Note de la fic :
Esbrouffe au liddle
Par : San-Just
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : L'ouragan pire que Stéphanie de Monaco
Publié le 06/09/2013 à 00:48:25 par San-Just
C'est tout juste si mon cale-buttes n'avait pas craqué sous la pression. Merguez party, je vous raconte pas les détails ! Après cet intermède fort réjouissant, j'eus exprimé un désir de bacon. La furibonde n'hésita pas à m'inviter à son apéro improvisé, je la suivai donc à son appartement, non sans un certain panache "after-sex".
Le lupanar de bobonne avait tout l'air d'un repaire de macros normands. Petites chandelles, rideaux en peau de bufflette, abats-jours très coquets, j'estime à 2€ la paire à l'antiquaire du bled. Sa taule était encore plus cheap qu'elle. Durant le temps passé à trimer à l'hôpital, j'avais reçu pas moins de 15 SMS de Bastien pour s'enjailler sévère. Plus lourdingue que ce type, y'a que mon toutou qui veut des croquettes. Et encore, lui, il a un pedigree.
Après avoir enfourné mon casse-dalle, elle me pousse sur le divan, me griffe les rouflaquettes en me traitant de chibre, c'est reparti pour un tour. Soudain, pris d'un rayon de lucidité, je la trouvai vulgaire. Pire, scabreuse. Prenez une poupée Barbie, collez lui des yeux de truie en rut et habillez là en lolita, vous aurez une idée plus précise du cauchemar étalé sur moi. Pelotage en règle et en bonne et due forme, et terminé bonsoir.
J'avais affaire à un volcan. Même le matin elle a le feu au cul ! Je pars à 7h, sans un regard d'adieu, m'en fiche, elle a une tronche de fondement. En rampant jusqu’à la kangoo, je croise une raclure de racaille à la con. J'me dis qu'il a du mouron à se faire. Je continue sans me faire de bile. Là le grand con avec son tee-shirt "Truand2lagalère" m'accoste avec des yeux de poulet ; visiblement il veut se taper.
"Yo t'a pas une clope blédar"
"Spèce de luron ! Si tu veux mon portable pour te dilater le troufignon laisser moi te prêter mon poing."
Visiblement habitué de la fistinière, il me répond "Va manger du fromage" et remue les jambons comme pour me savater. Sans m'effaroucher, je lui assène un méchant coup de manuche dans le trognon. Il dégringole du trottoir et appelle son cousin à la rescousse. J'ai pas le temps pour ces conneries, surtout depuis que j'ai eu un procès pour avoir ratonné un barbu près du centre pompidou, j'me tire à toute pompe.
Arrivé chez moi, je prépare une collation de galantines de saumon à la mayo et je remarque les planches en lambeaux du lit bousillé. Bref, j'ai une terrible envie de chier, les mains en compote mais j'arrive quand même à trouver le dossier Ikea avec la facture et le numéro du SAV. Une espèce de fiotte au bout du fil me dit que pour le remboursement, faut des papiers qui ne sont pas dans le dossier. Le fumier ! J'me torche avec ses papiers ! Qu'ils aillent jouer au bilboquet dans leur service client à deux balles...
Le lupanar de bobonne avait tout l'air d'un repaire de macros normands. Petites chandelles, rideaux en peau de bufflette, abats-jours très coquets, j'estime à 2€ la paire à l'antiquaire du bled. Sa taule était encore plus cheap qu'elle. Durant le temps passé à trimer à l'hôpital, j'avais reçu pas moins de 15 SMS de Bastien pour s'enjailler sévère. Plus lourdingue que ce type, y'a que mon toutou qui veut des croquettes. Et encore, lui, il a un pedigree.
Après avoir enfourné mon casse-dalle, elle me pousse sur le divan, me griffe les rouflaquettes en me traitant de chibre, c'est reparti pour un tour. Soudain, pris d'un rayon de lucidité, je la trouvai vulgaire. Pire, scabreuse. Prenez une poupée Barbie, collez lui des yeux de truie en rut et habillez là en lolita, vous aurez une idée plus précise du cauchemar étalé sur moi. Pelotage en règle et en bonne et due forme, et terminé bonsoir.
J'avais affaire à un volcan. Même le matin elle a le feu au cul ! Je pars à 7h, sans un regard d'adieu, m'en fiche, elle a une tronche de fondement. En rampant jusqu’à la kangoo, je croise une raclure de racaille à la con. J'me dis qu'il a du mouron à se faire. Je continue sans me faire de bile. Là le grand con avec son tee-shirt "Truand2lagalère" m'accoste avec des yeux de poulet ; visiblement il veut se taper.
"Yo t'a pas une clope blédar"
"Spèce de luron ! Si tu veux mon portable pour te dilater le troufignon laisser moi te prêter mon poing."
Visiblement habitué de la fistinière, il me répond "Va manger du fromage" et remue les jambons comme pour me savater. Sans m'effaroucher, je lui assène un méchant coup de manuche dans le trognon. Il dégringole du trottoir et appelle son cousin à la rescousse. J'ai pas le temps pour ces conneries, surtout depuis que j'ai eu un procès pour avoir ratonné un barbu près du centre pompidou, j'me tire à toute pompe.
Arrivé chez moi, je prépare une collation de galantines de saumon à la mayo et je remarque les planches en lambeaux du lit bousillé. Bref, j'ai une terrible envie de chier, les mains en compote mais j'arrive quand même à trouver le dossier Ikea avec la facture et le numéro du SAV. Une espèce de fiotte au bout du fil me dit que pour le remboursement, faut des papiers qui ne sont pas dans le dossier. Le fumier ! J'me torche avec ses papiers ! Qu'ils aillent jouer au bilboquet dans leur service client à deux balles...
Commentaires
- San-Just
10/09/2013 à 06:00:09
HipsterDesBois merci !
- Pseudo supprimé
06/09/2013 à 12:42:37
Que dire... C'est drôle, bien écrit, y'a une bonne maitrise de l'argot, on se laisse embarquer même si le scénario est (pour l'instant) inexistant.... Un 5 mérité.