'histoire.
Sweet ! - Pseudo supprimé
18/08/2009 à 12:49:04
Eh ben, ça a buggué.
Sinon sweet, c'est bien écrit et y'a pas trop de fautes