Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:16:54 par Pseudo supprimé
~~Chapter Seven~~
Le lendemain matin, je fût réveillé grâce a un méchant coup de jus. Je me dressa tel Popol devant un film pr0n (M'voyez? ). Mes poils en firent de même.
-Mais t'es malade?! Tu veux me tuer ou quoi?
-J'ai essayé de te réveillé a coup de glaçon, ça a pas marchait, alors...
-Ah parce que juste avant tu m'as foutu de l'eau? Mais t'es encore plus taré que je ne l'imaginais!
-Bah, faut bien que je te réveille...
-Espèce de malade!
-Bon, et si au lieu de m'insulter, tu te changeais? Tes fringues sont sévèrement pourries.
Effectivement, mes habits était en lambeau et recouvert de sang. J'avais pris une sacrée raclée la veille. Je me changea donc, et je me rendis compte que je sentais le rat mort.
-Y'a pas moyen de se laver?
-La douche n'est disponible que lorsque tu aura eu 10 victoires.
-Bah, a me sentir, on pourrait penser que je tue mes adversaire grâce a mon odeur.
-
-C'était pas fait pour être drôle, connard.
-Parle moi mieux, jeune gomme, si tu veux pas que je te laisse tomber. Bon, t'as de la chance, y'a justement un entrainement dans l'eau, tu va pouvoir prendre une p'tite douche.
-
Bot m'emmena donc a la prochaine épreuve. Étage -27. Chaud. Là, il me poussa une nouvelle hors de l'ascenseur, et je tomba dans un lac ni trop froid, ni trop chaud, le rêve! Enfin, ce jusqu'à qu'une sirène vienne me percuté. Je remonta a la surface pour respirer. Puis je sentis une main se déposer sur ma jambe, et je pris une grand inspiration, car je savais ce qui allait ce passer. La sirène m'entraina au fond de l'eau. Tendis que je la martelé de mon pied libre, je tentais de remonter a la surface en gesticulant mes bras. La sirène continuait de m'entrainer, malgré les coups.
Le lac était profond, et je commençais a ressentir la pression. Je déboucha mes oreilles, puis j'aperçus un objet métallique et tranchant non loin de moi, en train de couler. Je tendis mon bras pour l'attraper. Trop court. Je redoubla d'effort pour l'atteindre. Impossible, il ne coule pas assez vite par rapport a moi. Je fût donc entrainer vers le fond pendant encore de longues secondes. Chaque secondes était plus terrible les unes que les autres. Je n'avais plus d'air. J'allais mourir, noyé.
La sirène cessa enfin sa descente aux enfers. Là, on commença a se frapper, et j'essayais de remonter a la surface, mais elle me tirer vers le bas. Lorsque soudain, je vis passer l'objet coupant de tout à l'heure. Je l'attrapa, et je planta la sirène a la gorge, et je fis redescendre la lame jusqu'au bout de sa queue. Il y avait énormément de sang, et dans l'eau, c'était magnifique. Mais je ne pris même pas la peine d'observer ceci, vu que je n'avais plus d'air. C'est à ce moment là que commença ma plus grande course contre la montre. Après quelques secondes de souffrances supplémentaire, me voilà enfin sortit de l'eau! Je me traina jusqu'à la terre, et je repris mon souffle, avec difficulté. Il me fallut bien une demie heure avant d'avoir récupérer entièrement mon souffle. Mais cet entrainement, il n'était pas fini. Je me releva, sur mes gardes.
-Je sais pas pourquoi, mais j'le sens mal...
Le lendemain matin, je fût réveillé grâce a un méchant coup de jus. Je me dressa tel Popol devant un film pr0n (M'voyez? ). Mes poils en firent de même.
-Mais t'es malade?! Tu veux me tuer ou quoi?
-J'ai essayé de te réveillé a coup de glaçon, ça a pas marchait, alors...
-Ah parce que juste avant tu m'as foutu de l'eau? Mais t'es encore plus taré que je ne l'imaginais!
-Bah, faut bien que je te réveille...
-Espèce de malade!
-Bon, et si au lieu de m'insulter, tu te changeais? Tes fringues sont sévèrement pourries.
Effectivement, mes habits était en lambeau et recouvert de sang. J'avais pris une sacrée raclée la veille. Je me changea donc, et je me rendis compte que je sentais le rat mort.
-Y'a pas moyen de se laver?
-La douche n'est disponible que lorsque tu aura eu 10 victoires.
-Bah, a me sentir, on pourrait penser que je tue mes adversaire grâce a mon odeur.
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-C'était pas fait pour être drôle, connard.
-Parle moi mieux, jeune gomme, si tu veux pas que je te laisse tomber. Bon, t'as de la chance, y'a justement un entrainement dans l'eau, tu va pouvoir prendre une p'tite douche.
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Bot m'emmena donc a la prochaine épreuve. Étage -27. Chaud. Là, il me poussa une nouvelle hors de l'ascenseur, et je tomba dans un lac ni trop froid, ni trop chaud, le rêve! Enfin, ce jusqu'à qu'une sirène vienne me percuté. Je remonta a la surface pour respirer. Puis je sentis une main se déposer sur ma jambe, et je pris une grand inspiration, car je savais ce qui allait ce passer. La sirène m'entraina au fond de l'eau. Tendis que je la martelé de mon pied libre, je tentais de remonter a la surface en gesticulant mes bras. La sirène continuait de m'entrainer, malgré les coups.
Le lac était profond, et je commençais a ressentir la pression. Je déboucha mes oreilles, puis j'aperçus un objet métallique et tranchant non loin de moi, en train de couler. Je tendis mon bras pour l'attraper. Trop court. Je redoubla d'effort pour l'atteindre. Impossible, il ne coule pas assez vite par rapport a moi. Je fût donc entrainer vers le fond pendant encore de longues secondes. Chaque secondes était plus terrible les unes que les autres. Je n'avais plus d'air. J'allais mourir, noyé.
La sirène cessa enfin sa descente aux enfers. Là, on commença a se frapper, et j'essayais de remonter a la surface, mais elle me tirer vers le bas. Lorsque soudain, je vis passer l'objet coupant de tout à l'heure. Je l'attrapa, et je planta la sirène a la gorge, et je fis redescendre la lame jusqu'au bout de sa queue. Il y avait énormément de sang, et dans l'eau, c'était magnifique. Mais je ne pris même pas la peine d'observer ceci, vu que je n'avais plus d'air. C'est à ce moment là que commença ma plus grande course contre la montre. Après quelques secondes de souffrances supplémentaire, me voilà enfin sortit de l'eau! Je me traina jusqu'à la terre, et je repris mon souffle, avec difficulté. Il me fallut bien une demie heure avant d'avoir récupérer entièrement mon souffle. Mais cet entrainement, il n'était pas fini. Je me releva, sur mes gardes.
-Je sais pas pourquoi, mais j'le sens mal...