Note de la fic :
Publié le 22/02/2011 à 12:30:13 par Bay
Chapitre 69
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Lendemin matin, agiain
On était alors Lundi, c'était le début d'une nouvelle semaine. Après des cours toujours plus ennuyeux, et des contacts difficiles suite à ma prise de conscience, ma journée s'annoncait comme définitivement moisie. En sortant du lycée, je vis le mec que j'avaisdéfoncé la veille, accompagné par 3 de ses potes, en train de m'attendre, apparemment, accomapgné par Mélanie, à côté de lui, qui me criait de rentrer chez moi une fois qu'elle m'eut vu. Ces abrutis voulaient sans doute me dégommer, devant le lycée, devant Mélanie... je ne comptais pas me défiler.
Je venais de finir les cours, il était 17h. Il y avait beaucoup de monde devant le lycée, beaucoup restaient devant longtemps après les cours. "Génial, je vais me faire défoncer devant tout le monde, de quoi ruiner le peu de vie sociale que j'avais construit grâce à Mélanie. " Ah, Mélanie. Je pensais à elle, en la regardant, je ne savais pas vraiment quoi faire, ni comment réagir... jusqu'à ce que je repense à cette soirée. Mon poing se serra, je n'avais pas l'intention de fuir, de me barrer en courant devant tout le monde, comme un faible.
- Hey, espèce de gros c*nnard, tu vas la laisser venir vers moi, sinon j'te défonce.
- Oh putain, t'as vu comment il me parle, lui ?
Il se marrait avec ses 2 potes, me prenant de haut. D'un pas sûr, je m'avançais vers lui, pour me retrouver littéralement nez à nez avec lui. "Vas-y, reessaye,de rire". J'étais plein d'assurance, je n'avais même pas peur, je ne pensais qu'à protéger Mélanie, qui n'avait pas l'air très serraine. Je n'avais pas envie de déclencher une baston, je préférais pas être responsable en l'attaquant le premier, mais j'esperai juste qu'il ne me défoncerait pas sans que je puisse réagir, en premier.
- Tu veux quoi, exactement.
- Ce que je veux, c'est que tu te foutes par terre, à genoux, et que tu nous implores de te pardonner, et là.. peut-être qu'on te laissera tranquille ta pute, et toi.
- Pour que tu te prends espèce de fils de..
A peine avais-je commencé à opposer une resistance face à sa requête plus qu'exagéré qu'un des deux mecs à côté de lui me donna un léger coup de pied sur la genoux, histoire de me faire flancher. "L'enfoiré, il m'a pété l'articulation..." Après m'être baissé suite à la douleur, et avoir serré le poing, je collais une droite au mec qui venait de me péter le genoux, en plein dans la machoîre. Il s'était alors étaler par terre, et voyant le deuxième se ramener par derrière, je donnais un coup de pied au niveua du genoux, comme l'autre m'avait fait. Les deux se relevèrent, sans venir m'attaquer.
- Bon connard, tu veux que je t'éclates toi en plus de tes deux potes ou tu fais ce que je dis ?
- Tu te prends pour qui ?
Il me prit alors par le col, avant de mettre une de ses mains sur ma gorge, qu'il serrait comme un bourrin. J'essayais d'enlever ses mains, sans succés, avant de lui mettre une patate de face, en plein sur le nez. Il se mit à genoux, par terre, se tenant le nez qui saignait à grosse effusion, sous les yeux de ses deux potes qui ne faisaient rien. Je lui donna un coup de pied dans le ventre, à terre, pris la main de Mélanie, et parti comme si de rien n'était. Ses potes relevaient le mec, avant de le mettre autour des bras. Le lycée tout entier s'était retourné sur cet incident, qui s'était déroulé limite en face de l'entrée, là ou il y avait tout le monde.
Après avoir pris Mélanie, et après quelques cris ( apparemment d'encouragement ) de la part de la foule, je parti en direction de mon logement ( ) ,pour m'expliquer un peu plus avec elle, à propos de toute cette histoire, pour pouvoir enfin tirer ça au clair. Je sens que cette histoire va me faire gagner en popularité, surtout que le mec était apparemment quelqu'un d'assez populaire, lui aussi... le défoncer devant tout le monde, et repartir aux bras de Mélanie ne peut qu'être bénéfique pour ma vie sociale.
On prit alors la route de la maison de Mélanie, finalement, ayant décidé de la ramener chez elle. La route était longue, elle habitait à plus de 20 minutes à pieds du lycée, j'en profitais pour avoir quelques explications. Selon elle, à la soirée, elle avait bu un mauvais mélange, avait perdu quelques notions, et s'était faite entrainer par le mec, sans se rendre compte de quoi que ce soit, j'étais rassuré.
On était arrivé dans une petite ruelle, qui après avoir traversé le coin, menait directement chez elle, en face d'un petit parc assez désert. Pour l'avoir écouté et pardonné, elle m'adressa alors un baiser langoureux, pris une de mes mains et la posa sur sa poitrine. Je la voyais venir, et pourtant je n'y croyais pas. "Pas ici, t'es malade ! C'est dégueulasse, et imagine on se fait repérer !". Elle ne m'écoute pas, se mit à genoux, et déboutonna mon jean.
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Lendemin matin, agiain
On était alors Lundi, c'était le début d'une nouvelle semaine. Après des cours toujours plus ennuyeux, et des contacts difficiles suite à ma prise de conscience, ma journée s'annoncait comme définitivement moisie. En sortant du lycée, je vis le mec que j'avaisdéfoncé la veille, accompagné par 3 de ses potes, en train de m'attendre, apparemment, accomapgné par Mélanie, à côté de lui, qui me criait de rentrer chez moi une fois qu'elle m'eut vu. Ces abrutis voulaient sans doute me dégommer, devant le lycée, devant Mélanie... je ne comptais pas me défiler.
Je venais de finir les cours, il était 17h. Il y avait beaucoup de monde devant le lycée, beaucoup restaient devant longtemps après les cours. "Génial, je vais me faire défoncer devant tout le monde, de quoi ruiner le peu de vie sociale que j'avais construit grâce à Mélanie. " Ah, Mélanie. Je pensais à elle, en la regardant, je ne savais pas vraiment quoi faire, ni comment réagir... jusqu'à ce que je repense à cette soirée. Mon poing se serra, je n'avais pas l'intention de fuir, de me barrer en courant devant tout le monde, comme un faible.
- Hey, espèce de gros c*nnard, tu vas la laisser venir vers moi, sinon j'te défonce.
- Oh putain, t'as vu comment il me parle, lui ?
Il se marrait avec ses 2 potes, me prenant de haut. D'un pas sûr, je m'avançais vers lui, pour me retrouver littéralement nez à nez avec lui. "Vas-y, reessaye,de rire". J'étais plein d'assurance, je n'avais même pas peur, je ne pensais qu'à protéger Mélanie, qui n'avait pas l'air très serraine. Je n'avais pas envie de déclencher une baston, je préférais pas être responsable en l'attaquant le premier, mais j'esperai juste qu'il ne me défoncerait pas sans que je puisse réagir, en premier.
- Tu veux quoi, exactement.
- Ce que je veux, c'est que tu te foutes par terre, à genoux, et que tu nous implores de te pardonner, et là.. peut-être qu'on te laissera tranquille ta pute, et toi.
- Pour que tu te prends espèce de fils de..
A peine avais-je commencé à opposer une resistance face à sa requête plus qu'exagéré qu'un des deux mecs à côté de lui me donna un léger coup de pied sur la genoux, histoire de me faire flancher. "L'enfoiré, il m'a pété l'articulation..." Après m'être baissé suite à la douleur, et avoir serré le poing, je collais une droite au mec qui venait de me péter le genoux, en plein dans la machoîre. Il s'était alors étaler par terre, et voyant le deuxième se ramener par derrière, je donnais un coup de pied au niveua du genoux, comme l'autre m'avait fait. Les deux se relevèrent, sans venir m'attaquer.
- Bon connard, tu veux que je t'éclates toi en plus de tes deux potes ou tu fais ce que je dis ?
- Tu te prends pour qui ?
Il me prit alors par le col, avant de mettre une de ses mains sur ma gorge, qu'il serrait comme un bourrin. J'essayais d'enlever ses mains, sans succés, avant de lui mettre une patate de face, en plein sur le nez. Il se mit à genoux, par terre, se tenant le nez qui saignait à grosse effusion, sous les yeux de ses deux potes qui ne faisaient rien. Je lui donna un coup de pied dans le ventre, à terre, pris la main de Mélanie, et parti comme si de rien n'était. Ses potes relevaient le mec, avant de le mettre autour des bras. Le lycée tout entier s'était retourné sur cet incident, qui s'était déroulé limite en face de l'entrée, là ou il y avait tout le monde.
Après avoir pris Mélanie, et après quelques cris ( apparemment d'encouragement ) de la part de la foule, je parti en direction de mon logement ( ) ,pour m'expliquer un peu plus avec elle, à propos de toute cette histoire, pour pouvoir enfin tirer ça au clair. Je sens que cette histoire va me faire gagner en popularité, surtout que le mec était apparemment quelqu'un d'assez populaire, lui aussi... le défoncer devant tout le monde, et repartir aux bras de Mélanie ne peut qu'être bénéfique pour ma vie sociale.
On prit alors la route de la maison de Mélanie, finalement, ayant décidé de la ramener chez elle. La route était longue, elle habitait à plus de 20 minutes à pieds du lycée, j'en profitais pour avoir quelques explications. Selon elle, à la soirée, elle avait bu un mauvais mélange, avait perdu quelques notions, et s'était faite entrainer par le mec, sans se rendre compte de quoi que ce soit, j'étais rassuré.
On était arrivé dans une petite ruelle, qui après avoir traversé le coin, menait directement chez elle, en face d'un petit parc assez désert. Pour l'avoir écouté et pardonné, elle m'adressa alors un baiser langoureux, pris une de mes mains et la posa sur sa poitrine. Je la voyais venir, et pourtant je n'y croyais pas. "Pas ici, t'es malade ! C'est dégueulasse, et imagine on se fait repérer !". Elle ne m'écoute pas, se mit à genoux, et déboutonna mon jean.
Commentaires
- C4MeL
22/02/2011 à 17:52:16
Oh du sayks