Note de la fic :
Les péripéties d'un branleur (SAISON 1)
Par : GeneralJVC1
Genre : Nawak, Action
Statut : Terminée
Chapitre 36
Publié le 04/01/2016 à 21:57:03 par GeneralJVC1
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CHAPITRE 36 : Le distributeur
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[Chambre d'hôpital de Justine - 15h26]
Justine : Tient j'ai finis, tu vas pouvoir lire le tome 1
Marc : Cool merci
Justine : Julien, tu voudras en lire après ?
Julien : Non merci, je ne suis pas très manga
Justine : Ha oui ? D'ailleurs, on sait pas grand chose sur toi, c'est quoi tes passions à toi ?
Julien : Des passions ? Et bien... Je ne sais pas si on peut appeler ça une passion mais, je m’intéresse aux choses que les plus brillants scientifiques de ce monde n'ont pas encore résolue
Aux questions restants sans réponses.
Justine : Comme est-ce qu'il y'a des petits hommes verts dans l'espace ?
Julien : Heu... Oui si on veut
Marc : Et tu étudies quoi en ce moment ?
Julien : Les femmes
Marc : Ha bon ?
Justine : Bon courage alors
Julien : Je te remercie
Justine : Tes recherches avancent bien ?
Julien : Pas vraiment, la gente féminine est plus complexe que je ne l'aurais imaginé...
J'ai beau sortir avec une fille différente tous les mois, avec une personnalité différente, une ethnie différente, un âge différent, des goûts différents...
Justine : Tu sors avec une fille différente tous les mois ?
Julien : Oui
Justine : Wow, je t'imaginais pas comme ça
Julien : Et comment m'imaginais tu ?
Justine : Hey bien... Quelqu’un de seul, sans compagnie féminine surtout... Enfin je sais pas trop... Tout sauf ça
Julien : L'habit ne fait pas le moine
Marc : Mais comment tu fais pour sortir avec une fille différente tous les mois ?
Julien : A chaque fin de mois, je dis à la fille avec laquelle je sors que c'est finit entre nous, je la remercie, et le lendemain, début du mois, je viens vers une autre fille, je me familiarise avec elle, et quand je sens que c'est le bon moment, je lui propose de sortir avec moi, dans 95% des cas, elles acceptent
Marc : Ça a l'air tellement simple pour toi
Julien : Le plus compliqué pour vous ce n'est pas de faire en sorte que la fille vous plaisent, non, le plus compliqué, c'est d'avoir le courage de venir vers elle et de vous lancez
Marc : Mais on a peur que la personne pour qui on a des sentiments nous rejettent, c'est un sentiment horrible... Ça t'es jamais arrivé ?
Julien : Non, le sentiment amoureux est malheureusement quelque chose que je ne ressent jamais
Justine : C'est space
Marc : T'en as de la chance
Justine : Pourquoi tu dis ça ?
Marc : Hein ? Heu... pour rien
.........................
De leur côté, Momo et Amélia arrivent au distributeur de cochonneries en tout genre, boissons sucrées, bonbons, barres de céréales et autres... Tout ce qu'il faut pour attirer les gens et les forcer à payer 10 fois plus cher ce qu'ils pourraient s'offrir en plus grand quantité à coup réduit dans les rayons des grandes surfaces
Momo compte bien profité de cette occasion en compagnie d'Amélia pour commencer à mettre en place les précieux conseils que lui a offert Julien.
Amélia : Alors... Justine voulait un 7Up...
Momo : Heu dis-moi Amélia... T'écoutes... de la musique ? ...
Amélia : Bah oui comme tout le monde
Momo : Ouais heu... mais t'écoutes quoi comme style ? Du rap ?
Amélia : Ha non j'aime pas ça le rap, j'écoute beaucoup Maître Gims ou Kaaris
Momo : Mais... C'est du rap...
Amélia : Ha bon Ha bah j'aime bien alors
Momo : Hum... Heu sinon... c'est quoi ta couleur préféré ?
Amélia : Le rouge... Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Momo : Heu... Pour rien juste comme ça...
Momo exécute un facepalm, il se rend compte que ses questions sont d'une stupidité sans nom...
Après avoir inséré sa pièce, Amélia choisit la boisson que Justine lui avait demandé de lui prendre, c'est le numéro 32. Elle le tape, la boisson tombe, la jeune fille a du mal à l'attraper.
Momo : Tu veux un coup d'main
Amélia : Non non ça ira, faut juste que j'arrive à le chopper...
Au même moment, deux individus passent juste derrière les deux adolescents en courant.
Momo jette un œil, un mec à poil poursuit Tony dans les couloirs.
Il aimerait lui venir en aide... mais le jeune homme n'a pas souvent l'occasion de se retrouver seul à seul avec Amélia. Tony et son poursuivant sont déjà loin.
Amélia : Tient, j'ai cru entendre Tony
Momo : Hein ? Ha non non y'avait personne
Amélia : Ha En tout cas, j'ai enfin réussi à attraper cette fichue canette
Tu peux me la tenir pendant que j'achète celles des autres ?
Momo : Ouais ouais bien sur
Amélia : Merci
Momo : Et sinon... c'est quoi ton animal préféré ?
.............................
Cet enfoiré veut pas me lâcher, ça fais 5 minutes qu'il me court après en me répétant qu'il veut un putain de gosse avec moi
Tony : Tu vas finir par me lâcher sale enculé de SEGPA de merde ?!
Guignol : DON MWA 1 BEBE !
Tony : Mais qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ?
Je renverse tout ce qui se trouve sur mon chemin pour essayer de le stopper, mais c'est peine perdue, ce mongole arrive à esquiver tout ce que je balance, les armoires, les meubles, les extincteurs, les vieux croûtons qui se promènent dans les couloirs.
Je tourne à gauche et ouvre la première porte qui vient, YES C'EST OUVERT !
J'entre à toute vitesse tel un cow-boy assoiffé de bière et referme la porte illico derrière moi.
Je plaque mon oreille contre la porte, j'entend le guignol qui continue à crier, il se dirige toujours tout droit, croyant me poursuivre encore... ouf, sauvé !
Je me retourne vers la pièce, soufflant un bon coups quand mon regard se tourne vers le lit de la patiente, une vieille dégueulasse bien ridée et en fin de vie me fixe.
Vieille : Mais qui êtes-vous ?!
Tony : Heu... Je suis le Dr. Cisla madame, je suis juste venu voir si tout allez bien
Vieille : Vous ne ressemblez pas à un médecin !
Je vais appeler les infirmières !
Tony : Quoi ? Non ne faites pas ça ! Je m'en vais alors fermez là !
Elle a l'intention d'appuyer sur l'interrupteur à la con pour prévenir les infirmières, j'essaie de l'en empêcher.
Vieille : Lâchez-moi ! AU SECOURS !
Tony : Mais fermez-là ! Puisque je vous dis que je vous veux aucun mal ! (">
Vieille : A L'AIDE ! ON ESSAIE DE ME VIOLER !
Tony : FERME TA GUEULE TU VAS AVERTIR L'AUTRE GUIGNOL !
Elle continue de crier, je m'empare de son plateau repas posé juste à côté.
Vieille : AIDEZ-MO...
SBAM !
Coup de plateau direct en pleine gueule !
La vieille s'étale sur son lit, les yeux grands ouverts, la langue ressortie.
Tony : Putain j'viens d'assommer une grand mère
Ho et puis merde c'est de sa faute elle avait qu'à pas gueuler comme un dinde
Je repose le plateau repas et ressors de la chambre comme si de rien n'était
J'observe les alentours, aucun bruit, calme complet, victoire, je lui ai échappé !
Je retourne à l'ascenseur, regarde autours de moi, non aucun mongolien en vue
J'appuie et descend au rez-de-chaussé.
Une fois en bas, j'emprunte un long couloir et me rend enfin à l'extérieur.
Il fait super bon, ni trop chaud, ni trop froid, aucun nuage à l'horizon, le soleil brille, si seulement il pouvait faire un temps pareil tous les jours.
J'active mon radar à bonasse mais celui-ci ne donne aucun signal.
Et merde, elle est partie ! Enfoiré de guignol nudiste de merde ! (">
Déçu, je remonte. La gorge sèche, je me rend au distributeur.
J'ai jamais vu un distributeur aussi remplie
Je pointe du doigt la canette de soda la moins chère et fouille dans mon porte-monnaie.
Tony : Roh putain il me manque 10 centimes
Je plaque ma tête à plusieurs reprises contre la vitre du distributeur.
Tony : Putain bam de saloperie bam de journée bam de merde ! bam
??? : Tient j'ai 10 centimes si tu veux.
kisékicause
Je me redresse puis me retourne, une fille, à peut près mon âge, avec un magnifique petit décolleté, un visage d'ange et des yeux d'un bleu clair étincelant (J'en fais trop là ? ) me tend une pièce.
Hey mais c'est celle qui était dans la cour tout à l'heure
Finalement la chance est peut-être de mon côté
CHAPITRE 36 : Le distributeur
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[Chambre d'hôpital de Justine - 15h26]
Justine : Tient j'ai finis, tu vas pouvoir lire le tome 1
Marc : Cool merci
Justine : Julien, tu voudras en lire après ?
Julien : Non merci, je ne suis pas très manga
Justine : Ha oui ? D'ailleurs, on sait pas grand chose sur toi, c'est quoi tes passions à toi ?
Julien : Des passions ? Et bien... Je ne sais pas si on peut appeler ça une passion mais, je m’intéresse aux choses que les plus brillants scientifiques de ce monde n'ont pas encore résolue
Aux questions restants sans réponses.
Justine : Comme est-ce qu'il y'a des petits hommes verts dans l'espace ?
Julien : Heu... Oui si on veut
Marc : Et tu étudies quoi en ce moment ?
Julien : Les femmes
Marc : Ha bon ?
Justine : Bon courage alors
Julien : Je te remercie
Justine : Tes recherches avancent bien ?
Julien : Pas vraiment, la gente féminine est plus complexe que je ne l'aurais imaginé...
J'ai beau sortir avec une fille différente tous les mois, avec une personnalité différente, une ethnie différente, un âge différent, des goûts différents...
Justine : Tu sors avec une fille différente tous les mois ?
Julien : Oui
Justine : Wow, je t'imaginais pas comme ça
Julien : Et comment m'imaginais tu ?
Justine : Hey bien... Quelqu’un de seul, sans compagnie féminine surtout... Enfin je sais pas trop... Tout sauf ça
Julien : L'habit ne fait pas le moine
Marc : Mais comment tu fais pour sortir avec une fille différente tous les mois ?
Julien : A chaque fin de mois, je dis à la fille avec laquelle je sors que c'est finit entre nous, je la remercie, et le lendemain, début du mois, je viens vers une autre fille, je me familiarise avec elle, et quand je sens que c'est le bon moment, je lui propose de sortir avec moi, dans 95% des cas, elles acceptent
Marc : Ça a l'air tellement simple pour toi
Julien : Le plus compliqué pour vous ce n'est pas de faire en sorte que la fille vous plaisent, non, le plus compliqué, c'est d'avoir le courage de venir vers elle et de vous lancez
Marc : Mais on a peur que la personne pour qui on a des sentiments nous rejettent, c'est un sentiment horrible... Ça t'es jamais arrivé ?
Julien : Non, le sentiment amoureux est malheureusement quelque chose que je ne ressent jamais
Justine : C'est space
Marc : T'en as de la chance
Justine : Pourquoi tu dis ça ?
Marc : Hein ? Heu... pour rien
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De leur côté, Momo et Amélia arrivent au distributeur de cochonneries en tout genre, boissons sucrées, bonbons, barres de céréales et autres... Tout ce qu'il faut pour attirer les gens et les forcer à payer 10 fois plus cher ce qu'ils pourraient s'offrir en plus grand quantité à coup réduit dans les rayons des grandes surfaces
Momo compte bien profité de cette occasion en compagnie d'Amélia pour commencer à mettre en place les précieux conseils que lui a offert Julien.
Amélia : Alors... Justine voulait un 7Up...
Momo : Heu dis-moi Amélia... T'écoutes... de la musique ? ...
Amélia : Bah oui comme tout le monde
Momo : Ouais heu... mais t'écoutes quoi comme style ? Du rap ?
Amélia : Ha non j'aime pas ça le rap, j'écoute beaucoup Maître Gims ou Kaaris
Momo : Mais... C'est du rap...
Amélia : Ha bon Ha bah j'aime bien alors
Momo : Hum... Heu sinon... c'est quoi ta couleur préféré ?
Amélia : Le rouge... Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Momo : Heu... Pour rien juste comme ça...
Momo exécute un facepalm, il se rend compte que ses questions sont d'une stupidité sans nom...
Après avoir inséré sa pièce, Amélia choisit la boisson que Justine lui avait demandé de lui prendre, c'est le numéro 32. Elle le tape, la boisson tombe, la jeune fille a du mal à l'attraper.
Momo : Tu veux un coup d'main
Amélia : Non non ça ira, faut juste que j'arrive à le chopper...
Au même moment, deux individus passent juste derrière les deux adolescents en courant.
Momo jette un œil, un mec à poil poursuit Tony dans les couloirs.
Il aimerait lui venir en aide... mais le jeune homme n'a pas souvent l'occasion de se retrouver seul à seul avec Amélia. Tony et son poursuivant sont déjà loin.
Amélia : Tient, j'ai cru entendre Tony
Momo : Hein ? Ha non non y'avait personne
Amélia : Ha En tout cas, j'ai enfin réussi à attraper cette fichue canette
Tu peux me la tenir pendant que j'achète celles des autres ?
Momo : Ouais ouais bien sur
Amélia : Merci
Momo : Et sinon... c'est quoi ton animal préféré ?
.............................
Cet enfoiré veut pas me lâcher, ça fais 5 minutes qu'il me court après en me répétant qu'il veut un putain de gosse avec moi
Tony : Tu vas finir par me lâcher sale enculé de SEGPA de merde ?!
Guignol : DON MWA 1 BEBE !
Tony : Mais qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ?
Je renverse tout ce qui se trouve sur mon chemin pour essayer de le stopper, mais c'est peine perdue, ce mongole arrive à esquiver tout ce que je balance, les armoires, les meubles, les extincteurs, les vieux croûtons qui se promènent dans les couloirs.
Je tourne à gauche et ouvre la première porte qui vient, YES C'EST OUVERT !
J'entre à toute vitesse tel un cow-boy assoiffé de bière et referme la porte illico derrière moi.
Je plaque mon oreille contre la porte, j'entend le guignol qui continue à crier, il se dirige toujours tout droit, croyant me poursuivre encore... ouf, sauvé !
Je me retourne vers la pièce, soufflant un bon coups quand mon regard se tourne vers le lit de la patiente, une vieille dégueulasse bien ridée et en fin de vie me fixe.
Vieille : Mais qui êtes-vous ?!
Tony : Heu... Je suis le Dr. Cisla madame, je suis juste venu voir si tout allez bien
Vieille : Vous ne ressemblez pas à un médecin !
Je vais appeler les infirmières !
Tony : Quoi ? Non ne faites pas ça ! Je m'en vais alors fermez là !
Elle a l'intention d'appuyer sur l'interrupteur à la con pour prévenir les infirmières, j'essaie de l'en empêcher.
Vieille : Lâchez-moi ! AU SECOURS !
Tony : Mais fermez-là ! Puisque je vous dis que je vous veux aucun mal ! (">
Vieille : A L'AIDE ! ON ESSAIE DE ME VIOLER !
Tony : FERME TA GUEULE TU VAS AVERTIR L'AUTRE GUIGNOL !
Elle continue de crier, je m'empare de son plateau repas posé juste à côté.
Vieille : AIDEZ-MO...
SBAM !
Coup de plateau direct en pleine gueule !
La vieille s'étale sur son lit, les yeux grands ouverts, la langue ressortie.
Tony : Putain j'viens d'assommer une grand mère
Ho et puis merde c'est de sa faute elle avait qu'à pas gueuler comme un dinde
Je repose le plateau repas et ressors de la chambre comme si de rien n'était
J'observe les alentours, aucun bruit, calme complet, victoire, je lui ai échappé !
Je retourne à l'ascenseur, regarde autours de moi, non aucun mongolien en vue
J'appuie et descend au rez-de-chaussé.
Une fois en bas, j'emprunte un long couloir et me rend enfin à l'extérieur.
Il fait super bon, ni trop chaud, ni trop froid, aucun nuage à l'horizon, le soleil brille, si seulement il pouvait faire un temps pareil tous les jours.
J'active mon radar à bonasse mais celui-ci ne donne aucun signal.
Et merde, elle est partie ! Enfoiré de guignol nudiste de merde ! (">
Déçu, je remonte. La gorge sèche, je me rend au distributeur.
J'ai jamais vu un distributeur aussi remplie
Je pointe du doigt la canette de soda la moins chère et fouille dans mon porte-monnaie.
Tony : Roh putain il me manque 10 centimes
Je plaque ma tête à plusieurs reprises contre la vitre du distributeur.
Tony : Putain bam de saloperie bam de journée bam de merde ! bam
??? : Tient j'ai 10 centimes si tu veux.
kisékicause
Je me redresse puis me retourne, une fille, à peut près mon âge, avec un magnifique petit décolleté, un visage d'ange et des yeux d'un bleu clair étincelant (J'en fais trop là ? ) me tend une pièce.
Hey mais c'est celle qui était dans la cour tout à l'heure
Finalement la chance est peut-être de mon côté