Note de la fic :
Publié le 16/09/2013 à 00:29:08 par Pain
Mais au fond, rien ne se passe comme on le veut hein.
Tout dérape au moment où on s'y attends le moins.
Le souvenir de cet hiver est comme une tache indélébile dans mon coeur.
Une partie de mon âme s'est arracher de mon moi pour, comme les corps encore chauds, mourir à mes pieds.
Chaque soirs ces images me hantaient, Liam, tuant à bout portant ces lycéens innocents. Pour finalement se suicider devant un miroir fissuré.
"Pourquoi ?"
J'avais perdu plus qu'une partie de mon âme. Comment se relever sain d'esprit après avoir assisté à un massacre perpétré par son meilleur ami ?
Encore aujourd'hui ma haine envers ce meurtrier était vive. 15 ans après. J'avais perdu mon travail à cause des insomnies, j'avais perdu mes amis à cause de mes sautes d'humeur. Je ne pouvais guérir. La vie me dégoûtait, et elle me le rendait bien.
Pire, je me dégoûtais mais j'étais trop lâche, trop lâche pour chercher à m'en sortir, trop lâche pour en finir. Alors je noyais mes nuit dans l'alcool bon marché pour pouvoir dormir du sommeil salvateur de l'ivrogne, je prenais des antidépresseurs pour tenir la journée, je buvais le malheur des autres pour me sentir moins seul.
Je m'étais une foi de plus rendue à mon travail imaginaire en retard, puis était rentré chez moi, avait allumer une clope puis la télé. S'abrutir était encore à ma porté.
Mais comme je vous le disais plus haut, rien ne se passe comme on le voudrait. Aujourd'hui la scène était dressé et le spectacle allait bientôt commencer.
Tout commença par 3 rapides coups à ma porte, je les ignorai royalement.
Mais l'insistance de l'inconnue fini par vaincre mon éternel lassitude.
Toujours d'un air fatigué je me levai, marchant à pas lent en gueulant :
"J'emmerde Jéhovah !"
Une voix féminine me répondit quelque chose que je ne compris pas. Paranoïa aidant, l'installation d'une porte blindée dans ce taudis n'aidait pas à la compréhension de ses paroles. Mais l'effet d'une voix féminine sur un homme est bien connus, à notre grand malheur. J'ouvris la porte en grand pour être surpris par une tête blonde s'engouffrant sans attendre dans mon entrée.
La bouche ouverte par la surprise, je l'entendis débiter son charabia incompréhensible:
"Ils arrivent, vite, aidez.. Aidez moi, vite, dangereux, eux arrivent, aidez moi."
Encore une foi le fait qu'elle soit une femme l'aida grandement dans a force de persuasion. Je refermai la porte, l'air calme .
Silence. Échange de regards, géné d'un coté, interrogateur de l'autre.
"Mais qu'est-ce que tu fou bordels ?"
Ton brusque, j'éclate.
"Enfin.. Qu'est-ce qui se passe ?"
Tentative de rattrapage.
Elle avait vraiment l'air dérangé, la pauvre, sa ne fera que deux dingues dans la pièce maintenant.
"Ils arrivent ! Méchant avec moi, réussie à courir, ils arrivent, aidez moi, aidez moi..."
Et elle répétait ça.
Jusqu'au moment où trois coups sonores venant de la porte retentirent. D'un coup elle se tut, ses yeux exprimant une terreur sans nom.
"Putain, c'est quoi encore que s'te merde."
Je lui fis signe de se taire et lui montra la cuisine. Elle s'y dirigea en me jetant un dernier regards affolé.
Les coups redoublèrent à la porte.
"2 secondes j'arrive !"
Je pris alors un sac de sport que je mis à trois mètre de la porte, l'ouvris sans dévoiler son contenue puis alla ouvrir la porte.
"Bonjour monsieur"
Deux types mastocs à la mine patibulaire me regardaient de leurs petits yeux porcins. Je sentais que j'allais les aimer ces deux là.
"'Lut, j'peux faire quelque chose pour vous ?"
Regard noir.
"On cherche une jeune fille blonde et on l'a vut rentrer chez vous. Elle nous appartient."
Tout en disant cela, je vis le deuxième homme (qui n'avait pas encore parler), dévoiler la crosse d'une arme dépassant de sa ceinture.
"Ha, vous parlez d'elle, venez, elle est dans la cuisine."
Je les conduisis donc à travers le salon vers la cuisine.
Là, je vis les yeux de la fille s'agrandir encore plus, sa peur était palpable mais elle ne fit rien pour se protéger, elle baissa juste la tête.
"Voilà, prenez la."
L'homme silencieux la pris par les cheveux et la tira vers la sortie sans ménagement.
Le premier homme me regarda puis suivie son homologue de quelques pas. D'un coup il se retourna, je faisais bien une tête de plus que lui mais je me sentie rapetisser devant son regard de tueur.
"Pas un mot où on revient."
Sec.
"Pas.. Pas de problème"
Il sourit.
Je souris.
Le con allait en avoir pour son compte.
Il repris son chemin, passa devant le sac de sport sans le remarquer. Mais moi non.
Arriver devant, je pris un objet long, rond se cachant dans le fond du sac. Le levant, je jetai un dernier regards à l'homme approchant de la porte.
"T'inquiète, t'y arriveras pas" pensai-je.
Je pris trois pas d'élans et écrasai la batte de base ball sur la temps du mec. Sa tête parut explosé sous l'impact.
Oubliant toute prudence je criai :
"Home Run !!!" pour évacuer la pression.
Il ne fallait plus que traîner le corps jusque dans le salon. Et attendre l'autre gugusse pour lui éclater la gueule.
Je fis en sorte que le corps soit en vue de l'homme quand il dépasserait la porte de ma chambre, où je l'attendrais patiemment pour surgir dans son dos et lui botter le cul dans les règles.
Déplacer le macabé laissa une longue trace rouge sur mon carrelage. L'autre con était peut etre muet mais pas aveugle.
J'entendis bientôt une portière claqué, suivit de pas sur le gravier. A peine passé dans ma chambre, j'entendais déjà les semelles de cuir glissé sur le sang. Je le vis passer devant ma porte, l'arme à la main, mes muscles se raidir sous l'effet du stress. Quand il vit le corps de son coéquipier il était déjà trop tard. Il ne sentit qu'un souffle de vent sur le haut de son crâne chauve avant que celui-ci explose comme une pastèque. J'avais abattue ma batte comme une guillotine.. En moins propre.
Je me sentais vivre. Tuer m'avais libérer, pour un court instant.
Bientôt je me rappelai que la blonde devant se pisser dessus à force d'attendre. Mon visage se recomposa un air de mort vivant. Vieille habitude tenace. Il faudrait que je travail un sourire peut etre.
Je me dirigeai d'un pas mesuré vers la berline noir garé devant chez moi. Personne à l'intérieur. Mais point bonus les clefs étaient sur le contacte, j'aurais pas à les chercher sur les corps des deux hommes de mains.
Mais dans tout ça : "où était passer la pute qui m'avait attiré des emmerdes ?"
Je tendis l'oreille, un faible son provenait du coffre. Hahaha la conne. Pourquoi pas la laisser là pendant quelques temps tiens.
Il me fallait d'abord nettoyer le grabuge, faire disparaitre les deux corps, prendre leur armes au passage puis déguerpir vite fait, il faudra être loin quand les petits copains des défunts pointront leur nez.
Nettoyer les traces de sang me pris un temps fou. J'avais foutue les deux corps dans ma vieille bagnole pour aller la faire brûler un peu plus loin. Les pistolets s'étaient retrouvé dans mon sac de sport avec ma batte (nettoyer elle aussi) et quelques affaires pour survivre quelques temps loin de la baraque.
Plus que deux choses à faire : bouger la berline, puis conduire mon ancienne bagnoles dans un endroit tranquille pour le feu de joie.
Je garai la voiture des truands sur un parking publique puis revint tranquillement à la baraque pour m'occuper des corps.
Arrivé à 30 mètre de ma piaule, je vis un fourgon noir garé "devant" mon entrée, sur les graviers. Un mec en costar noir était à la place conducteur, un autre près de ma bagnole ouverte de toute part, les deux corps n'était plus dans le coffre.
Je fis mine de passer mon chemin sans regarder mais ce qui je vis me fis froid dans le dos. Dans quel merde la blonde m'avait foutue. Tiens je l'avais oublier elle.. Merde, le coffre !
Passé le coin de la rue, je courus une dizaine de minutes jusqu'à la berline noir. D'un coup de clef j'ouvris le coffre, trouvant la blonde effrayé, un baillon sur les lèvres.
Pas le temps pour la galanterie, je la portai de maniere tres peu commode pour la jeter sur le siège conducteur. Je refis le tour pour fermer le coffre puis rentrer dans la voiture. Là, je lui jetai un regards en coin. Elle, elle me fixait, d'une expression que je ne pris pas la peine de déchiffrer. J'allumai le moteur, sortant du parking, passant la 2nd et m'engageant un peu plus loin sur le périph'.
Putain ses embouteillages m'avaient pas manqués.
Au bout d'un moment, j'enlevis le baillon fait de sparadrap et de chiffon enfoncé dans la bouche. Je la vis respirer un grand coup mais elle ne dit rien.
"Même pas un petit merci ?"
Silence.
"Tin ça va etre joyeux comme road trip je le sens"
La colère monta. Je la regardai avec un air de tueur mais elle soutiens mon regard en restant de marbre.
"Ok j'te lache c'est bon"
Foutue saute d'humeur.
Je me concentrai sur la route, le trafique à la sortie du boulot était dense.
La voix frêle de ma passagère me fis sursauter :
"Pourquoi ?"
Encore cette question.
Tout dérape au moment où on s'y attends le moins.
Le souvenir de cet hiver est comme une tache indélébile dans mon coeur.
Une partie de mon âme s'est arracher de mon moi pour, comme les corps encore chauds, mourir à mes pieds.
Chaque soirs ces images me hantaient, Liam, tuant à bout portant ces lycéens innocents. Pour finalement se suicider devant un miroir fissuré.
"Pourquoi ?"
J'avais perdu plus qu'une partie de mon âme. Comment se relever sain d'esprit après avoir assisté à un massacre perpétré par son meilleur ami ?
Encore aujourd'hui ma haine envers ce meurtrier était vive. 15 ans après. J'avais perdu mon travail à cause des insomnies, j'avais perdu mes amis à cause de mes sautes d'humeur. Je ne pouvais guérir. La vie me dégoûtait, et elle me le rendait bien.
Pire, je me dégoûtais mais j'étais trop lâche, trop lâche pour chercher à m'en sortir, trop lâche pour en finir. Alors je noyais mes nuit dans l'alcool bon marché pour pouvoir dormir du sommeil salvateur de l'ivrogne, je prenais des antidépresseurs pour tenir la journée, je buvais le malheur des autres pour me sentir moins seul.
Je m'étais une foi de plus rendue à mon travail imaginaire en retard, puis était rentré chez moi, avait allumer une clope puis la télé. S'abrutir était encore à ma porté.
Mais comme je vous le disais plus haut, rien ne se passe comme on le voudrait. Aujourd'hui la scène était dressé et le spectacle allait bientôt commencer.
Tout commença par 3 rapides coups à ma porte, je les ignorai royalement.
Mais l'insistance de l'inconnue fini par vaincre mon éternel lassitude.
Toujours d'un air fatigué je me levai, marchant à pas lent en gueulant :
"J'emmerde Jéhovah !"
Une voix féminine me répondit quelque chose que je ne compris pas. Paranoïa aidant, l'installation d'une porte blindée dans ce taudis n'aidait pas à la compréhension de ses paroles. Mais l'effet d'une voix féminine sur un homme est bien connus, à notre grand malheur. J'ouvris la porte en grand pour être surpris par une tête blonde s'engouffrant sans attendre dans mon entrée.
La bouche ouverte par la surprise, je l'entendis débiter son charabia incompréhensible:
"Ils arrivent, vite, aidez.. Aidez moi, vite, dangereux, eux arrivent, aidez moi."
Encore une foi le fait qu'elle soit une femme l'aida grandement dans a force de persuasion. Je refermai la porte, l'air calme .
Silence. Échange de regards, géné d'un coté, interrogateur de l'autre.
"Mais qu'est-ce que tu fou bordels ?"
Ton brusque, j'éclate.
"Enfin.. Qu'est-ce qui se passe ?"
Tentative de rattrapage.
Elle avait vraiment l'air dérangé, la pauvre, sa ne fera que deux dingues dans la pièce maintenant.
"Ils arrivent ! Méchant avec moi, réussie à courir, ils arrivent, aidez moi, aidez moi..."
Et elle répétait ça.
Jusqu'au moment où trois coups sonores venant de la porte retentirent. D'un coup elle se tut, ses yeux exprimant une terreur sans nom.
"Putain, c'est quoi encore que s'te merde."
Je lui fis signe de se taire et lui montra la cuisine. Elle s'y dirigea en me jetant un dernier regards affolé.
Les coups redoublèrent à la porte.
"2 secondes j'arrive !"
Je pris alors un sac de sport que je mis à trois mètre de la porte, l'ouvris sans dévoiler son contenue puis alla ouvrir la porte.
"Bonjour monsieur"
Deux types mastocs à la mine patibulaire me regardaient de leurs petits yeux porcins. Je sentais que j'allais les aimer ces deux là.
"'Lut, j'peux faire quelque chose pour vous ?"
Regard noir.
"On cherche une jeune fille blonde et on l'a vut rentrer chez vous. Elle nous appartient."
Tout en disant cela, je vis le deuxième homme (qui n'avait pas encore parler), dévoiler la crosse d'une arme dépassant de sa ceinture.
"Ha, vous parlez d'elle, venez, elle est dans la cuisine."
Je les conduisis donc à travers le salon vers la cuisine.
Là, je vis les yeux de la fille s'agrandir encore plus, sa peur était palpable mais elle ne fit rien pour se protéger, elle baissa juste la tête.
"Voilà, prenez la."
L'homme silencieux la pris par les cheveux et la tira vers la sortie sans ménagement.
Le premier homme me regarda puis suivie son homologue de quelques pas. D'un coup il se retourna, je faisais bien une tête de plus que lui mais je me sentie rapetisser devant son regard de tueur.
"Pas un mot où on revient."
Sec.
"Pas.. Pas de problème"
Il sourit.
Je souris.
Le con allait en avoir pour son compte.
Il repris son chemin, passa devant le sac de sport sans le remarquer. Mais moi non.
Arriver devant, je pris un objet long, rond se cachant dans le fond du sac. Le levant, je jetai un dernier regards à l'homme approchant de la porte.
"T'inquiète, t'y arriveras pas" pensai-je.
Je pris trois pas d'élans et écrasai la batte de base ball sur la temps du mec. Sa tête parut explosé sous l'impact.
Oubliant toute prudence je criai :
"Home Run !!!" pour évacuer la pression.
Il ne fallait plus que traîner le corps jusque dans le salon. Et attendre l'autre gugusse pour lui éclater la gueule.
Je fis en sorte que le corps soit en vue de l'homme quand il dépasserait la porte de ma chambre, où je l'attendrais patiemment pour surgir dans son dos et lui botter le cul dans les règles.
Déplacer le macabé laissa une longue trace rouge sur mon carrelage. L'autre con était peut etre muet mais pas aveugle.
J'entendis bientôt une portière claqué, suivit de pas sur le gravier. A peine passé dans ma chambre, j'entendais déjà les semelles de cuir glissé sur le sang. Je le vis passer devant ma porte, l'arme à la main, mes muscles se raidir sous l'effet du stress. Quand il vit le corps de son coéquipier il était déjà trop tard. Il ne sentit qu'un souffle de vent sur le haut de son crâne chauve avant que celui-ci explose comme une pastèque. J'avais abattue ma batte comme une guillotine.. En moins propre.
Je me sentais vivre. Tuer m'avais libérer, pour un court instant.
Bientôt je me rappelai que la blonde devant se pisser dessus à force d'attendre. Mon visage se recomposa un air de mort vivant. Vieille habitude tenace. Il faudrait que je travail un sourire peut etre.
Je me dirigeai d'un pas mesuré vers la berline noir garé devant chez moi. Personne à l'intérieur. Mais point bonus les clefs étaient sur le contacte, j'aurais pas à les chercher sur les corps des deux hommes de mains.
Mais dans tout ça : "où était passer la pute qui m'avait attiré des emmerdes ?"
Je tendis l'oreille, un faible son provenait du coffre. Hahaha la conne. Pourquoi pas la laisser là pendant quelques temps tiens.
Il me fallait d'abord nettoyer le grabuge, faire disparaitre les deux corps, prendre leur armes au passage puis déguerpir vite fait, il faudra être loin quand les petits copains des défunts pointront leur nez.
Nettoyer les traces de sang me pris un temps fou. J'avais foutue les deux corps dans ma vieille bagnole pour aller la faire brûler un peu plus loin. Les pistolets s'étaient retrouvé dans mon sac de sport avec ma batte (nettoyer elle aussi) et quelques affaires pour survivre quelques temps loin de la baraque.
Plus que deux choses à faire : bouger la berline, puis conduire mon ancienne bagnoles dans un endroit tranquille pour le feu de joie.
Je garai la voiture des truands sur un parking publique puis revint tranquillement à la baraque pour m'occuper des corps.
Arrivé à 30 mètre de ma piaule, je vis un fourgon noir garé "devant" mon entrée, sur les graviers. Un mec en costar noir était à la place conducteur, un autre près de ma bagnole ouverte de toute part, les deux corps n'était plus dans le coffre.
Je fis mine de passer mon chemin sans regarder mais ce qui je vis me fis froid dans le dos. Dans quel merde la blonde m'avait foutue. Tiens je l'avais oublier elle.. Merde, le coffre !
Passé le coin de la rue, je courus une dizaine de minutes jusqu'à la berline noir. D'un coup de clef j'ouvris le coffre, trouvant la blonde effrayé, un baillon sur les lèvres.
Pas le temps pour la galanterie, je la portai de maniere tres peu commode pour la jeter sur le siège conducteur. Je refis le tour pour fermer le coffre puis rentrer dans la voiture. Là, je lui jetai un regards en coin. Elle, elle me fixait, d'une expression que je ne pris pas la peine de déchiffrer. J'allumai le moteur, sortant du parking, passant la 2nd et m'engageant un peu plus loin sur le périph'.
Putain ses embouteillages m'avaient pas manqués.
Au bout d'un moment, j'enlevis le baillon fait de sparadrap et de chiffon enfoncé dans la bouche. Je la vis respirer un grand coup mais elle ne dit rien.
"Même pas un petit merci ?"
Silence.
"Tin ça va etre joyeux comme road trip je le sens"
La colère monta. Je la regardai avec un air de tueur mais elle soutiens mon regard en restant de marbre.
"Ok j'te lache c'est bon"
Foutue saute d'humeur.
Je me concentrai sur la route, le trafique à la sortie du boulot était dense.
La voix frêle de ma passagère me fis sursauter :
"Pourquoi ?"
Encore cette question.