Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:18:14 par Pseudo supprimé
Chapitre 17 :
Je suis assis sur l'herbe. Je repense à ce qu'il vient de se passer, j'ai envie de pleurer, de hurler que le monde est injuste et que la vie est simplement un enchainement de connerie qui ne vaut pas la peine d'être vécu. Je me reprends, je ne dois pas me mettre dans ces états pour une fille. Le temps s'est couvert et la pluie commence à s'abattre. La fête continue à l'intérieur mais je décide de rentrer discrètement chez moi. J'ai pas envie de voir du monde, j'ai pas non plus envie de parler. Je veux simplement me retrouver face à moi même et réfléchir, prendre du recul par rapport aux évènements.
Je me dirige vers mon appartement, sur le chemin j'essaye de ne penser à rien pour m'empêcher de m'effondrer et ainsi continuer. La balançoire de la résidence retient mon intention et je décide finalement de me poser ici quelques instants avant de remonter.
Léa. Sacrée fille que voila... Je lui en veux tellement et pourtant je ne peux m'empêcher de penser à elle, à nous. Cette idée qui s'éloigne de plus en plus de la réalité au fur et à mesure que les minutes passent. Je me balance lentement. Et maintenant, qu'est-ce qu'il va se passer ? Le futur est si incertain, et pourtant j'aimerais pouvoir savoir ce qu'il se passera ensuite. Comment va évoluer ma relation avec Léa maintenant ? Je sens déjà le malaise omniprésent chaque fois que je la verrais. Et surtout, j'ai absolument aucune envie de croiser le foutu conn*rd qui lui sert de mec. Pourriture... Tu m'as volé ma Léa. Je pense sincèrement que je vaux bien mieux que lui et en vérité je suis totalement jaloux, mais je ne veux pas l'admettre. Il a Léa et moi je n'ai rien. Je sais absolument pas ce que je dois faire. Soudain, j'aperçois Max' qui s'approche de moi.
- Comment tu m'a trouvé ?
- Je pensais te trouver sur le chemin mais je t'ai aperçus sur la balançoire... Tu tiens le coup vieux ?
- ... Tu savais pour Léa ?
- Nan, personne savait.
Il me donne un coup amical sur l'épaule
- Faut pas que tu te mettes dans des états pareil Thomas. Surtout pour une fille.
- J'sais bien. Mais c'est plus fort que moi, je sais plus quoi faire.
- Si je devais te conseiller je te dirais de rien lâcher et de faire comme avant.
- Hein ?
- Elle restera pas longtemps avec son mec, crois moi. Surtout si tu continues sur ta lancée, il y a vraiment quelque chose de spécial entre toi et elle. Bien plus fort qu'avec ce vieux mec. Et quoi qu'elle ai pu te dire, elle le sait.
Je l'écoute attentivement, je ne le montre pas mais au fond ça me fait vraiment plaisir d'entendre ça. C'est vraiment un bon pote, il a su me remonter le moral en quelques phrases. Il continues en m'attrapant par l'épaule et en souriant :
- Allez souris vieux ! On a encore plein de vacance et on va s'éclater !!
- Ouais t'as raison.
- Bon je vais y aller, on se voit demain, a plus !!
Et il repart vers chez lui quand je l'intercepte avant qu'il ne dépasse le portail :
- Max' !
- Ouais ?
- Merci.
- Pas de problème mon pote !
Il a raison, je vais continuer sur ma lancée. On verra bien ce qu'il se passera. J'emmerde la vie et ses évènements, t'auras pas raison de moi comme ça ! Je remonte chez moi et prends une bonne douche pour me rafraichir et me changer les idées. Je m'installe confortablement dans mon lit avec mon ordi pour me regarder un p'tit film. Il est 00h38 et je m'endors pendant les 15 premières minutes.
Je suis assis sur l'herbe. Je repense à ce qu'il vient de se passer, j'ai envie de pleurer, de hurler que le monde est injuste et que la vie est simplement un enchainement de connerie qui ne vaut pas la peine d'être vécu. Je me reprends, je ne dois pas me mettre dans ces états pour une fille. Le temps s'est couvert et la pluie commence à s'abattre. La fête continue à l'intérieur mais je décide de rentrer discrètement chez moi. J'ai pas envie de voir du monde, j'ai pas non plus envie de parler. Je veux simplement me retrouver face à moi même et réfléchir, prendre du recul par rapport aux évènements.
Je me dirige vers mon appartement, sur le chemin j'essaye de ne penser à rien pour m'empêcher de m'effondrer et ainsi continuer. La balançoire de la résidence retient mon intention et je décide finalement de me poser ici quelques instants avant de remonter.
Léa. Sacrée fille que voila... Je lui en veux tellement et pourtant je ne peux m'empêcher de penser à elle, à nous. Cette idée qui s'éloigne de plus en plus de la réalité au fur et à mesure que les minutes passent. Je me balance lentement. Et maintenant, qu'est-ce qu'il va se passer ? Le futur est si incertain, et pourtant j'aimerais pouvoir savoir ce qu'il se passera ensuite. Comment va évoluer ma relation avec Léa maintenant ? Je sens déjà le malaise omniprésent chaque fois que je la verrais. Et surtout, j'ai absolument aucune envie de croiser le foutu conn*rd qui lui sert de mec. Pourriture... Tu m'as volé ma Léa. Je pense sincèrement que je vaux bien mieux que lui et en vérité je suis totalement jaloux, mais je ne veux pas l'admettre. Il a Léa et moi je n'ai rien. Je sais absolument pas ce que je dois faire. Soudain, j'aperçois Max' qui s'approche de moi.
- Comment tu m'a trouvé ?
- Je pensais te trouver sur le chemin mais je t'ai aperçus sur la balançoire... Tu tiens le coup vieux ?
- ... Tu savais pour Léa ?
- Nan, personne savait.
Il me donne un coup amical sur l'épaule
- Faut pas que tu te mettes dans des états pareil Thomas. Surtout pour une fille.
- J'sais bien. Mais c'est plus fort que moi, je sais plus quoi faire.
- Si je devais te conseiller je te dirais de rien lâcher et de faire comme avant.
- Hein ?
- Elle restera pas longtemps avec son mec, crois moi. Surtout si tu continues sur ta lancée, il y a vraiment quelque chose de spécial entre toi et elle. Bien plus fort qu'avec ce vieux mec. Et quoi qu'elle ai pu te dire, elle le sait.
Je l'écoute attentivement, je ne le montre pas mais au fond ça me fait vraiment plaisir d'entendre ça. C'est vraiment un bon pote, il a su me remonter le moral en quelques phrases. Il continues en m'attrapant par l'épaule et en souriant :
- Allez souris vieux ! On a encore plein de vacance et on va s'éclater !!
- Ouais t'as raison.
- Bon je vais y aller, on se voit demain, a plus !!
Et il repart vers chez lui quand je l'intercepte avant qu'il ne dépasse le portail :
- Max' !
- Ouais ?
- Merci.
- Pas de problème mon pote !
Il a raison, je vais continuer sur ma lancée. On verra bien ce qu'il se passera. J'emmerde la vie et ses évènements, t'auras pas raison de moi comme ça ! Je remonte chez moi et prends une bonne douche pour me rafraichir et me changer les idées. Je m'installe confortablement dans mon lit avec mon ordi pour me regarder un p'tit film. Il est 00h38 et je m'endors pendant les 15 premières minutes.