Note de la fic :
Opal and Onyx
Par : Star_How
Genre : Fantastique, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4 : Explication
Publié le 01/10/2013 à 12:27:36 par Star_How
Nous reprenions notre souffle tous les deux, quand les autres de la fraternité entrèrent dans le bureau :
_Maitre ! Tout va bien ? disaient-ils. Puis ils se tournèrent vers moi avec leurs armes à la main. Toi ! Tu t’es encore déchainé n’est-ce pas ? Monstre !
_Arrêtez. Tout est rentré dans l’ordre. Disposez maintenant. Il parlait faiblement mais d’une voix somme toute suffisamment puissante pour qu’ils s’exécutent sans un mot.
Encore sonné par ce qu’il venait de se passer, je ne disais rien, je me contentais d’observer. Ils ont raison, je suis un monstre, tout est de ma faute.
Les questions se bousculaient dans ma tête, qui était cet être de flammes noires ? Comment connait-il mon père ? Et qui est « l’autre » ?
Prax se leva sans un mot. Et se dirigea vers l’infirmerie. Quant à moi, je retournai dans ma chambre, silencieux et en évitant le regard des autres, que je sentais pesant sur mes épaules.
Les jours passaient, et ni mon père ni les autres membres de la fraternité ne m’ont adressé un mot. Je restais dans ma chambre, seul, à regarder ce bras maudit qui a fait tant de mal, à moi et à mon père. Tout à coup, il rentra, silencieux, les mains encore couvertes de bandages.
_Il est temps que tu saches la vérité. Dit-il.
_....
Devant mon silence, il continua :
_Comme tu le sais, tu possèdes tes pouvoirs depuis que tu as été frappé par ces éclairs, mais tu n’as jamais pu t’en servir correctement. Tu te doutes surement que ce sont tes bracelets qui font ça.
_A quoi ils servent réellement ?
_Ces bracelets sont des catalyseurs qui te permettent une vie normale. Ils ont été créés à partir des deux parties de ton sang, pour contenir leur inverse.
Devant mon étonnement, il continua :
Ton bras gauche contient du sang céleste, blanc ; et ton bras droit du sang infernal, noir. Les livres de la fraternité possèdent des notes à propos des sangs blancs et noirs, mais toujours sur des personnes différentes. Tu es le premier à posséder cette particularité ; ce qui fait de toi l’être le plus dangereux possible. Pendant ton enfance, tes pouvoirs étaient faibles mais se faisaient constamment obstacle, et causaient de nombreux dégâts. J’ai lu dans les livres que seul le sang blanc neutralise le sang noir, et réciproquement. J’ai donc fait forger ces bracelets avec tes sangs pour que tu puisses te maitriser.
_Tu as créé une frontière entre mes sangs pour qu’ils s’annulent l’un l’autre ? Je demandais.
_C’est ça. Tant que les deux bracelets sont à tes poignets, tu ne risques rien.
_Alors pourquoi je me suis retrouvé devant un homme en flammes noires quand j’ai retiré le bracelet blanc ?
Devant ma question, je sentais la crainte monter en lui.
_Il m’a dit qu’il te connaissait, et qu’il y avait un « autre »
_Tu as rencontré la personnification du sang noir… Et l’autre n’est rien d’autre que ton sang blanc… Tu as fait une crise du sang noir. Il cherche à prendre le contrôle de son hôte par n’importe quel moyen, jusqu’à ce que celui-ci ne devienne qu’un démon assoiffé de sang et de violence. Le sang blanc a suffisamment retardé ton mal pour que je puisse le contenir, mais il s’est manifesté et a quand même dévasté l’aile sud du bâtiment, ou était ton ancienne chambre.
_Mais pourquoi mettre deux bracelets ? Pourquoi pas un seul sur le sang noir ?
_Si c’était si simple… La tristesse montait en père au fur et à mesure qu’il continuait dans ses explications. Il continuait :
Le fait que tu possèdes les deux sangs et que tu vives fait de toi une personne unique. Cependant l’un ne peut vivre sans l’autre. Tout sang céleste, aussi blanc soit-il possède une faiblesse : s’il est trop souvent utilisé, il contrôle son porteur de la même façon que le sang noir, et s’il n’est pas assez fort pour contrer cette force, le feu céleste le consumera. C’est ce que dit le livre.
Complètement abasourdi devant ces révélations, plus aucun mot ne sortait de ma bouche. Prax rompit le silence naissant en terminant :
_A partir de maintenant je vais m’occuper moi-même de terminer ton apprentissage. Je vais t’aider à contrôler tes pouvoirs. Tu es mon fils, je sais que tu pourras y arriver. Je vais te laisser digérer tout ça d’abord.
Il sortit de ma chambre, marcha quelques pas, lorsque Strife l’interpella :
_Pourquoi lui avoir caché le plus important ?
_Il ne doit pas savoir maintenant sur la prophétie. On ne sait pas s’il est l’élu. Il est encore trop jeune…. Je dois d’abord l’entrainer, nous aviserons ensuite.
_Maitre ! Tout va bien ? disaient-ils. Puis ils se tournèrent vers moi avec leurs armes à la main. Toi ! Tu t’es encore déchainé n’est-ce pas ? Monstre !
_Arrêtez. Tout est rentré dans l’ordre. Disposez maintenant. Il parlait faiblement mais d’une voix somme toute suffisamment puissante pour qu’ils s’exécutent sans un mot.
Encore sonné par ce qu’il venait de se passer, je ne disais rien, je me contentais d’observer. Ils ont raison, je suis un monstre, tout est de ma faute.
Les questions se bousculaient dans ma tête, qui était cet être de flammes noires ? Comment connait-il mon père ? Et qui est « l’autre » ?
Prax se leva sans un mot. Et se dirigea vers l’infirmerie. Quant à moi, je retournai dans ma chambre, silencieux et en évitant le regard des autres, que je sentais pesant sur mes épaules.
Les jours passaient, et ni mon père ni les autres membres de la fraternité ne m’ont adressé un mot. Je restais dans ma chambre, seul, à regarder ce bras maudit qui a fait tant de mal, à moi et à mon père. Tout à coup, il rentra, silencieux, les mains encore couvertes de bandages.
_Il est temps que tu saches la vérité. Dit-il.
_....
Devant mon silence, il continua :
_Comme tu le sais, tu possèdes tes pouvoirs depuis que tu as été frappé par ces éclairs, mais tu n’as jamais pu t’en servir correctement. Tu te doutes surement que ce sont tes bracelets qui font ça.
_A quoi ils servent réellement ?
_Ces bracelets sont des catalyseurs qui te permettent une vie normale. Ils ont été créés à partir des deux parties de ton sang, pour contenir leur inverse.
Devant mon étonnement, il continua :
Ton bras gauche contient du sang céleste, blanc ; et ton bras droit du sang infernal, noir. Les livres de la fraternité possèdent des notes à propos des sangs blancs et noirs, mais toujours sur des personnes différentes. Tu es le premier à posséder cette particularité ; ce qui fait de toi l’être le plus dangereux possible. Pendant ton enfance, tes pouvoirs étaient faibles mais se faisaient constamment obstacle, et causaient de nombreux dégâts. J’ai lu dans les livres que seul le sang blanc neutralise le sang noir, et réciproquement. J’ai donc fait forger ces bracelets avec tes sangs pour que tu puisses te maitriser.
_Tu as créé une frontière entre mes sangs pour qu’ils s’annulent l’un l’autre ? Je demandais.
_C’est ça. Tant que les deux bracelets sont à tes poignets, tu ne risques rien.
_Alors pourquoi je me suis retrouvé devant un homme en flammes noires quand j’ai retiré le bracelet blanc ?
Devant ma question, je sentais la crainte monter en lui.
_Il m’a dit qu’il te connaissait, et qu’il y avait un « autre »
_Tu as rencontré la personnification du sang noir… Et l’autre n’est rien d’autre que ton sang blanc… Tu as fait une crise du sang noir. Il cherche à prendre le contrôle de son hôte par n’importe quel moyen, jusqu’à ce que celui-ci ne devienne qu’un démon assoiffé de sang et de violence. Le sang blanc a suffisamment retardé ton mal pour que je puisse le contenir, mais il s’est manifesté et a quand même dévasté l’aile sud du bâtiment, ou était ton ancienne chambre.
_Mais pourquoi mettre deux bracelets ? Pourquoi pas un seul sur le sang noir ?
_Si c’était si simple… La tristesse montait en père au fur et à mesure qu’il continuait dans ses explications. Il continuait :
Le fait que tu possèdes les deux sangs et que tu vives fait de toi une personne unique. Cependant l’un ne peut vivre sans l’autre. Tout sang céleste, aussi blanc soit-il possède une faiblesse : s’il est trop souvent utilisé, il contrôle son porteur de la même façon que le sang noir, et s’il n’est pas assez fort pour contrer cette force, le feu céleste le consumera. C’est ce que dit le livre.
Complètement abasourdi devant ces révélations, plus aucun mot ne sortait de ma bouche. Prax rompit le silence naissant en terminant :
_A partir de maintenant je vais m’occuper moi-même de terminer ton apprentissage. Je vais t’aider à contrôler tes pouvoirs. Tu es mon fils, je sais que tu pourras y arriver. Je vais te laisser digérer tout ça d’abord.
Il sortit de ma chambre, marcha quelques pas, lorsque Strife l’interpella :
_Pourquoi lui avoir caché le plus important ?
_Il ne doit pas savoir maintenant sur la prophétie. On ne sait pas s’il est l’élu. Il est encore trop jeune…. Je dois d’abord l’entrainer, nous aviserons ensuite.