Note de la fic :
Naissance d'un fantôme
Par : GrosPorc-Malade
Genre : Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : Le camp
Publié le 11/09/2013 à 11:32:20 par GrosPorc-Malade
Mon dieu. Il...Il me faut des médicaments au plus vite... J'ai l'impression d'entendre à travers un scaphandrier... Le bruit sourd des pales de l'hélicoptère s'est arrêté. Tout est calme à présent. J'arrive presque à percevoir le bruit aigu des roues de mon brancard. Il me semble voir au loin des bâches blanches... Sûrement leur campement. Espérons que tout se passera bien. Je ne sais pas ce que ces Russes veulent faire de moi mais à en voir l'agitation de certain, je penses que eux non plus n'en n'ont pas la moindre idée. L'un d'eux à même mis son revolver dans ma bouche avant qu'un de ses "camarade" ne lui beugle quelque chose d'inaudible à travers son masque.
Les roues se sont arrêtées, terminus, tout le monde descend. Je ne croyais pas si bien dire... C'est avec une délicatesse inégalée qu'il basculèrent mon brancard pour me jeter à terre. Je n'essayais même pas de me relever, je n'en n'avais pas la force et le garde qui me mis son revolver entre les dents il y a quelques minutes semblent ne demander que cela pour se défouler un peu. J'étais dans une petite tente dénuée de tout mobilier. La lumière du soleil qui frappais la bâche blanche au dessus de moi m'assommait littéralement. Je perdis à nouveau connaissance.
Quelques mouches commençaient à se poser sur mes paupière noircis par la crasse lorsque qu'un garde me releva. Il me mis debout et me poussa violemment vers la sortie de ma tente. A peine j'eu traversé les deux battants en plastique de ma tente avec ma tête que j'alla m'effondrer dehors sous le regard moqueur des autres gardes.
C'est donc avec tout autant d'hospitalité qu'on me conduisit à ce qui semblais être le chef de ce campement miteux. On m'assis alors sur une chaise en bois. On me noua les poings derrière le dos et l'interrogatoire commença.
"Qui es tou ?"
Je ne répondais pas...
"QUI ES TOU ?!"
J...Je...je...
J'allais puiser dans mes ultimes force pour lui dire mon nom lorsque sa patience, qui avait déjà atteint ses limites, lui fit décocher un coup de poing qui vint s'écraser sur ma joue droite. Le choc fût tel que la chaise se renversa, trainant ainsi ma joue gauche sur le sol caillouteux de la tente. Il me fit relever et recommença à me frapper... Ile me frappais sans relâche... Il lui fallut pas moins de 5 longues minutes avant de comprendre qu'il ne tirerait rien de moi. C'est donc essoufflé, décoiffé et les poing bleui par les coups qu'il m'envoya au service de soin.
Durant une bonne semaine, l'infirmier du camp s'occupa de moi, mon rétablissement fût long. La charge radioactive que j'ai subit semblait incurable. Aussi, on me donna alors des médicaments pour passer la fin de mon existence avec le moins de souffrances possible...
Mes plats se résumais à des bols remplis d'une substance jaunâtre et gluante semblable à de la morve. Chaque bouché était un supplice à avaler mais je devais reprendre des forces ! J'ai promis vengeance à ma famille... Et... quelqu'en soit le prix... Je l'aurais !
Les roues se sont arrêtées, terminus, tout le monde descend. Je ne croyais pas si bien dire... C'est avec une délicatesse inégalée qu'il basculèrent mon brancard pour me jeter à terre. Je n'essayais même pas de me relever, je n'en n'avais pas la force et le garde qui me mis son revolver entre les dents il y a quelques minutes semblent ne demander que cela pour se défouler un peu. J'étais dans une petite tente dénuée de tout mobilier. La lumière du soleil qui frappais la bâche blanche au dessus de moi m'assommait littéralement. Je perdis à nouveau connaissance.
Quelques mouches commençaient à se poser sur mes paupière noircis par la crasse lorsque qu'un garde me releva. Il me mis debout et me poussa violemment vers la sortie de ma tente. A peine j'eu traversé les deux battants en plastique de ma tente avec ma tête que j'alla m'effondrer dehors sous le regard moqueur des autres gardes.
C'est donc avec tout autant d'hospitalité qu'on me conduisit à ce qui semblais être le chef de ce campement miteux. On m'assis alors sur une chaise en bois. On me noua les poings derrière le dos et l'interrogatoire commença.
"Qui es tou ?"
Je ne répondais pas...
"QUI ES TOU ?!"
J...Je...je...
J'allais puiser dans mes ultimes force pour lui dire mon nom lorsque sa patience, qui avait déjà atteint ses limites, lui fit décocher un coup de poing qui vint s'écraser sur ma joue droite. Le choc fût tel que la chaise se renversa, trainant ainsi ma joue gauche sur le sol caillouteux de la tente. Il me fit relever et recommença à me frapper... Ile me frappais sans relâche... Il lui fallut pas moins de 5 longues minutes avant de comprendre qu'il ne tirerait rien de moi. C'est donc essoufflé, décoiffé et les poing bleui par les coups qu'il m'envoya au service de soin.
Durant une bonne semaine, l'infirmier du camp s'occupa de moi, mon rétablissement fût long. La charge radioactive que j'ai subit semblait incurable. Aussi, on me donna alors des médicaments pour passer la fin de mon existence avec le moins de souffrances possible...
Mes plats se résumais à des bols remplis d'une substance jaunâtre et gluante semblable à de la morve. Chaque bouché était un supplice à avaler mais je devais reprendre des forces ! J'ai promis vengeance à ma famille... Et... quelqu'en soit le prix... Je l'aurais !