Note de la fic :
Ma vie en internat de filles...
Par : K-Bell
Genre : Sayks, No-Fake
Statut : C'est compliqué
Chapitre 11
Publié le 12/05/2013 à 19:36:01 par K-Bell
Après cet épisode qui sortait de l’ordinaire, les autres filles me regardaient bizarrement au réfectoire ou en classe. Il faut savoir que les jours passaient, et le soleil laissait peu à peu la place aux nuages. Tout se passait très bien en cours pour moi, et je formais presque un couple avec Mylène. Presque.
En fait, jamais on ne se tenait la main, jamais on ne se parlait vraiment. Tous les jours entre les cours et le diner au réfectoire, quand tout le monde ou presque était dans la salle de jeu ou sortait fumer, on se retrouvait dans sa chambre pour faire les parties de jambes en l’air les plus chaudes de l’histoire…
Je vous raconte ça comme si c’était banal et je me rends bien compte que j’ai tort, mais on finit par s’habituer à tout malheureusement. Je ne vous cache pas que les première fois étaient fantastiques !
C’est pour ça que je vais vous parler de la première fois en fait !
Quand la première fois elle m’avait entrainé en douce dans la chambre ou elle dormait avec sa sœur, elle referma la porte derrière moi puis elle baissa mon froc et m’attira dans son lit tout en me tirant le sexe comme pour m’indiquer la direction a suivre dans l’obscurité.
Elle enleva ensuite son T-shirt, dévoilant ses seins ronds et magnifiques. Je me jetai alors sur elle, sexe durcit, et plongeai la tête dedans. Ils étaient doux et moelleux, accueillants et rassurants. Les meilleurs coussins dont on pouvait rêver.
Elle me suça ensuite tendrement pendant de longues minutes puis s’arrêta quand elle sentit que ça venait. Mes gémissements passaient à travers les murs, je profitais du massage de mes testicules fait par ses petites mains expertes, sa bouche étant occupée. Ce fut ensuite son tour, elle enleva alors son jean et j’enlevai moi-même sa petite culotte, pour finir par lui faire plaisir avec ma langue, mes lèvres et mes dents.
Par soucis de performance, je fis en sorte de le faire plus longtemps qu’elle et elle en profitait bien la petite. Moi je profitais de la vue, voir son corps magnifique trembler de désir, en poussant des gémissements qu’elle peinait à retenir. Son dos se cambra alors pour appuyer plus fort sa vulve contre ma langue. Sa respiration s’accéléra. Elle prit alors mes mains pour les poser sur ses seins magnifiquement formés, que je malaxai allégrement.
Et d’un coup pour elle, ce fut l’explosion, ses cris étaient retenus mais étaient la, pendant une vingtaine de secondes ! Moi pendant ce temps, j’insistai un peu plus, caressant ses lèvres avec ma langues, la pénétrant avec un doigt ou deux…puis je finis par lui mordiller le clito, je savais qu’elle aimait ça.
Faut vous remettre dans le contexte aussi, ces soirs la c’était à chaque fois pendant le soleil couchant, et nous baisions donc sauvagement à la lumière orange qui perçait la fenêtre. Son corps était magnifique sous ce filtre naturel, on se croyait dans un film érotique sous les tropiques. Je peux vous dire que malgré ses 18 ans elle n’avait plus rien d’une gamine, sauf peut être la taille…
La température montait rapidement dans la petite chambre, et nos corps en sueur continuaient de faire ce pour quoi ils étaient programmés. Car je vous le dis direct les gars, au delà de la baise sauvage qu’il y avait, on était tellement shootés aux hormones tous les deux quand on se voyait qu’il y avait une véritable notion de reproduction !
On admirait nos corps l’un et l’autre, et dans ma tête Mylène = Femelle à féconder au plus vite ! Dans la sienne ça devait être « Fais ta chaudasse pour profiter de ses magnifiques gènes ! »
Sans cette chose qu’on appelait pilule elle aurait été enceinte de sextuplés toutes les semaines et encore, c’est parce qu’on se retenait de faire du bruit !
Au début je voulais tenter la levrette, et même si la position était excitante je ne pouvais pas admirer ses merveilleux atouts qui se balançaient. Alors je la retournai vite pour la baiser sur son lit. Ses seins se balançaient de haut en bas au rythme de mes coups de reins et elle prenait beaucoup plus son pied que moi cette cochonne ! J’avais l’impression de me faire arnaquer !
-Ah ! Ah ! AAhhh ! Ah ! AAaah ! ah ! Ce que ça fait du bien de se comporter en salope puttaaaaaaiiiiin !!
A ce moment la je sentais son vagin se contracter et me masser le zob par la même. Pour enfoncer mon sexe plus profondément en elle, je soulevai ses jambes et m’y engouffra plus encore. J’étais prêt a tout lâcher et je ne sentais plus ma bite, elle était anesthésiée sous le plaisir. Mes couilles avaient pris le relai et actionnèrent la pompe à sperme. Elle allait prendre.
Quand elle sentit mon sexe rentrer encore plus en elle qui était les jambes en l’air, elle poussa un long gémissement tout en pleurant silencieusement, c’était l’orgasme total à la Mylène.
Je lui faisais la totale domination avec mon sexe au fond d’elle, une main retenant ses jambes et l’autre sur sa poitrine de rêve. Sa sublime peau blanche avait tourné au rose a certains endroits, c’était fascinant.
Moi, je m’affairai à lui faire un gosse, déposant des litres de sperme au fin fond, et décuplant son plaisir.
Quand nous eûmes finit, elle se reposa quelques minutes, essoufflée comme moi. Une baise d’enfer. Toute la pression des cours avait été évacuée.
Elle se releva ensuite pour se rhabiller, me laissant nu sur son lit Hello Kitty. Quand elle eut finit, elle repartit rejoindre ses amies dans la salle de jeu :
-La prochaine fois qu’on se verra, on baisera pour de vrai
Moi, je regardais le plafond, vidé :
-La salooooooooope
En fait, jamais on ne se tenait la main, jamais on ne se parlait vraiment. Tous les jours entre les cours et le diner au réfectoire, quand tout le monde ou presque était dans la salle de jeu ou sortait fumer, on se retrouvait dans sa chambre pour faire les parties de jambes en l’air les plus chaudes de l’histoire…
Je vous raconte ça comme si c’était banal et je me rends bien compte que j’ai tort, mais on finit par s’habituer à tout malheureusement. Je ne vous cache pas que les première fois étaient fantastiques !
C’est pour ça que je vais vous parler de la première fois en fait !
Quand la première fois elle m’avait entrainé en douce dans la chambre ou elle dormait avec sa sœur, elle referma la porte derrière moi puis elle baissa mon froc et m’attira dans son lit tout en me tirant le sexe comme pour m’indiquer la direction a suivre dans l’obscurité.
Elle enleva ensuite son T-shirt, dévoilant ses seins ronds et magnifiques. Je me jetai alors sur elle, sexe durcit, et plongeai la tête dedans. Ils étaient doux et moelleux, accueillants et rassurants. Les meilleurs coussins dont on pouvait rêver.
Elle me suça ensuite tendrement pendant de longues minutes puis s’arrêta quand elle sentit que ça venait. Mes gémissements passaient à travers les murs, je profitais du massage de mes testicules fait par ses petites mains expertes, sa bouche étant occupée. Ce fut ensuite son tour, elle enleva alors son jean et j’enlevai moi-même sa petite culotte, pour finir par lui faire plaisir avec ma langue, mes lèvres et mes dents.
Par soucis de performance, je fis en sorte de le faire plus longtemps qu’elle et elle en profitait bien la petite. Moi je profitais de la vue, voir son corps magnifique trembler de désir, en poussant des gémissements qu’elle peinait à retenir. Son dos se cambra alors pour appuyer plus fort sa vulve contre ma langue. Sa respiration s’accéléra. Elle prit alors mes mains pour les poser sur ses seins magnifiquement formés, que je malaxai allégrement.
Et d’un coup pour elle, ce fut l’explosion, ses cris étaient retenus mais étaient la, pendant une vingtaine de secondes ! Moi pendant ce temps, j’insistai un peu plus, caressant ses lèvres avec ma langues, la pénétrant avec un doigt ou deux…puis je finis par lui mordiller le clito, je savais qu’elle aimait ça.
Faut vous remettre dans le contexte aussi, ces soirs la c’était à chaque fois pendant le soleil couchant, et nous baisions donc sauvagement à la lumière orange qui perçait la fenêtre. Son corps était magnifique sous ce filtre naturel, on se croyait dans un film érotique sous les tropiques. Je peux vous dire que malgré ses 18 ans elle n’avait plus rien d’une gamine, sauf peut être la taille…
La température montait rapidement dans la petite chambre, et nos corps en sueur continuaient de faire ce pour quoi ils étaient programmés. Car je vous le dis direct les gars, au delà de la baise sauvage qu’il y avait, on était tellement shootés aux hormones tous les deux quand on se voyait qu’il y avait une véritable notion de reproduction !
On admirait nos corps l’un et l’autre, et dans ma tête Mylène = Femelle à féconder au plus vite ! Dans la sienne ça devait être « Fais ta chaudasse pour profiter de ses magnifiques gènes ! »
Sans cette chose qu’on appelait pilule elle aurait été enceinte de sextuplés toutes les semaines et encore, c’est parce qu’on se retenait de faire du bruit !
Au début je voulais tenter la levrette, et même si la position était excitante je ne pouvais pas admirer ses merveilleux atouts qui se balançaient. Alors je la retournai vite pour la baiser sur son lit. Ses seins se balançaient de haut en bas au rythme de mes coups de reins et elle prenait beaucoup plus son pied que moi cette cochonne ! J’avais l’impression de me faire arnaquer !
-Ah ! Ah ! AAhhh ! Ah ! AAaah ! ah ! Ce que ça fait du bien de se comporter en salope puttaaaaaaiiiiin !!
A ce moment la je sentais son vagin se contracter et me masser le zob par la même. Pour enfoncer mon sexe plus profondément en elle, je soulevai ses jambes et m’y engouffra plus encore. J’étais prêt a tout lâcher et je ne sentais plus ma bite, elle était anesthésiée sous le plaisir. Mes couilles avaient pris le relai et actionnèrent la pompe à sperme. Elle allait prendre.
Quand elle sentit mon sexe rentrer encore plus en elle qui était les jambes en l’air, elle poussa un long gémissement tout en pleurant silencieusement, c’était l’orgasme total à la Mylène.
Je lui faisais la totale domination avec mon sexe au fond d’elle, une main retenant ses jambes et l’autre sur sa poitrine de rêve. Sa sublime peau blanche avait tourné au rose a certains endroits, c’était fascinant.
Moi, je m’affairai à lui faire un gosse, déposant des litres de sperme au fin fond, et décuplant son plaisir.
Quand nous eûmes finit, elle se reposa quelques minutes, essoufflée comme moi. Une baise d’enfer. Toute la pression des cours avait été évacuée.
Elle se releva ensuite pour se rhabiller, me laissant nu sur son lit Hello Kitty. Quand elle eut finit, elle repartit rejoindre ses amies dans la salle de jeu :
-La prochaine fois qu’on se verra, on baisera pour de vrai
Moi, je regardais le plafond, vidé :
-La salooooooooope