Il faisait très beau ce jour la, c’était le matin, et les rayons du soleil perçaient les stores pour arriver jusqu’à la table de laboratoire. Mais nous n’y étions plus maintenant. Hélène déboutonnait méticuleusement mon jean et l’abaissa si lentement le long de mes jambes que ça m’avait fait des démangeaisons.

Moi, je bandais sévère, impossible de le cacher, et heureusement que c’était ce qu’elles cherchaient ! La brune continuait à me caresser les boules à travers mes sous vêtement tout en me regardant, sensuellement. Mais Sarah voyait le temps passer, et abaissa mon boxer d’un coup, faisant apparaitre mon attirail toute voile dehors !

-On n’a pas le temps Hélène ! Bouffe-lui la bite vite fait !

-Ben…je sais pas…moi j’ai pas trop l’habitude…

-Ooooh ce que t’es nouille. Touche.

Hélène la regarda, étonnée.

-Ben bien sur que je vais toucher, mais c’est que moi j’en ai jamais vu d’aussi…grosse quoi. Teste un peu, regarde comment c’est lourd ! Et massif en plus, je sais même pas si ca va rentrer dans ma bouche !

-Pour ça ya qu’un moyen de le savoir !

Sarah empoigna les cheveux de sa copine et la força à approcher la tête de mon sexe turgescent. Hélène força vers l’arrière mais ne pouvait résister, mon gland n’était qu’à quelques centimètre de sa bouche juvénile magnifique , légèrement pulpeuse et mis en valeur par un gloss rose translucide. Sarah continuait de la coacher.

-Voila…maintenant ouvre grand la bouche…

Timide, elle ouvrit à peine la bouche et absorba le bout de mon gland, rouge pourpre. Sarah me regarda en roulant des yeux, blasée.

-Allez ma chérie, ouvre encore plus pour notre TP, réclame un peu ce que t’es venue chercher… !

D’un coup, elle poussa la tête de son amie, qui fut obligée d’ouvrir grand pour y faire passer mon engin.


Ce fut mon premier Deepthroat. Hélène avait mon sexe jusqu’au fond de la gorge et déjà ses yeux étaient exorbités, et son maquillage coulait. Mais elle réagit ensuite très vite et se mis à aspirer comme un veau mort de faim !

Vous auriez vu ça ! Elle s’aidait de ses deux mains, de sa langue, de tout ! J’avais la branlette cinq étoiles niveau premium première classe swagg élite

Au fur et à mesure qu’elle s’affairait, je sentais que ça montait en moi, quelque chose d’incontrôlable. Sarah voyait mes testicules qui se retournaient et frappait le menton de son amie. Elle faisait un travail propre, rien ne coulait, comme si elle avait fait ça toute sa vie.

Moi, j’étais aux anges, mais elle avait vite ralentit le rythme et du coup, je n’arrivais pas à lâcher la sauce. Et la, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je fis un geste que je ne me croyais pas capable de faire…

Je lui caressai la joue lentement, puis lui murmura d’arrêter. J’avais tellement l’air de savoir ce que je faisais qu’elle s’exécuta, avec un air un peu triste. Elle fit donc ressortir centimètre par centimètre mon sexe qui était érection maximale, je l’empoignai donc, puis le tendis à Sarah, qui arborait un sourire en coin.

-Pourquoi moi ?

- Donne-lui un cours, je sais que t’en meurs d’envie.

Elle fronça les sourcils puis rigola légèrement. Embrassa la joue d’Hélène qui semblait choquée par ce qui venait de se passer. Son maquillage avait coulé et ses cheveux étaient décoiffés. Cette petite fille de la haute bourgeoisie venait de subir un choc, son corps était pourtant fait pour ça. Elle venait surement de s’en rendre compte. Une vie de dur labeur l’attendait, tel est le destin d’un fantasme sur patte.

Sarah empoigna fermement mon sexe et le masturba très lentement, serrant la base jusqu’au bout de la verge. Elle faisait lentement monter la sauce. Elle regarda son amie.

-Tu vois ? Pas besoin d’aller super vite…

Hélène la regarda avec attention, et acquiesça de la tête, tremblante.

-Ensuite, quand tu sens qu’il est prêt, tu peux te lancer, n’oublie pas de tourner la langue en entrée de jeu, histoire d’habituer son sexe à la température de ta bouche.

-Mais…comment sais tu tout ça Sarah ?

-Je dois rester vierge jusqu’au mariage, j’ai du apprendre certains trucs pour éviter de me faire défoncer en boite !

Elle me regarda alors de ses yeux noirs intenses, puis s‘éxécuta. Sa langue était gigantesque, et enroulait presque la totalité de la circonférence de mon sexe. Elle était d’une douceur extrême, elle s’appliquait même à pousser un long gémissement en faisant son entrée, comme si elle avait attendu ça depuis longtemps.

Au bout de quelques secondes, ses mains cessèrent de me masser les parties et allèrent vers mes fesses. Elle s’appuya dessus pour me deepthroater une nouvelle fois !

S’en était trop . Une vague intense de plaisir monta en moi, je ne pouvais plus rien arrêter, plus rien dire a part un étranglement qui sortait de ma gorge. Des tremblements dans ma jambe droite permirent à Sarah de se retirer à temps. Un long fil de pré-sperme reliait mon gland à sa bouche.

La sauce montait toujours, elle allait venir, elle était en chemin. Moi, je me sentais en homme préhistorique, prêt à assoir ma domination. Je me tournais sur la droite, face à Hélène, le canon de DCA dans la main. Elle ne comprit qu’au dernier moment ce qui l’attendait, mais ouvrit la bouche et ferma les yeux comme une grande…