Note de la fic :
Majorité Sayksuelle
Par : Rhubarb
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 8 : Chapitre 8
Publié le 13/05/2012 à 19:57:56 par Rhubarb
Une fois dehors, nous reprîmes notre discussion, parlant de tout et de rien, de nos classes, de nos passes-temps... J'appris qu'elle aimait bien les jeux vidéos, enfin Mario quoi 
Au bout d'un moment, notre conversation fut un peu plus personnelle, parlant de nos familles, de nos ex-relations, de nos relations en cours, elle avait un mec mais elle ne savait pas où il était depuis le début du Bal. Je pris mon courage à deux mains et je lui fit :
-C'est vraiment un con de laisser une fille comme toi le jour d'un bal... 
-Owwh c'est trop mignon 
Et sur cette remarque elle me prit dans ses bras et m'offrit un câlin. Câlin au cours duquel je pu me rendre compte qu'elle avait une poitrine ( encore heureux  ) pas très grosse mais bien droite  . Au bout de 30 longues et agréables secondes de câlin, elle me lâcha et nous partîmes marcher tout autour de la cour de chez Manix. On continuait à parler quand je cru apercevoir Marine sur les genoux d'un autre mec. Je pris Méghane par le bras et nous allâmes ( t'aurais pas osé mettre "allâmes" hein  ) la voir. Ce n'es qu'une fois devant elle que je pu voir qu'elle embrassait un gars, sûrement son cavalier. Dans le noir on ne pouvait pas voir exactement ce qu'il faisaient mais je parvint a distinguer une main sur la poitrine de Marine. "Oh le pervers" me dis-je.
Mais un cri stoppa mes pensés, c'était Méghane qui arracha la main du mec du sein de Marine, la bouscula et mit une énorme gifle au mec. C'était Marc le cavalier dont elle nous avait parlé. Ne comprenant pas ce qu'il se passait, je releva Marine qui avait chu ( du verbe choir pour les incultes  ) des genoux de Marc. On pouvait entendre des cris de Méghane, qui attiraient tous les gens présents, elle le traitait de salaud et je pu entendre : "Comment t'as pu me tromper avec une amie à moi en plus ? ("> ". C'était donc ça.. Marc sortait avec Méghane. Enfin avant. Marine ne tarda pas a arriver dans le débat ( Ololz débat, Marine Le Pen  ) :
- Tu m'avais dit que t'avais pas de copine petit c*n ! Tu crois que ça me fait plaisir de mettre une amie dans un tel état ? T'es vraiment qu'un pauvre c*n.
- En plus tu lui avait rien dit ? Tu voulais deux filles pour toi tout seul ? Maintenant t'as plus personne enf*iré ! 
-De toute façons vous êtes que des connes, dit-il en haussant la voix.
Et il poussa les filles si violemment que Méghane à terre. Je me mis rapidement en travers de son chemin. Qu'on fasse du mal à une femme, j'avais déjà du mal à l'accepter mais à Méghane, alors que je venais de me rendre compte qu'elle me plaisait... Il faisait à peu près ma taille mais était beaucoup plus musclé, peu importe, je voulais rendre son honneur a Méghane.
- Eh toi ! D'où tu te permets de pousser Méghane comme ça ?
- Ta gueule crevette ! Et il me colla une gifle.
C'en était trop, je lui attrapa les bras, lui mit un coup de tête, décala mes mains sur ses épaules et le mit a terre avec une balayette. Tout le monde criait "Mais arrêtez-les !  ". Mais en un instant j'avais un genou sur son torse, une main autour de sa gorge et un poing près à le frapper.
- Excuses-toi maintenant fils de p*te auprès de Méghane et de Marine ! Gueulais-je.
- Dans tes rêves, et il me cracha au visage.
Je serra alors mon poing et lui colla directement dans le nez. Il saignait et pleurait un peu.
- Et maintenant ?! lui dis-je
- Ok ok ! Pardon les filles je suis désolé 
Méghane avanca et lui colla un coup de pied dans les couilles. Il avait mal visiblement, vu qu'il se mit à crier. Elle ajouta un : "Comme ça tu baiseras pas tout de suite, t'en avais tellement envie."
Et nous prîmes tous les trois la direction de la sortie. Derrière nous, des murmures à base de : "Putain il l'a corrigé" et de : "Quel salaud ce Marc" firent monter la fierté en moi 
Dehors, les filles s'expliquèrent et Marine partit en m'adressant un signe de reconnaissance et un au revoir de la main.
Méghane me prit alors une nouvelle fois dans ses bras, elle sanglotait, après une longue étreinte réconfortante, elle m'offrit un baiser, sur la bouche, lent, doux, intense. Nos lèvres étaient en contact, puis nos langues et ni une ni deux, je glissais mes mains plus bas dans son dos, juste au dessus de ses fesses. Je me permis un rapide détour par ces mêmes fesses et pu me rendre compte qu'elles étaient pas mal bombées...
Au bout d'un moment, notre conversation fut un peu plus personnelle, parlant de nos familles, de nos ex-relations, de nos relations en cours, elle avait un mec mais elle ne savait pas où il était depuis le début du Bal. Je pris mon courage à deux mains et je lui fit :
-C'est vraiment un con de laisser une fille comme toi le jour d'un bal... 
-Owwh c'est trop mignon 
Et sur cette remarque elle me prit dans ses bras et m'offrit un câlin. Câlin au cours duquel je pu me rendre compte qu'elle avait une poitrine ( encore heureux  ) pas très grosse mais bien droite  . Au bout de 30 longues et agréables secondes de câlin, elle me lâcha et nous partîmes marcher tout autour de la cour de chez Manix. On continuait à parler quand je cru apercevoir Marine sur les genoux d'un autre mec. Je pris Méghane par le bras et nous allâmes ( t'aurais pas osé mettre "allâmes" hein  ) la voir. Ce n'es qu'une fois devant elle que je pu voir qu'elle embrassait un gars, sûrement son cavalier. Dans le noir on ne pouvait pas voir exactement ce qu'il faisaient mais je parvint a distinguer une main sur la poitrine de Marine. "Oh le pervers" me dis-je.
Mais un cri stoppa mes pensés, c'était Méghane qui arracha la main du mec du sein de Marine, la bouscula et mit une énorme gifle au mec. C'était Marc le cavalier dont elle nous avait parlé. Ne comprenant pas ce qu'il se passait, je releva Marine qui avait chu ( du verbe choir pour les incultes  ) des genoux de Marc. On pouvait entendre des cris de Méghane, qui attiraient tous les gens présents, elle le traitait de salaud et je pu entendre : "Comment t'as pu me tromper avec une amie à moi en plus ? ("> ". C'était donc ça.. Marc sortait avec Méghane. Enfin avant. Marine ne tarda pas a arriver dans le débat ( Ololz débat, Marine Le Pen  ) :
- Tu m'avais dit que t'avais pas de copine petit c*n ! Tu crois que ça me fait plaisir de mettre une amie dans un tel état ? T'es vraiment qu'un pauvre c*n.
- En plus tu lui avait rien dit ? Tu voulais deux filles pour toi tout seul ? Maintenant t'as plus personne enf*iré ! 
-De toute façons vous êtes que des connes, dit-il en haussant la voix.
Et il poussa les filles si violemment que Méghane à terre. Je me mis rapidement en travers de son chemin. Qu'on fasse du mal à une femme, j'avais déjà du mal à l'accepter mais à Méghane, alors que je venais de me rendre compte qu'elle me plaisait... Il faisait à peu près ma taille mais était beaucoup plus musclé, peu importe, je voulais rendre son honneur a Méghane.
- Eh toi ! D'où tu te permets de pousser Méghane comme ça ?
- Ta gueule crevette ! Et il me colla une gifle.
C'en était trop, je lui attrapa les bras, lui mit un coup de tête, décala mes mains sur ses épaules et le mit a terre avec une balayette. Tout le monde criait "Mais arrêtez-les !  ". Mais en un instant j'avais un genou sur son torse, une main autour de sa gorge et un poing près à le frapper.
- Excuses-toi maintenant fils de p*te auprès de Méghane et de Marine ! Gueulais-je.
- Dans tes rêves, et il me cracha au visage.
Je serra alors mon poing et lui colla directement dans le nez. Il saignait et pleurait un peu.
- Et maintenant ?! lui dis-je
- Ok ok ! Pardon les filles je suis désolé 
Méghane avanca et lui colla un coup de pied dans les couilles. Il avait mal visiblement, vu qu'il se mit à crier. Elle ajouta un : "Comme ça tu baiseras pas tout de suite, t'en avais tellement envie."
Et nous prîmes tous les trois la direction de la sortie. Derrière nous, des murmures à base de : "Putain il l'a corrigé" et de : "Quel salaud ce Marc" firent monter la fierté en moi 
Dehors, les filles s'expliquèrent et Marine partit en m'adressant un signe de reconnaissance et un au revoir de la main.
Méghane me prit alors une nouvelle fois dans ses bras, elle sanglotait, après une longue étreinte réconfortante, elle m'offrit un baiser, sur la bouche, lent, doux, intense. Nos lèvres étaient en contact, puis nos langues et ni une ni deux, je glissais mes mains plus bas dans son dos, juste au dessus de ses fesses. Je me permis un rapide détour par ces mêmes fesses et pu me rendre compte qu'elles étaient pas mal bombées...