Note de la fic :
Les aventuriers du Nouveau-Monde
Par : HsLuffy
Genre : Fantastique
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1 : Prélude au Nouveau-Monde
Publié le 27/08/2013 à 22:21:44 par HsLuffy
<< Il existe un endroit, très éloigné du continent d'Hypérion... un endroit entouré de légendes et de mystères... un endroit appelé "Nouveau-Monde".>>
Tels sont les seuls mots que l'on peut lire a propos du Nouveau-Monde. En effet, cette terre, qui serait située à des milliers de kilomètres du continent Hypérion, n'a jamais été explorée jusqu'à présent, et le folklore local en a fait une sorte de "terre d'accueil", remplie de merveilles à découvrir. Mais personne n'a jamais pu confirmer cette hypothèse.
Personne...
* Port d'Oraclis, 15: 37, tridalune des moissons d'orge *
- Navire en vue!!, s'écria un vigile depuis les remparts.
- Quel emblème sur les voilures?, prononça une voix qui venait de la tour de garde.
- Une caravelle aux voiles à demi déchirées, chef, mais je crois y discerner.... l'emblème de notre ville!!
On entendit un bruit de bouteille se brisant au sol: La porte de la tour s'ouvrit en trombe, et un grand soldat bourru, qui semblait être le capitaine de la garde, hurla:
- Faites sonner l'alarme!!! ce sont eux!!
Le jeune vigile en fut tout retourné:
- Mais... Chef, vous êtes sur de vouloir.. ??
Il ne put finir sa phrase que son "chef" l'attrapa par le col et le plaqua contre le mur:
- NE CONTESTEZ PAS MES ORDRES, EXÉCUTEZ-LES!! Ou je vous fait radier de la garde!!!, hurla le capitaine. Son haleine empestait l'hydromel. Surement un de ces pochards qui ne sont capitaine que par leur rang.
Sans se faire prier, le jeune garde monta dans la tour à toute vitesse et fit sonner la cloche d'alarme.
Très vite, la panique s'installa dans la grande cité d'Oraclis. Cette ville, située au sud-Ouest d'Hypérion, est connue comme une grande ville de commerce, par ou transitent chaque jour des milliers de marchandises en provenance du reste du continent. La majorité de son peuple étant des marchands, elle est donc assez mal préparée face à une menace quelconque.
De ce fait, la plupart des habitants craignait une attaque massive: des barbares? des pirates? nul ne le savait. Ce n'est que quand quelques badauds virent arriver dans le port une caravelle en piteux état, des impacts de canons sur les flancs, aux voiles déchirées et au mat prêt à tomber, que la pression s'estompa presque aussitôt. Lorsque cette agitation parvint aux oreilles du maire, Marcello Catarazzi, celui-ci se déplaca en personne, escorté de 4 soldats de l'élite, afin de voir de ses propres yeux le retour de l'un de ses bateaux.
Car cette caravelle n'était autre que l'"Esperanza", le navire-amiral d'une flotte de 10 bateaux qui était partie, 3 mois plus tôt, en direction du Nouveau-Monde. Ce retour ne signifiait donc pas un bon présage.
A peine une passerelle avait été installée que les soldats se précipitèrent sur le pont pour y chercher une éventuelle trace de vie. Le spectacle qui s'offrit à eux leur glaça le sang jusqu'à la moelle: des dizaines de corps sans vie, dispersés ça et là sur le navire, criblés de balles, ou tranchés en deux. Seul vivait encore un jeune homme, accroché à la barre, en état de déshydratation et de malnutrition évident.
M. Catarazzi le prit dans ses bras alors qu'il allait s'effondrer:
- Que s'est-il passé? Ou sont les autres navires?
- Tous détruits... seul survivant... sauver cargaison... ramener preuve... Nouveau-Monde existe...
Le maire allait parler lorsqu'il vit le jeune homme s'évanouir. Il cria:
- Un médecin, et vite!! Ce jeune homme a besoin de soins de toute urgence!!
Très vite, le "malade" fut pris en charge, et fut conduit en lieu un peu moins peuplé. Cependant, le maire s'interrogeait toujours: Qu'avait-il bien pu arriver à cette flotte? comment un tel massacre a-t-il pu être perpétré? et par qui? Tant de questions qui resteront en suspens tant que le seul survivant de cette expédition, n'aura pas parlé...
Tels sont les seuls mots que l'on peut lire a propos du Nouveau-Monde. En effet, cette terre, qui serait située à des milliers de kilomètres du continent Hypérion, n'a jamais été explorée jusqu'à présent, et le folklore local en a fait une sorte de "terre d'accueil", remplie de merveilles à découvrir. Mais personne n'a jamais pu confirmer cette hypothèse.
Personne...
* Port d'Oraclis, 15: 37, tridalune des moissons d'orge *
- Navire en vue!!, s'écria un vigile depuis les remparts.
- Quel emblème sur les voilures?, prononça une voix qui venait de la tour de garde.
- Une caravelle aux voiles à demi déchirées, chef, mais je crois y discerner.... l'emblème de notre ville!!
On entendit un bruit de bouteille se brisant au sol: La porte de la tour s'ouvrit en trombe, et un grand soldat bourru, qui semblait être le capitaine de la garde, hurla:
- Faites sonner l'alarme!!! ce sont eux!!
Le jeune vigile en fut tout retourné:
- Mais... Chef, vous êtes sur de vouloir.. ??
Il ne put finir sa phrase que son "chef" l'attrapa par le col et le plaqua contre le mur:
- NE CONTESTEZ PAS MES ORDRES, EXÉCUTEZ-LES!! Ou je vous fait radier de la garde!!!, hurla le capitaine. Son haleine empestait l'hydromel. Surement un de ces pochards qui ne sont capitaine que par leur rang.
Sans se faire prier, le jeune garde monta dans la tour à toute vitesse et fit sonner la cloche d'alarme.
Très vite, la panique s'installa dans la grande cité d'Oraclis. Cette ville, située au sud-Ouest d'Hypérion, est connue comme une grande ville de commerce, par ou transitent chaque jour des milliers de marchandises en provenance du reste du continent. La majorité de son peuple étant des marchands, elle est donc assez mal préparée face à une menace quelconque.
De ce fait, la plupart des habitants craignait une attaque massive: des barbares? des pirates? nul ne le savait. Ce n'est que quand quelques badauds virent arriver dans le port une caravelle en piteux état, des impacts de canons sur les flancs, aux voiles déchirées et au mat prêt à tomber, que la pression s'estompa presque aussitôt. Lorsque cette agitation parvint aux oreilles du maire, Marcello Catarazzi, celui-ci se déplaca en personne, escorté de 4 soldats de l'élite, afin de voir de ses propres yeux le retour de l'un de ses bateaux.
Car cette caravelle n'était autre que l'"Esperanza", le navire-amiral d'une flotte de 10 bateaux qui était partie, 3 mois plus tôt, en direction du Nouveau-Monde. Ce retour ne signifiait donc pas un bon présage.
A peine une passerelle avait été installée que les soldats se précipitèrent sur le pont pour y chercher une éventuelle trace de vie. Le spectacle qui s'offrit à eux leur glaça le sang jusqu'à la moelle: des dizaines de corps sans vie, dispersés ça et là sur le navire, criblés de balles, ou tranchés en deux. Seul vivait encore un jeune homme, accroché à la barre, en état de déshydratation et de malnutrition évident.
M. Catarazzi le prit dans ses bras alors qu'il allait s'effondrer:
- Que s'est-il passé? Ou sont les autres navires?
- Tous détruits... seul survivant... sauver cargaison... ramener preuve... Nouveau-Monde existe...
Le maire allait parler lorsqu'il vit le jeune homme s'évanouir. Il cria:
- Un médecin, et vite!! Ce jeune homme a besoin de soins de toute urgence!!
Très vite, le "malade" fut pris en charge, et fut conduit en lieu un peu moins peuplé. Cependant, le maire s'interrogeait toujours: Qu'avait-il bien pu arriver à cette flotte? comment un tel massacre a-t-il pu être perpétré? et par qui? Tant de questions qui resteront en suspens tant que le seul survivant de cette expédition, n'aura pas parlé...