Note de la fic :
Publié le 17/10/2010 à 14:30:45 par Bay
Chapitre 65
C'est alors que Mélanie, ayant probablement deviné mon désarroi tapota ( ) mon épaule, me fit signe de venir commander d'autres boissons. Une fois chaque commande en main, elle me glissa dans l'oreille "Rejoins moi au toilette discrètement"... je fis limite tomber un verre suite à cette déclaration qui allait très certainement me faire changer d'avis sur cette sortie.
Mélanie s'éloignait alors de nous, sans se retourner. J'étais un peu secoué, alors je fixais un point fixe, sans penser à quelque chose de précis. Cet état ne dura pas, dérangé par ce connard de Marc
- Hé mec, bouge ton cul j'ai soif merde !
- T'attends ou j'te le balance dans laggle ton verre ok ?
- Oooooooooooooh t'énerves pas, on rigole là ..
- Ouai non mais j'avoue tu pourrais lui parler bien quand même, c'est pas un chien
Je m'assis à côté de Julie, lui faisant signe de la tête qu'il m'exaspérait, accompagné d'un soupir ; et je vis à sa tête qu'elle pensait pareil. J'avoue que je ne comprenais pas, c'était son mec, elle devrait être CRO FIER KIL PARL KOM SA LOOOOOOOOL , et bien.. elle n'est pas si kikou que ça apparemment, tant mieux.
J'avais d'autres trucs à faire cependant et j'imaginais alors ce que Mélanie faisait, ce qu'elle préparait, et ce qu'elle allait me faire Je pris alors mon porte monnaie, mimant de vérifier si il me restait de la monnaie, pour camoufler ma recherche sauvage d'une K-POTE Je fus cependant questionné lorsqu'un sourire se dessina sur mes lèvres.
- Non rien, je vais juste de retrouver un peu de fric, heu.. a vrai dire je croyais qu'il m'en restait plus.
- Tu pourras nous offrir un truc s'tu veux alors.
- Ouai, à toi s'tu veux, pas à l'autre racl'.
Je partis tranquillement après lui avoir balancé ça, pendant que l'autr' commençait à s'énerver, sous les rires de Julie.. quel blaireau.
Ca y est, j'étais enfin ( bien le périple en Amazonie ? ) dans la partie toilette, qui était délimitée par un grand espace, dans lequel il y avait deux parties hommes/femmes. Pour un rad' de mayrde comme celui là, ils en avaient des grandes toilettes, rien que "l'entrée" était aussi grande que ma chambre, si ce n'est plus
Je regardais un peu partout, observais les recoins des.. des gogs C'est alors qu'elle me sauta dessus brusquement, accompagné d'un cri perçant de ma part.. elle était cachée derrière la porte pour me faire.. peur
- Comment tu as eu trop peur !
- ... c'est pas sympa, on va attirer tout le monde !
- Mais non t'inquiète, c'est insonorisé .. j'te laisse comprendre pourquoi.
-
Sur cette poésie que Baudelaire m'envierait sans aucun doute, elle prit ma main, et commença à m'embrasser, langoureusement, sans que j'eus le temps de dire quelque chose. Je pris rapidement le dessus en mettant ma main sur sa tête, et l'autre sur ses hanches. Prenant alors soin de fermer la porte d'entrée à clef, et de m'assurer qu'il n'y avait personne en train de lâcher un jolie p'tit colombin. Personne. On était alors tranquille, on pouvait faire ce qu'on voulait.
Elle se rapprocha alors lentement de moi en me fixant, et mis ses mains sur mon t-shirt, qu'elle enleva rapidement. Je l'embrassais, toujours dans la même position qu'avant, en faisant descendre mes mains sur ses fesses, fermes, douces.. magnifique. Après avoir un peu "tâté" ( ), mes mains se mirent devant, enlevant sa ceinture, déboutonnant son pantalon, en le faisant lentement descendre, le long de ses longues jambes. Mes mains se posèrent naturellement dessus, elles étaient froides, et naturellement très douces. Cette sensation déclencha en moi une chose qui ne m'a encore jamais fait défaut, une érection Malgré la présence du jean, cette dernière se fit bien voir, ce qui provoqua un sourire de Mélanie, probablement fier de me faire bander seulement en lui touchant les cuisses.
- Ba dis donc, t'attendais que ça toi
- ...
- Fais pas le timide
Je vis sa culotte ( string ? ) blanche un peu transparente s'offrir à moi, mais j'avais pas envie de la baisser ( ni baiser ) tout de suite, j'avais plus envie de faire patienter le truc. Je baissais mon jean, pour me retrouver en caleçon pointu devant elle, tandis que son petit haut n'allait pas rester très longtemps sur ses épaules. Elle leva alors les mains, je le fis passer par dessus celles-ci ; elle était désormais en sous-vêtement devant moi, tout en s'approchant, encore un peu plus jusqu'à être collée, ses deux jambes autour de l'une des miennes. Je l'embrassais dans cette position, pendant que je posais négligemment ma main sur un de ses seins, à l'intérieur du soutien-gorge, me permettant alors de caresser son téton qui était de plus en plus "dur".
Un cri. C'est un léger cri de plaisir qui sortit de sa bouche, ce qui me surpris.. j'avais pas l'habitude de ça, peut-être elle simulait ? J'en voyais pas l'intérêt, ou alors c'était pour me faire plaisir.. en tout cas je n'y portais pas grand attention, et continuait de caresser voluptueusement son sein si doux dans ma main, tandis que mon autre main lui caressait une partie de la fesse extérieur et de sa hanche, je n'avais encore jamais trouvé un moment aussi bien avec elle, peut-être était-ce l'endroit, ou alors le stress... en tout cas c'était divin, rien qu'en la caressant.
Sans attendre, elle me fit signe de la main de la suivre, elle qui se dirigeait dans les toilettes pour femmes, je pu admirer son magnifique fessier séparer par un léger bout de tissu qui lui rentrait innocemment dans la raie , et c'est de dos que je vis son soutif' tomber par terre, elle était alors seins-nus, sans que je puisse pour l'instant les voir. Je me mis alors accroupi, mes mains autours de ses fesses tandis que j'avalais littéralement ses seins avec lesquelles j'aimais tant jouer, eux qui n'était ni trop petit, ni trop gros, juste parfait.
Il était désormais temps, je baissais mon caleçon faisant sortir le fier soldat, près pour l'attaque C'est alors elle qui se baissa, et tandis que je me remontais, une très forte sensation se fit sentir en moins, elle avait commencer à prendre mon Z dans ses mains, froides qui plus est, n'attendant pas pour le mettre dans sa bouche.
Elle m'avait assurer qu'elle était vierge, je la croyais.. cependant, face à la prestation qu'elle me faisait, le doute était permis, elle s'y prenant étonnamment bien, 1000x mieux que c'te bitch de Casssandra. Quelques coups de langues, de va et viens, et d'intenses montées au niveau du Z que j'essayais de contrôler plus tard, elle décida enfin à enlever le bas. Nous étions alors tout les deux nus, au milieu des toilettes, et nous allions enfin le faire.
Elle partit prendre ma capote dans ma poche, la mis dans sa bouche. J'avoue que je ne compris pas tout sur le coup, mais lorsqu'elle se baissa pour l'enrouler autour de mon Z. Je n'avais encore jamais eu expérience de ça, et j'avoue que c'était beaucoup mieux que ce que j'aurais pu penser, surtout quand c'est yen beauté pareil qui vous le fait.. Mais là j'en pouvais plus, il fallait que ça parte. Je mis une main sur son entrejambe, l'autre accrocher à la sienne, et je la fis monter sur les lavabos, qui étaient à bonne hauteur. Elle s'appuya alors contre le mur, et me dis d'y aller.
Mes mains fièrement posées sur ses hanches, tandis que l'une d'entre elle tenait le Z. J'avançais dans cette position jusqu'à toucher enfin son V, histoire de bien pouvoir le rentrer, c'était alors chose faîte. De petit gémissements se firent entendre, elle avait les yeux fermées, et ses deux mains étaient posés sur les lavabos, pour qu'elle puisse se maintenir correctement. Je fis alors des mouvements de bassins réguliers et lents, tout en la fixant elle. Son visage semblait retranscrire un fort plaisir qui était pareil au mien, et c'est alors que je sentis que ça allait sortir, au bout de 5 minutes seulement.. Je me retira délicatement, attendant que ça passe, tandis que Mélanie descendit du lavabo, pour se mettre accroupi, sa main sur moi.
- T'inquiète pas, ça va passer.
- Ouai j'espère.. je vais pouvoir repartir là j'pense
- Super. =)
Elle me redonna un coup de langue sur mon Z, comme un signe d'encouragement, ce qui me fit reprendre un peu confiance, et repartir de plus belle. Elle se mit alors encore contre le lavabo, debout cette fois ci, les mains dessus, moi derrière elle, en levrette. Une de mes mains se posa sur sa hanche inférieur, de façon à lui toucher l'intérieur du V, tandis que l'autre était sur mon Z, avant de rentrer. Une fois ceci fait, cette dernière se place sur son sein qui pendant un peu plus à cause de la position courbée que celle ci adoptait.
L'avantage que cette positino m'offrait, était déjà qu'elle me donnait une vision plongeante sur ses fesses qui étaient je le rappel juste divine, et que grâce au miroir, je pouvais également voir son corps, ses seins, sa tête crispée de plaisir, ainsi que son V gracieusement épilé pour l'occasion. Comme je le pensais, cela ne dura pas, et après seulement 2/3 minutes, je sentais que mon Z me faisait défaut, ça allait sortir. Mélanie se retourné, enleva la capote, et me fit une toute dernière pipe, sous mes avertissements. Elle allait à rythme plus rapide cette fois ci, et après quelques dizaines de secondes comme cela, elle vit ma tête et se retira rapidement, sous des jets de filets de sperme qui atterrirent sur son petit ventre.
On se rhabille alors, s'embrassant une dernière fois, et on se prit dans les bras comme signe de notre, je l'espère amour réciproque. On était resté alors 15 minutes à l'intérieur, et pour ne pas éveiller les soupçons, c'est Mélanie qui sortit la première, indiquant aux autres que j'étais parti depuis déjà 10 minutes, à cause d'un RDV pressant.
C'est alors que Mélanie, ayant probablement deviné mon désarroi tapota ( ) mon épaule, me fit signe de venir commander d'autres boissons. Une fois chaque commande en main, elle me glissa dans l'oreille "Rejoins moi au toilette discrètement"... je fis limite tomber un verre suite à cette déclaration qui allait très certainement me faire changer d'avis sur cette sortie.
Mélanie s'éloignait alors de nous, sans se retourner. J'étais un peu secoué, alors je fixais un point fixe, sans penser à quelque chose de précis. Cet état ne dura pas, dérangé par ce connard de Marc
- Hé mec, bouge ton cul j'ai soif merde !
- T'attends ou j'te le balance dans laggle ton verre ok ?
- Oooooooooooooh t'énerves pas, on rigole là ..
- Ouai non mais j'avoue tu pourrais lui parler bien quand même, c'est pas un chien
Je m'assis à côté de Julie, lui faisant signe de la tête qu'il m'exaspérait, accompagné d'un soupir ; et je vis à sa tête qu'elle pensait pareil. J'avoue que je ne comprenais pas, c'était son mec, elle devrait être CRO FIER KIL PARL KOM SA LOOOOOOOOL , et bien.. elle n'est pas si kikou que ça apparemment, tant mieux.
J'avais d'autres trucs à faire cependant et j'imaginais alors ce que Mélanie faisait, ce qu'elle préparait, et ce qu'elle allait me faire Je pris alors mon porte monnaie, mimant de vérifier si il me restait de la monnaie, pour camoufler ma recherche sauvage d'une K-POTE Je fus cependant questionné lorsqu'un sourire se dessina sur mes lèvres.
- Non rien, je vais juste de retrouver un peu de fric, heu.. a vrai dire je croyais qu'il m'en restait plus.
- Tu pourras nous offrir un truc s'tu veux alors.
- Ouai, à toi s'tu veux, pas à l'autre racl'.
Je partis tranquillement après lui avoir balancé ça, pendant que l'autr' commençait à s'énerver, sous les rires de Julie.. quel blaireau.
Ca y est, j'étais enfin ( bien le périple en Amazonie ? ) dans la partie toilette, qui était délimitée par un grand espace, dans lequel il y avait deux parties hommes/femmes. Pour un rad' de mayrde comme celui là, ils en avaient des grandes toilettes, rien que "l'entrée" était aussi grande que ma chambre, si ce n'est plus
Je regardais un peu partout, observais les recoins des.. des gogs C'est alors qu'elle me sauta dessus brusquement, accompagné d'un cri perçant de ma part.. elle était cachée derrière la porte pour me faire.. peur
- Comment tu as eu trop peur !
- ... c'est pas sympa, on va attirer tout le monde !
- Mais non t'inquiète, c'est insonorisé .. j'te laisse comprendre pourquoi.
-
Sur cette poésie que Baudelaire m'envierait sans aucun doute, elle prit ma main, et commença à m'embrasser, langoureusement, sans que j'eus le temps de dire quelque chose. Je pris rapidement le dessus en mettant ma main sur sa tête, et l'autre sur ses hanches. Prenant alors soin de fermer la porte d'entrée à clef, et de m'assurer qu'il n'y avait personne en train de lâcher un jolie p'tit colombin. Personne. On était alors tranquille, on pouvait faire ce qu'on voulait.
Elle se rapprocha alors lentement de moi en me fixant, et mis ses mains sur mon t-shirt, qu'elle enleva rapidement. Je l'embrassais, toujours dans la même position qu'avant, en faisant descendre mes mains sur ses fesses, fermes, douces.. magnifique. Après avoir un peu "tâté" ( ), mes mains se mirent devant, enlevant sa ceinture, déboutonnant son pantalon, en le faisant lentement descendre, le long de ses longues jambes. Mes mains se posèrent naturellement dessus, elles étaient froides, et naturellement très douces. Cette sensation déclencha en moi une chose qui ne m'a encore jamais fait défaut, une érection Malgré la présence du jean, cette dernière se fit bien voir, ce qui provoqua un sourire de Mélanie, probablement fier de me faire bander seulement en lui touchant les cuisses.
- Ba dis donc, t'attendais que ça toi
- ...
- Fais pas le timide
Je vis sa culotte ( string ? ) blanche un peu transparente s'offrir à moi, mais j'avais pas envie de la baisser ( ni baiser ) tout de suite, j'avais plus envie de faire patienter le truc. Je baissais mon jean, pour me retrouver en caleçon pointu devant elle, tandis que son petit haut n'allait pas rester très longtemps sur ses épaules. Elle leva alors les mains, je le fis passer par dessus celles-ci ; elle était désormais en sous-vêtement devant moi, tout en s'approchant, encore un peu plus jusqu'à être collée, ses deux jambes autour de l'une des miennes. Je l'embrassais dans cette position, pendant que je posais négligemment ma main sur un de ses seins, à l'intérieur du soutien-gorge, me permettant alors de caresser son téton qui était de plus en plus "dur".
Un cri. C'est un léger cri de plaisir qui sortit de sa bouche, ce qui me surpris.. j'avais pas l'habitude de ça, peut-être elle simulait ? J'en voyais pas l'intérêt, ou alors c'était pour me faire plaisir.. en tout cas je n'y portais pas grand attention, et continuait de caresser voluptueusement son sein si doux dans ma main, tandis que mon autre main lui caressait une partie de la fesse extérieur et de sa hanche, je n'avais encore jamais trouvé un moment aussi bien avec elle, peut-être était-ce l'endroit, ou alors le stress... en tout cas c'était divin, rien qu'en la caressant.
Sans attendre, elle me fit signe de la main de la suivre, elle qui se dirigeait dans les toilettes pour femmes, je pu admirer son magnifique fessier séparer par un léger bout de tissu qui lui rentrait innocemment dans la raie , et c'est de dos que je vis son soutif' tomber par terre, elle était alors seins-nus, sans que je puisse pour l'instant les voir. Je me mis alors accroupi, mes mains autours de ses fesses tandis que j'avalais littéralement ses seins avec lesquelles j'aimais tant jouer, eux qui n'était ni trop petit, ni trop gros, juste parfait.
Il était désormais temps, je baissais mon caleçon faisant sortir le fier soldat, près pour l'attaque C'est alors elle qui se baissa, et tandis que je me remontais, une très forte sensation se fit sentir en moins, elle avait commencer à prendre mon Z dans ses mains, froides qui plus est, n'attendant pas pour le mettre dans sa bouche.
Elle m'avait assurer qu'elle était vierge, je la croyais.. cependant, face à la prestation qu'elle me faisait, le doute était permis, elle s'y prenant étonnamment bien, 1000x mieux que c'te bitch de Casssandra. Quelques coups de langues, de va et viens, et d'intenses montées au niveau du Z que j'essayais de contrôler plus tard, elle décida enfin à enlever le bas. Nous étions alors tout les deux nus, au milieu des toilettes, et nous allions enfin le faire.
Elle partit prendre ma capote dans ma poche, la mis dans sa bouche. J'avoue que je ne compris pas tout sur le coup, mais lorsqu'elle se baissa pour l'enrouler autour de mon Z. Je n'avais encore jamais eu expérience de ça, et j'avoue que c'était beaucoup mieux que ce que j'aurais pu penser, surtout quand c'est yen beauté pareil qui vous le fait.. Mais là j'en pouvais plus, il fallait que ça parte. Je mis une main sur son entrejambe, l'autre accrocher à la sienne, et je la fis monter sur les lavabos, qui étaient à bonne hauteur. Elle s'appuya alors contre le mur, et me dis d'y aller.
Mes mains fièrement posées sur ses hanches, tandis que l'une d'entre elle tenait le Z. J'avançais dans cette position jusqu'à toucher enfin son V, histoire de bien pouvoir le rentrer, c'était alors chose faîte. De petit gémissements se firent entendre, elle avait les yeux fermées, et ses deux mains étaient posés sur les lavabos, pour qu'elle puisse se maintenir correctement. Je fis alors des mouvements de bassins réguliers et lents, tout en la fixant elle. Son visage semblait retranscrire un fort plaisir qui était pareil au mien, et c'est alors que je sentis que ça allait sortir, au bout de 5 minutes seulement.. Je me retira délicatement, attendant que ça passe, tandis que Mélanie descendit du lavabo, pour se mettre accroupi, sa main sur moi.
- T'inquiète pas, ça va passer.
- Ouai j'espère.. je vais pouvoir repartir là j'pense
- Super. =)
Elle me redonna un coup de langue sur mon Z, comme un signe d'encouragement, ce qui me fit reprendre un peu confiance, et repartir de plus belle. Elle se mit alors encore contre le lavabo, debout cette fois ci, les mains dessus, moi derrière elle, en levrette. Une de mes mains se posa sur sa hanche inférieur, de façon à lui toucher l'intérieur du V, tandis que l'autre était sur mon Z, avant de rentrer. Une fois ceci fait, cette dernière se place sur son sein qui pendant un peu plus à cause de la position courbée que celle ci adoptait.
L'avantage que cette positino m'offrait, était déjà qu'elle me donnait une vision plongeante sur ses fesses qui étaient je le rappel juste divine, et que grâce au miroir, je pouvais également voir son corps, ses seins, sa tête crispée de plaisir, ainsi que son V gracieusement épilé pour l'occasion. Comme je le pensais, cela ne dura pas, et après seulement 2/3 minutes, je sentais que mon Z me faisait défaut, ça allait sortir. Mélanie se retourné, enleva la capote, et me fit une toute dernière pipe, sous mes avertissements. Elle allait à rythme plus rapide cette fois ci, et après quelques dizaines de secondes comme cela, elle vit ma tête et se retira rapidement, sous des jets de filets de sperme qui atterrirent sur son petit ventre.
On se rhabille alors, s'embrassant une dernière fois, et on se prit dans les bras comme signe de notre, je l'espère amour réciproque. On était resté alors 15 minutes à l'intérieur, et pour ne pas éveiller les soupçons, c'est Mélanie qui sortit la première, indiquant aux autres que j'étais parti depuis déjà 10 minutes, à cause d'un RDV pressant.
Commentaires
- Snakier
25/10/2010 à 00:33:09
Allez, je suis dans un jour de bonté, je baptise tes commentaires, remercie moi et incline toi
En attendant, j'aime bien ta Fic, elle traine un peu trop en longueur a mon gout (ca va faire 1 an qu'elle existe mine de rien) surtout quand il se passe rien (ce chapitre étant exclu )
Continue, mais n'oublie pas le titre même de ta fic, parce que la Laura n'a plus l'air d'exister là