Note de la fic :
Publié le 07/05/2013 à 09:42:39 par K-Bell
Elles frappèrent a la porte, c’étaient elles
Dans la merde, j’avais deux échappatoires. Ne pas ouvrir et faire semblent de dormir, position fœtale sous mon lit, ou porter ses couilles et aller leur ouvrir avec le barreau. Mon cerveau était en ébullition grâce au redbull et je décidai de faire face aux emmerdes. Elles allaient voir ce que c’est qu’un vrai mec qui assume !
J’ouvrai donc la porte en mode « rien à foutre pourquoi vous me faites chier ?! » :
-Ouais ? Ah c’est vous ? En quoi je peux vous aider ?
La première chose qu’elles virent fut mon érection énorme à travers mon boxer Tex de chez Carrefour Market. Les deux mirent les mains vers le bas pour se cacher la vue de mon sexe dressé et bétonné.
-Aaaaah mais qu’est ce que tu fais dans ta chambre ?!
J’étais accoudé au pas de la porte, tel un cow boy qui attend qu’on le provoque en duel. Je regardais mes ongles comme si j’avais mieux à me soucier, puis mon regard glissa vers leurs t-shirt qui avaient du mal a contenir ce pour quoi ils étaient faits. Leurs tétons pointaient allégrement au travers.
-Et vous, vous faisiez quoi à l’instant ?
Elles virent ou se situait mon regard et maintenant cachèrent leur seins avec leurs avant bras, avec leur air de fille effarouchée.
-Heeey mais c’est pas tes affaires, espèce de pervers !
-Mais bien sur, je suppose que vous allez me dire que vous êtes dans cet état parce que dehors on se les gèle ?
-Et toi alors ? T’es dans cet état parce que dehors on se les gèle ?
-Non moi je matais un peu de porno, ma copine me manque. J’étais seul, j’ai gueulé c’est vrai mais c’était parce que je n’avais plus de batterie. Voyez vous-même…
Elles jetèrent un coup d’œil dans ma chambre et virent l’ordinateur éteint. En fait, depuis le début, j’étais parvenu à ne pas leur mentir. J’ai juste omis certains pans de vérité…Ne sachant pas quoi répondre à ça, car j’avais allié le fait que j’assumais au fait que j’étais triste et que « ma copine » me manquait, elles repartirent en me souhaitant encore une fois bonne nuit.
Leur petites fesses se dévoilèrent encore, dans un shorty noir, et je ne pu résister à l’envie de mettre une petite tape sur celles de Mylène, même si celles de Manon étaient plus avenante et rebondissaient légèrement à chaque pas. Mylène se retourna en me souriant d’un air malicieux.
-Vous m’expliquerez un jour pourquoi vous étiez chaudes ce soir ?
Manon : La ferme, pervers.
Mylène : Pas besoin d’expliquer
Nous refermâmes nos portes, et moi je jubilais de savoir que Manon rageait que je me ferai tôt ou tard sa sœur dans tous les sens et dans n’importe quelle pièce de l’internat !
D’après le réveil, il était tard, je devais absolument pioncer. Je me lavai alors la bite au lavabo et allai dormir, décidant de ne pas me branler pour maintenir la pression. Il devait y avoir un peu de tension dans la chambre d’à coté, elles se parlèrent à peine, elles préféraient apparemment oublier ce qui venait de se passer. Petite tension sexuelle entre fille ?
Je me disais, à ce moment la, qu’elles devraient bien compenser par autre chose…quelqu’un de facile a atteindre… Rien que d’y repenser j’en avais encore le barreau. Le cul magnifique et vierge de Manon me faisait tellement d’effet qu’il tournait encore dans ma tête.
A peine avais je fermé les yeux que le réveil sonna. Putain, il était déjà 6h45. Douche, petit dèj tout ça, s’en devenait la routine. A la table de notre étage, les deux sœurs mangeaient chacune de leur coté avec leurs amies.
Moi je mangeais mon bagle avec le trou au milieu, j’avais mis de la confiture dessus et un peu était tombé à l’intérieur. Pour ne pas en foutre sur la table, je la récupérais avec la langue.
Les filles à la table d’en face, en première scientifique, rigolèrent en me voyant. En effet, je n’avais pas réalisé le caractère sexuel de la chose, et l’une d’elle me répondit au loin en suçant la banane de son plateau repas, faisant lentement et attentivement tourner sa magnifique langue autour du fruit.
Moi je rigolais tout seul a la table comme un con, c’était encore plus marrant quand elle se fit chopper par la surveillante et qu’elle baissa les yeux comme une soumise. Néanmoins, une certaine complicité était née, car elle me lançait plusieurs petits coup d’œil par la suite. De loin, je voyais bien qu’elle était brune aux cheveux long, très grande. Elle me faisait penser à une personne que j’avais déjà rencontré dans l’établissement, mais qui ?
Quoiqu’il en soit, je savais que j’allais pouvoir la rencontrer aux cours suivants. Discrètement, je regardais moi aussi ses longues jambes qui allaient sous sa table. Elle était en combo shorty + ballerines, et était parfaitement au courant de ses avantages
Dans la merde, j’avais deux échappatoires. Ne pas ouvrir et faire semblent de dormir, position fœtale sous mon lit, ou porter ses couilles et aller leur ouvrir avec le barreau. Mon cerveau était en ébullition grâce au redbull et je décidai de faire face aux emmerdes. Elles allaient voir ce que c’est qu’un vrai mec qui assume !
J’ouvrai donc la porte en mode « rien à foutre pourquoi vous me faites chier ?! » :
-Ouais ? Ah c’est vous ? En quoi je peux vous aider ?
La première chose qu’elles virent fut mon érection énorme à travers mon boxer Tex de chez Carrefour Market. Les deux mirent les mains vers le bas pour se cacher la vue de mon sexe dressé et bétonné.
-Aaaaah mais qu’est ce que tu fais dans ta chambre ?!
J’étais accoudé au pas de la porte, tel un cow boy qui attend qu’on le provoque en duel. Je regardais mes ongles comme si j’avais mieux à me soucier, puis mon regard glissa vers leurs t-shirt qui avaient du mal a contenir ce pour quoi ils étaient faits. Leurs tétons pointaient allégrement au travers.
-Et vous, vous faisiez quoi à l’instant ?
Elles virent ou se situait mon regard et maintenant cachèrent leur seins avec leurs avant bras, avec leur air de fille effarouchée.
-Heeey mais c’est pas tes affaires, espèce de pervers !
-Mais bien sur, je suppose que vous allez me dire que vous êtes dans cet état parce que dehors on se les gèle ?
-Et toi alors ? T’es dans cet état parce que dehors on se les gèle ?
-Non moi je matais un peu de porno, ma copine me manque. J’étais seul, j’ai gueulé c’est vrai mais c’était parce que je n’avais plus de batterie. Voyez vous-même…
Elles jetèrent un coup d’œil dans ma chambre et virent l’ordinateur éteint. En fait, depuis le début, j’étais parvenu à ne pas leur mentir. J’ai juste omis certains pans de vérité…Ne sachant pas quoi répondre à ça, car j’avais allié le fait que j’assumais au fait que j’étais triste et que « ma copine » me manquait, elles repartirent en me souhaitant encore une fois bonne nuit.
Leur petites fesses se dévoilèrent encore, dans un shorty noir, et je ne pu résister à l’envie de mettre une petite tape sur celles de Mylène, même si celles de Manon étaient plus avenante et rebondissaient légèrement à chaque pas. Mylène se retourna en me souriant d’un air malicieux.
-Vous m’expliquerez un jour pourquoi vous étiez chaudes ce soir ?
Manon : La ferme, pervers.
Mylène : Pas besoin d’expliquer
Nous refermâmes nos portes, et moi je jubilais de savoir que Manon rageait que je me ferai tôt ou tard sa sœur dans tous les sens et dans n’importe quelle pièce de l’internat !
D’après le réveil, il était tard, je devais absolument pioncer. Je me lavai alors la bite au lavabo et allai dormir, décidant de ne pas me branler pour maintenir la pression. Il devait y avoir un peu de tension dans la chambre d’à coté, elles se parlèrent à peine, elles préféraient apparemment oublier ce qui venait de se passer. Petite tension sexuelle entre fille ?
Je me disais, à ce moment la, qu’elles devraient bien compenser par autre chose…quelqu’un de facile a atteindre… Rien que d’y repenser j’en avais encore le barreau. Le cul magnifique et vierge de Manon me faisait tellement d’effet qu’il tournait encore dans ma tête.
A peine avais je fermé les yeux que le réveil sonna. Putain, il était déjà 6h45. Douche, petit dèj tout ça, s’en devenait la routine. A la table de notre étage, les deux sœurs mangeaient chacune de leur coté avec leurs amies.
Moi je mangeais mon bagle avec le trou au milieu, j’avais mis de la confiture dessus et un peu était tombé à l’intérieur. Pour ne pas en foutre sur la table, je la récupérais avec la langue.
Les filles à la table d’en face, en première scientifique, rigolèrent en me voyant. En effet, je n’avais pas réalisé le caractère sexuel de la chose, et l’une d’elle me répondit au loin en suçant la banane de son plateau repas, faisant lentement et attentivement tourner sa magnifique langue autour du fruit.
Moi je rigolais tout seul a la table comme un con, c’était encore plus marrant quand elle se fit chopper par la surveillante et qu’elle baissa les yeux comme une soumise. Néanmoins, une certaine complicité était née, car elle me lançait plusieurs petits coup d’œil par la suite. De loin, je voyais bien qu’elle était brune aux cheveux long, très grande. Elle me faisait penser à une personne que j’avais déjà rencontré dans l’établissement, mais qui ?
Quoiqu’il en soit, je savais que j’allais pouvoir la rencontrer aux cours suivants. Discrètement, je regardais moi aussi ses longues jambes qui allaient sous sa table. Elle était en combo shorty + ballerines, et était parfaitement au courant de ses avantages