Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:16:54 par Pseudo supprimé
~~Chapter Nine~~
Il était 5 heure du matin. L'aurore venait de montrer le bout de son nez. Comme à son habitude, Bot me réveilla violemment, cette fois-ci à coup de marteau dans les côtes. Je fis un bond, en me tenant celles-ci. Je souffrais, et ce petit être laid et sournois riait comme un porc.
-Hey mais ça va pas dans ta tête?
-Hey, ho! J'ai tout essayer, tu te réveillais pas! Feignasse que tu es!
-Mais je t'emmerde raclure de Na Bot!
-Nein Bot!
-M'enfou! Bon, on fait quoi aujourd'hui?
-Entrainement, ça fait trois jours seulement que t'es ici, tu veux faire quoi d'autre?
-Non mais j'veux dire j'vais faire quoi comme épreuve?
-Bah, tu verra.
-Ouah! Tu m'avance là! Franchement, chapeau, je dis respect là man, tu m'a dis 3 mots, j'ai tout compris ce qu'on allait faire!
-Ferme là où j'te tue.
-Euh ouai bon d'accord! En parlant de ça, avec toutes les blessures que j'ai eu, je suis pas sensé être mort depuis longtemps moi?
-Non, les lits sont magiques, quand tu dors dedans, toutes tes blessures sont effacées, comme si elle n'avait jamais existé.
-Trop bien!
-Ouai bon allez on se bouge! Suis moi p'tite merde!
-Je t'emmerde racl'!
Ah, on pouvait pas dire que c'était l'amour fou avec Bot... Mais au fond, je l'aimais bien... Il m'étais utile à ma survie, quoique, vu aux endroits chelou où il m'amenait... Nous prîmes donc de nouveau ce couloir lugubre, jusqu'à l'ascenseur. Ce couloir tapis de rouge, qui me donnait froid dans le dos. Ce couloir si long, et pourtant si peu utile... Ce couloir qui menait à la mort... La porte de l'ascenseur mit du temps à s'ouvrir, et elle grinça. Étrange, elle ne faisait pas ça d'habitude. Peut-être faudrait-il la huiler. Enfin, tant de question pour une chose si puéril. Là, Bot, contrairement à son habitude, ne me grilla pas le passage, et me laissa entrer. Hum, étrange. Devais-je lui faire confiance, et peut-être tomber dans un piège? J'hésitais. J'hésitais tellement, qu'il finit par me pousse dans l'ascenseur, et je m'étala au beau milieu de celui-ci. Il me regarda, un sourire narquois sur les lèvres.
-Bienvenu en enfer.
-Noooon!
La porte se referma presque instantanément. J'étais terroriser. Qu'allait-il se passer? Cette cage d'acier froid allait-elle tomber, après que les câbles ai été coupés par un méchant monstre tro d4rk ki krash du fe? Tant de question dont les réponses allait-être donnés en patientant quelques secondes. Non, je n'eu même pas à patienter. Car il n'y avait rien de toute cela. Vous avais-je déjà dis qu'il y avait quatre porte à cette ascenseur, une de chaque côtés? Non? Et bien maintenant c'est fait. La porte qui étais en face de moi lorsque je me suis relevé s'ouvrit, laissant voir un magnifique paysage verdoyant. Il y avait une grande étendue d'herbe magnifique, brillant sous la rosée du matin. Des fleurs, des arbres, des papillons de partout, et un magnifique soleil. Attendez, il n'étais pas 5h du matin il y a a peine 5 minutes? Je m'avança, sur mes gardes, dans cet Eden. Après avoir fait quelque mètres en me retournant sans cesse, les ennuis commencèrent...
Je m'étala comme une pauv' merde de tout mon long sur l'herbe fraichement humidifié par l'aurore. J'avais trébuché sur quelque chose, mais quoi? Je n'en savait rien, car quand je regarda l'endroit où mon pied avait bloqué, il n'y avait rien. Que de l'herbe. D'ailleurs, quand je regardais devant moi, il n'y avait plus que de l'herbe. Oui, que de l'herbe, et des arbres. En fait, que de la verdure fraiche. La porte de l'ascenseur avait disparu. Oui, c'est ça que j'essaie de vous faire comprendre depuis trois ou quatre phrases.
Je me releva, inquiet de savoir si j'allais m'en sortir vivant de cette épreuve-ci. Je me retourna, et repris ma marche sans fin. Là, devant moi, un lac. Oui, un lac. Je repensa à l'histoire de la veille, en passant ma main sur le haut de mon crâne. Rien qu'en y repensant, j'en avais mal. Je n'avais pas envi de pénétrer (Raj'? ) dans cette étendue d'eau pourtant si clair. D'ailleurs, cela m'étonnais. Je n'avais jamais vu d'eau pareil. Très clair, tellement clair qu'on ne pouvait voir son reflet. Étrange, n'est-ce pas? J'approcha ma main de cette eau si pure. Je la frôla. Mais je retira très vite ma main, car cette eau était acide. Oui, acide. Elle venait de me brûler les doigt, alors que je n'avais fait que l'effleurer. Je n'osa même pas porter les doigts à ma bouche, comme quand on se brûle. Oui, car et si j'avais encore de cette eau sur les doigts? Et bien j'allais me brûler la bouche... Oui, je sais, avec des Si on peut refaire le monde, mais là, euh... Je ne m'y risquais pas !
Soudain, j'entendis un bruit, au loin. Le bruit venait de derrière moi. Il venait aussi de devant moi. Mais bien sur, il venait tout aussi bien de ma gauche, que de ma droite. En gros, le bruit venait de tout les côtés! Je commençait à paniquer. Oui, je paniquais, car je ne voyais absolument rien. Pas la moindre trace de robots efféminé ou de bête tout droit sorti de la mythologie Grecque. Non, je ne voyais rien, seul le vent battant les arbres, frôlant l'herbe et mon visage figeait par la peur. Soudain, je sentis une chose me frôlait, puis une autre, et encore une nouvelle! De plus en plus de bêtes invisible me frôlèrent, jusqu'à que l'une d'entre elle me frappe. Je manqua de tomber dans l'eau, et me rattrapa juste avant de tomber. Je m'éloigna un maximum possible, en frappant l'air pour me défendre en cas d'attaque.
-Puisque la vue ne sert à rien, je vais me servir de mes autres sens...
~~~~~~~~~~~~~
Ceci n'est qu'un avant-goût de mes nouveau talents de ficeur!
Il était 5 heure du matin. L'aurore venait de montrer le bout de son nez. Comme à son habitude, Bot me réveilla violemment, cette fois-ci à coup de marteau dans les côtes. Je fis un bond, en me tenant celles-ci. Je souffrais, et ce petit être laid et sournois riait comme un porc.
-Hey mais ça va pas dans ta tête?
-Hey, ho! J'ai tout essayer, tu te réveillais pas! Feignasse que tu es!
-Mais je t'emmerde raclure de Na Bot!
-Nein Bot!
-M'enfou! Bon, on fait quoi aujourd'hui?
-Entrainement, ça fait trois jours seulement que t'es ici, tu veux faire quoi d'autre?
-Non mais j'veux dire j'vais faire quoi comme épreuve?
-Bah, tu verra.
-Ouah! Tu m'avance là! Franchement, chapeau, je dis respect là man, tu m'a dis 3 mots, j'ai tout compris ce qu'on allait faire!
-Ferme là où j'te tue.
-Euh ouai bon d'accord! En parlant de ça, avec toutes les blessures que j'ai eu, je suis pas sensé être mort depuis longtemps moi?
-Non, les lits sont magiques, quand tu dors dedans, toutes tes blessures sont effacées, comme si elle n'avait jamais existé.
-Trop bien!
-Ouai bon allez on se bouge! Suis moi p'tite merde!
-Je t'emmerde racl'!
Ah, on pouvait pas dire que c'était l'amour fou avec Bot... Mais au fond, je l'aimais bien... Il m'étais utile à ma survie, quoique, vu aux endroits chelou où il m'amenait... Nous prîmes donc de nouveau ce couloir lugubre, jusqu'à l'ascenseur. Ce couloir tapis de rouge, qui me donnait froid dans le dos. Ce couloir si long, et pourtant si peu utile... Ce couloir qui menait à la mort... La porte de l'ascenseur mit du temps à s'ouvrir, et elle grinça. Étrange, elle ne faisait pas ça d'habitude. Peut-être faudrait-il la huiler. Enfin, tant de question pour une chose si puéril. Là, Bot, contrairement à son habitude, ne me grilla pas le passage, et me laissa entrer. Hum, étrange. Devais-je lui faire confiance, et peut-être tomber dans un piège? J'hésitais. J'hésitais tellement, qu'il finit par me pousse dans l'ascenseur, et je m'étala au beau milieu de celui-ci. Il me regarda, un sourire narquois sur les lèvres.
-Bienvenu en enfer.
-Noooon!
La porte se referma presque instantanément. J'étais terroriser. Qu'allait-il se passer? Cette cage d'acier froid allait-elle tomber, après que les câbles ai été coupés par un méchant monstre tro d4rk ki krash du fe? Tant de question dont les réponses allait-être donnés en patientant quelques secondes. Non, je n'eu même pas à patienter. Car il n'y avait rien de toute cela. Vous avais-je déjà dis qu'il y avait quatre porte à cette ascenseur, une de chaque côtés? Non? Et bien maintenant c'est fait. La porte qui étais en face de moi lorsque je me suis relevé s'ouvrit, laissant voir un magnifique paysage verdoyant. Il y avait une grande étendue d'herbe magnifique, brillant sous la rosée du matin. Des fleurs, des arbres, des papillons de partout, et un magnifique soleil. Attendez, il n'étais pas 5h du matin il y a a peine 5 minutes? Je m'avança, sur mes gardes, dans cet Eden. Après avoir fait quelque mètres en me retournant sans cesse, les ennuis commencèrent...
Je m'étala comme une pauv' merde de tout mon long sur l'herbe fraichement humidifié par l'aurore. J'avais trébuché sur quelque chose, mais quoi? Je n'en savait rien, car quand je regarda l'endroit où mon pied avait bloqué, il n'y avait rien. Que de l'herbe. D'ailleurs, quand je regardais devant moi, il n'y avait plus que de l'herbe. Oui, que de l'herbe, et des arbres. En fait, que de la verdure fraiche. La porte de l'ascenseur avait disparu. Oui, c'est ça que j'essaie de vous faire comprendre depuis trois ou quatre phrases.
Je me releva, inquiet de savoir si j'allais m'en sortir vivant de cette épreuve-ci. Je me retourna, et repris ma marche sans fin. Là, devant moi, un lac. Oui, un lac. Je repensa à l'histoire de la veille, en passant ma main sur le haut de mon crâne. Rien qu'en y repensant, j'en avais mal. Je n'avais pas envi de pénétrer (Raj'? ) dans cette étendue d'eau pourtant si clair. D'ailleurs, cela m'étonnais. Je n'avais jamais vu d'eau pareil. Très clair, tellement clair qu'on ne pouvait voir son reflet. Étrange, n'est-ce pas? J'approcha ma main de cette eau si pure. Je la frôla. Mais je retira très vite ma main, car cette eau était acide. Oui, acide. Elle venait de me brûler les doigt, alors que je n'avais fait que l'effleurer. Je n'osa même pas porter les doigts à ma bouche, comme quand on se brûle. Oui, car et si j'avais encore de cette eau sur les doigts? Et bien j'allais me brûler la bouche... Oui, je sais, avec des Si on peut refaire le monde, mais là, euh... Je ne m'y risquais pas !
Soudain, j'entendis un bruit, au loin. Le bruit venait de derrière moi. Il venait aussi de devant moi. Mais bien sur, il venait tout aussi bien de ma gauche, que de ma droite. En gros, le bruit venait de tout les côtés! Je commençait à paniquer. Oui, je paniquais, car je ne voyais absolument rien. Pas la moindre trace de robots efféminé ou de bête tout droit sorti de la mythologie Grecque. Non, je ne voyais rien, seul le vent battant les arbres, frôlant l'herbe et mon visage figeait par la peur. Soudain, je sentis une chose me frôlait, puis une autre, et encore une nouvelle! De plus en plus de bêtes invisible me frôlèrent, jusqu'à que l'une d'entre elle me frappe. Je manqua de tomber dans l'eau, et me rattrapa juste avant de tomber. Je m'éloigna un maximum possible, en frappant l'air pour me défendre en cas d'attaque.
-Puisque la vue ne sert à rien, je vais me servir de mes autres sens...
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Ceci n'est qu'un avant-goût de mes nouveau talents de ficeur!