J'étais sur elle, nue, offerte a moi, et pourtant j'hésitais. Pas pour moi mais pour elle. J'entamais une phrase : "Mais t'es sur qu..", mais elle tira ma tête vers la sienne et m'embrassa. Aucun doute, elle était bel et bien sure d'elle. Je fit alors glisser mon caleçon tout en l'embrassant. L'excitation prit part de mon corps a ce même moment, mon sexe durcissant au fil des secondes. Je carressais, ses seins ses tétons, elle semblait tellement sensible, réagissant a chaque mouvement de mes mains. Attrapant du bouts des doigts mon pantalon, je pris la dernière capote da ma poche arrière ( J'avais bien fait d'en prendre une deuxième au distributeur ). Je me retournais alors et enfila au plus vite la capote. Une fois mise je me remit sur elle l'embrassant encore plus passionnement qu'avant. Je pris mon sexe dans ma main et le dirigea vers son vagin, ou sans la faire languir plus longtemps je l'inserais doucement, pour eviter a tout pris de lui faire du mal, c'était toujours un peu serré mais beaucoup moins. Elle poussa un minuscule cri de douleur et fit une grimace les yeux fermés. M'inquiétant de son plaisir je ne bougea plus, elle rouvrit les yeux et me dit de ne pas me soucier de sa douleur. Je recommencais alors mes va et viens de plus en plus vite tout en restant doux. Allant petit a petit plus profond, ses cris de douleur disparaissant peu a peu pour laisser place a des gémissements de plaisir. J'allais maintenant a une allure normal et sur son visage je le lisais plus aucune douleur, au contraire, je lisais un certain plaisir. Elle gémissait a présent de façon plus qu'audible. Son souffle sur mon coup se faisait plus rapide, moins régulier. Une fois totalement sur qu'elle ne souffrait plus, je me retira et roula sur le coté. J'etais bouillant d'excitation et après 5minutes, j'étais tellement excité que je fis une pause en faisant mine de changer de position.

Elle prit cette fois les devants et se mit a quattre pattes sur moi, pris mon sexe dans ses mains et l'insera dan son vagin. Maintenant elle en voulait plus. Elle posa la tête sur l'oreiller et fit sautiller son petit cul bombé sur mon pénis. Elle criait presque maintenant. Je sentais le jus monter de plus en plus et donnant mes derniers effort dans la bataille ( ) je fis tout mon possible pour me retenir jusqu'à ce qu'elle pousse un cri plus aigû, plus fort que les autres. Elle avait jouit. Je fis pareil ne pouvant plus me retenir, remplissant le préservatif. Je ressortis mon pénis de son vagin. Enlevi la capote. Et la jeta dans la poubelle de sa chambre ( Après avoir fait un noeud comme on vous l'a dit au cours d'éducation sayksuelle ).

Elle revint s'allonger sur moi, nos deux corps en sueur. Soufflant les deux plus beaux mots que je n'avaus jamais entendu "Je t'aime"