Note de la fic :
Majorité Sayksuelle
Par : Rhubarb
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Chapitre 5
Publié le 13/05/2012 à 19:45:07 par Rhubarb
Nous nous dirigions donc clairement vers les toilettes, mais histoire de m'en assurer, je lui posait la question. Question à laquelle, bien sûr, je n'eu pas de réponse 
Pendant qu'elle courait légèrement devant moi, je pris le temps d'observer son arrière train carrément bien formé qui s'agitait dans tous les sens 
Une fois devant la porte elle se jeta à ma gorge et m'embrassa, plus fougueusement que l'on ne m'avais jamais fait ( Owi pas puceau de la bouche  ), comme si elle n'avait pas pu attendre que l'on soit dedans. Au bout de quelques longues secondes, elle se décida à rentrer dans les toilettes, mes lèvres toujours fixées aux siennes et nos langues humides se mélangeant lorsque que des bruits de pas nous parvinrent ( raj' de mon Passage en L ?  ). Une fois à l'intérieur, je sentis le contact de ses mains quitter mon dos, se poser sur les miennes et les emmener sur son dos à elle, où je pu sentir une fermeture Éclair  . Sans hésiter, je défis cette fermeture Éclair au plus vite, les deux manches courtes de sa robe se retrouvant maintenant sur les côtés de ses épaules. Je mis mes mains sur ces même manches et les fit descendre. Sa magnifique poitrine, bien ronde mais pas trop grosse, m'apparu enfin  . Elle retira d'elle-même son soutif, comme pour me faire comprendre que j'avais quelque chose à faire avec ses deux melons. Je les pris alors dans mes mains, les léchas, doucement en faisant de petits ronds avec ma langue dessus et en les mordillants. Elle fit glisser le reste de sa robe à ses pieds et s'en extirpa, laissant apparaître une petite culotte semi-transparente en dentelle décorée d'un minuscule noeud papillon rose en relief ( le sens du détail ). Avec des yeux brûlants de désir elle me fit a nouveau comprendre qu'elle voulait quelque chose, cette fois un cuni.
Je la soulevait donc, la posant sur les lavabos, dos aux miroirs. Elle écarta les jambes et je fit glisser sa culotte avec mes dents. La regardant une dernière fois, je plongeait ma tête dans son entrejambe. Je commença alors à titiller son clitoris avec ma langue en écartant ses lèvres avec mes doigts. Elle gémissait tout bas et commença à mouiller, je pris la décision de mettre un doigt dans son vagin sans la prévenir, ce qui la fit sursauter. Je la doigtait, bougeant mes doigts de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Elle gémissait de plus en plus fort, tel que ces gémissements devinrent des petits cris, jusqu'à ce qu'elle pousse au bout de 10 longues minutes de doigtage un cri plus fort, une jouissance. Elle releva la tete qu'elle avait posée contre le miroir et me fit un sourire malicieux qui signifiait : "C'est ton tour".
Elle déscendit alors vers mon pénis déjà bandant après ses ébats, ouvrit ma braguette et carressa mon sexe par dessus mon caleçon en m'adressant un :"J'ai toujours su qu'il était gros" qui me fit rougir.
Elle fit glisser mon caleçon d'un coup et mit immédiatement mon pénis dans sa bouche  C'était la première fois qu'on me faisait une pipe et la sensation n'était pas désagréable  Elle allait de plus en plus vite, sa main branlant mon sexe en même temps qu'elle le suçait. Une fois, elle mit même mon pénis jusqu'au fond de sa gorge profonde (  dédi Youpr0n ). Cet acte fit monter le jus et je la prévint. Elle ne retira pas mon sexe de sa bouche et accueillit tout mon foutre dans la bouche puis l'avala sans broncher. Je compris alors d'où venait sa réputation.
Elle ne dit rien, se rhabilla, je fit de même et nous quittâmes les toilettes sans rien dire.
Pendant qu'elle courait légèrement devant moi, je pris le temps d'observer son arrière train carrément bien formé qui s'agitait dans tous les sens 
Une fois devant la porte elle se jeta à ma gorge et m'embrassa, plus fougueusement que l'on ne m'avais jamais fait ( Owi pas puceau de la bouche  ), comme si elle n'avait pas pu attendre que l'on soit dedans. Au bout de quelques longues secondes, elle se décida à rentrer dans les toilettes, mes lèvres toujours fixées aux siennes et nos langues humides se mélangeant lorsque que des bruits de pas nous parvinrent ( raj' de mon Passage en L ?  ). Une fois à l'intérieur, je sentis le contact de ses mains quitter mon dos, se poser sur les miennes et les emmener sur son dos à elle, où je pu sentir une fermeture Éclair  . Sans hésiter, je défis cette fermeture Éclair au plus vite, les deux manches courtes de sa robe se retrouvant maintenant sur les côtés de ses épaules. Je mis mes mains sur ces même manches et les fit descendre. Sa magnifique poitrine, bien ronde mais pas trop grosse, m'apparu enfin  . Elle retira d'elle-même son soutif, comme pour me faire comprendre que j'avais quelque chose à faire avec ses deux melons. Je les pris alors dans mes mains, les léchas, doucement en faisant de petits ronds avec ma langue dessus et en les mordillants. Elle fit glisser le reste de sa robe à ses pieds et s'en extirpa, laissant apparaître une petite culotte semi-transparente en dentelle décorée d'un minuscule noeud papillon rose en relief ( le sens du détail ). Avec des yeux brûlants de désir elle me fit a nouveau comprendre qu'elle voulait quelque chose, cette fois un cuni.
Je la soulevait donc, la posant sur les lavabos, dos aux miroirs. Elle écarta les jambes et je fit glisser sa culotte avec mes dents. La regardant une dernière fois, je plongeait ma tête dans son entrejambe. Je commença alors à titiller son clitoris avec ma langue en écartant ses lèvres avec mes doigts. Elle gémissait tout bas et commença à mouiller, je pris la décision de mettre un doigt dans son vagin sans la prévenir, ce qui la fit sursauter. Je la doigtait, bougeant mes doigts de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Elle gémissait de plus en plus fort, tel que ces gémissements devinrent des petits cris, jusqu'à ce qu'elle pousse au bout de 10 longues minutes de doigtage un cri plus fort, une jouissance. Elle releva la tete qu'elle avait posée contre le miroir et me fit un sourire malicieux qui signifiait : "C'est ton tour".
Elle déscendit alors vers mon pénis déjà bandant après ses ébats, ouvrit ma braguette et carressa mon sexe par dessus mon caleçon en m'adressant un :"J'ai toujours su qu'il était gros" qui me fit rougir.
Elle fit glisser mon caleçon d'un coup et mit immédiatement mon pénis dans sa bouche  C'était la première fois qu'on me faisait une pipe et la sensation n'était pas désagréable  Elle allait de plus en plus vite, sa main branlant mon sexe en même temps qu'elle le suçait. Une fois, elle mit même mon pénis jusqu'au fond de sa gorge profonde (  dédi Youpr0n ). Cet acte fit monter le jus et je la prévint. Elle ne retira pas mon sexe de sa bouche et accueillit tout mon foutre dans la bouche puis l'avala sans broncher. Je compris alors d'où venait sa réputation.
Elle ne dit rien, se rhabilla, je fit de même et nous quittâmes les toilettes sans rien dire.
Commentaires
- glastrone
22/05/2012 à 01:26:44
juste un truc: j'aime le mec qui répète à longueur de temps qu'il est en L et maîtrise sa conjugaison. seulement le "les léchas" te discrédite complètement.
à bon entendeur..