Note de la fic :
Fuckin___Drugs:_War_against_illegalty_
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4 : Search and burn
Publié le 19/08/2013 à 01:12:08 par Pseudo supprimé
"Search and burn"
17 mai 1978 - 14h24
Cpl Chris Miller
Studies and Observation Group (MAC-V)
Laos
Même après la violente guerre du Vietnam, les américains sont considérer comme des valets de l’impérialisme en Asie. La preuve et en fait qu’un F-4 Phantom II, à été abattu par une base au Laos. Il effectuer un vol de routine pour tester un nouveau radar mis en place par la Navy. On croit que le pilote est mort on nous envoie quand même pour aller voir si cette base est clandestine ou si elle appartient à l’armée Laotienne. De plus, d’après les satellites de reconnaissance, il y a une zone de forme triangulaire qui est toute blanche, et c’est l’objectif secondaire de la mission. A cette époque, j’étais sous les ordres du sergent Barnett, mais il était préférable de communiquer par des surnoms, lui c’était Jarhead et moi Yankee. On n’était armés de M16A1 et on avait pris du matériel de campement au cas où, vous savez la jungle et pleine de danger. On n’a été parachuté par un C-141 et je suis resté coincé bêtement dans un arbre. Heureusement qu’il n’était pas très haut et j’ai donc pu me dégager de mon parachute. Jarhead s’est posé à 25 mètres de moi et donc nous avons fait un regroupement. Il me dit que la dite « base » est à 500 mètres de notre position et qu’il à repérer une rivière qui coulait tout près, surement le Mekong. Nous nous aventurons dans la jungle hostile au milieu des moustiques tout en dégagent l’herbe à la main, quand soudain Jarhead me dit :
-Yankee, tu sens sa ?
-Ouais on dirait de la drogue.
-Exact. Putain c’est pareil que le Vietnam ici. Ils nous avaient drogué en la parsèment sur l’herbe. Tu y’étais en 1972 ? Me dit Jarhead d’un air interrogatif.
-Non je suis arrivé en 1973 à 2 mois de la fin de la guerre, il envoyait les hommes de 17 ans car il manqué d’effectifs. J’étais assigné au 1st Marines Division.
- Prestigieux, mais ta pas connu le vrai enfer.
-A vrai dire, non.
-Bon alors met ta veste sur ton nez pour y être le moins exposé et on court !
-Ok.
Je mis ma veste sur mon nez et l’autre main tenait mon arme. Jarhead courais et je le suivi, mais rapidement je tombe par terre à cause d’une branche mal placé. Je me relève avec une égratignure à la jambe mais rien de bien sérieux. Nous repartons en direction du Mekong, et quand n’ou l’avons atteint, nous avons trouvé un radeau. Jarhead me dit de monter dedans et nous débarquerons dans à peu près 5 minutes de trajet. Je saute dans le radeau suivi du sergent, et nous ramons. Peu après une balle touche le bois de l’embarcation. Je réagis vite en sortant mon Colt M1911 et trouve le rebelle. Je le touche de 3 balles dans le corps. Le capitaine me complimente décide de monter la garde avec sa M16, pendant que moi je pilote. Après ce léger incident, nous débarquons sans danger sur la terre ferme. Je décide prendre mon Colt pour la suite du trajet pour rester plus discret car décidément, en plus d’être pas fiable l’M16 fait un boucan terrible ! Je recharge le reste des balles que j’ai perdu pendant l’accrochage et nous repérons dans le même laps de temps deux hommes armés de M60 surement récupérer au Vietnam. Jarhead me dit qu’on va les tuer en même temps et silencieusement au couteau. Nous trottinons sur les cibles et de total sang-froid nous leur prenons le cou, nous le craquons sur le coté et leur plante le couteau dans le ventre pour être sur, puis du sang gicla sur le sol. Ils tombèrent lourdement au sol et puis nous continuons la marche. Nous sommes en vu du camp ennemi et il était composé de deux canons de DCA, un QG, une prison ou surement le pilote était logé et le rectangle blanc qui s’avère être des pavots. Jarhead me dit :
-Bon on va s’infiltrer incognito dans la base à l’aide des habits de nos victimes, puis on va récupérer le pilote, appeler la base pour nous envoyer un hélico et tenté de cramer les pavots. Suis-moi !
Je suis le sergent et nous nous mettons à couvert derrière un hangar. Deux hommes approchent au détour. Le sergent m’annonce que l’on va les étouffés et prendre leurs habits, armes et on se débarrasse des corps. Les deux sont justes en face de nous et on n’est dans leur angle mort de vision. J’attrape le premier en faisant une prise de judo, l’étale par terre et lui met la main devant la bouche, puis je lui écrase les cotes avec mes genoux. Le sergent est pas trop content vu que au départ il fallait l’étouffer mais pas lui brisés les côtes ou autre, mais enfin le résultat et le même. Nous mettons leurs habits par-dessus les nôtres, prit leurs armes et nous nous aventurons dans la base. Nous arrivons devant la prison et je dis la question secrète : Qui à gagné le superbowl le 15 janvier 1978.
-Cowboys…Dallas Cowboys ! Répondit le jeune pilote.
-C’est notre homme Yankee ! Ouvre !
-Ok.
Je tire une balle dans la serrure qui se cassa quasi-immédiatement. Le pilote est complètement amaigri et saigne de partout à cause de la torture. Le sergent lui ordonna de rester temps qu’on à pas liquider la base…enfin…ce qu’il reste dans le QG. Nous allons droit vers le QG et nous nous plaçons de chaque coté de la porte. Jarhead fixa un explosif. La porte vola en éclat et nous entrons dans la salle ou il devait être 25. Par l’effet de surprise nous abattons la moitié des personnes présente dans la salle. Je me mets à couvert derrière une table et je tire par quelque rafales, le sang éclate sur le mur et les têtes on le cerveau visible ! Les derniers hommes sont morts et le sergent me dit de cramer les pavots, pendant qu’il appel la base. Je sais que ce n’est pas avec un briquet que je vais incendier un pavot aussi large et long que la moitié d’un terrain de football. Je trouve une bombe d’insecticide, et sa avec mon briquet cela peut faire un lance-flamme ! Je mis mon plan à exécution et le pavot d’opium brula. Le sergent arrive en courant pour me dire que l’hélico arrive sur notre position dans 5 minutes et que l’on doit se tenir prêt. Après 5 minutes le Huey atterri en plein milieu du camp, et je fais monter le pilote du A-7 Corsair II en premier dans l’hélico de récupération, puis moi et le sergent. L’opération fut un succès totale.
17 mai 1978 - 14h24
Cpl Chris Miller
Studies and Observation Group (MAC-V)
Laos
Même après la violente guerre du Vietnam, les américains sont considérer comme des valets de l’impérialisme en Asie. La preuve et en fait qu’un F-4 Phantom II, à été abattu par une base au Laos. Il effectuer un vol de routine pour tester un nouveau radar mis en place par la Navy. On croit que le pilote est mort on nous envoie quand même pour aller voir si cette base est clandestine ou si elle appartient à l’armée Laotienne. De plus, d’après les satellites de reconnaissance, il y a une zone de forme triangulaire qui est toute blanche, et c’est l’objectif secondaire de la mission. A cette époque, j’étais sous les ordres du sergent Barnett, mais il était préférable de communiquer par des surnoms, lui c’était Jarhead et moi Yankee. On n’était armés de M16A1 et on avait pris du matériel de campement au cas où, vous savez la jungle et pleine de danger. On n’a été parachuté par un C-141 et je suis resté coincé bêtement dans un arbre. Heureusement qu’il n’était pas très haut et j’ai donc pu me dégager de mon parachute. Jarhead s’est posé à 25 mètres de moi et donc nous avons fait un regroupement. Il me dit que la dite « base » est à 500 mètres de notre position et qu’il à repérer une rivière qui coulait tout près, surement le Mekong. Nous nous aventurons dans la jungle hostile au milieu des moustiques tout en dégagent l’herbe à la main, quand soudain Jarhead me dit :
-Yankee, tu sens sa ?
-Ouais on dirait de la drogue.
-Exact. Putain c’est pareil que le Vietnam ici. Ils nous avaient drogué en la parsèment sur l’herbe. Tu y’étais en 1972 ? Me dit Jarhead d’un air interrogatif.
-Non je suis arrivé en 1973 à 2 mois de la fin de la guerre, il envoyait les hommes de 17 ans car il manqué d’effectifs. J’étais assigné au 1st Marines Division.
- Prestigieux, mais ta pas connu le vrai enfer.
-A vrai dire, non.
-Bon alors met ta veste sur ton nez pour y être le moins exposé et on court !
-Ok.
Je mis ma veste sur mon nez et l’autre main tenait mon arme. Jarhead courais et je le suivi, mais rapidement je tombe par terre à cause d’une branche mal placé. Je me relève avec une égratignure à la jambe mais rien de bien sérieux. Nous repartons en direction du Mekong, et quand n’ou l’avons atteint, nous avons trouvé un radeau. Jarhead me dit de monter dedans et nous débarquerons dans à peu près 5 minutes de trajet. Je saute dans le radeau suivi du sergent, et nous ramons. Peu après une balle touche le bois de l’embarcation. Je réagis vite en sortant mon Colt M1911 et trouve le rebelle. Je le touche de 3 balles dans le corps. Le capitaine me complimente décide de monter la garde avec sa M16, pendant que moi je pilote. Après ce léger incident, nous débarquons sans danger sur la terre ferme. Je décide prendre mon Colt pour la suite du trajet pour rester plus discret car décidément, en plus d’être pas fiable l’M16 fait un boucan terrible ! Je recharge le reste des balles que j’ai perdu pendant l’accrochage et nous repérons dans le même laps de temps deux hommes armés de M60 surement récupérer au Vietnam. Jarhead me dit qu’on va les tuer en même temps et silencieusement au couteau. Nous trottinons sur les cibles et de total sang-froid nous leur prenons le cou, nous le craquons sur le coté et leur plante le couteau dans le ventre pour être sur, puis du sang gicla sur le sol. Ils tombèrent lourdement au sol et puis nous continuons la marche. Nous sommes en vu du camp ennemi et il était composé de deux canons de DCA, un QG, une prison ou surement le pilote était logé et le rectangle blanc qui s’avère être des pavots. Jarhead me dit :
-Bon on va s’infiltrer incognito dans la base à l’aide des habits de nos victimes, puis on va récupérer le pilote, appeler la base pour nous envoyer un hélico et tenté de cramer les pavots. Suis-moi !
Je suis le sergent et nous nous mettons à couvert derrière un hangar. Deux hommes approchent au détour. Le sergent m’annonce que l’on va les étouffés et prendre leurs habits, armes et on se débarrasse des corps. Les deux sont justes en face de nous et on n’est dans leur angle mort de vision. J’attrape le premier en faisant une prise de judo, l’étale par terre et lui met la main devant la bouche, puis je lui écrase les cotes avec mes genoux. Le sergent est pas trop content vu que au départ il fallait l’étouffer mais pas lui brisés les côtes ou autre, mais enfin le résultat et le même. Nous mettons leurs habits par-dessus les nôtres, prit leurs armes et nous nous aventurons dans la base. Nous arrivons devant la prison et je dis la question secrète : Qui à gagné le superbowl le 15 janvier 1978.
-Cowboys…Dallas Cowboys ! Répondit le jeune pilote.
-C’est notre homme Yankee ! Ouvre !
-Ok.
Je tire une balle dans la serrure qui se cassa quasi-immédiatement. Le pilote est complètement amaigri et saigne de partout à cause de la torture. Le sergent lui ordonna de rester temps qu’on à pas liquider la base…enfin…ce qu’il reste dans le QG. Nous allons droit vers le QG et nous nous plaçons de chaque coté de la porte. Jarhead fixa un explosif. La porte vola en éclat et nous entrons dans la salle ou il devait être 25. Par l’effet de surprise nous abattons la moitié des personnes présente dans la salle. Je me mets à couvert derrière une table et je tire par quelque rafales, le sang éclate sur le mur et les têtes on le cerveau visible ! Les derniers hommes sont morts et le sergent me dit de cramer les pavots, pendant qu’il appel la base. Je sais que ce n’est pas avec un briquet que je vais incendier un pavot aussi large et long que la moitié d’un terrain de football. Je trouve une bombe d’insecticide, et sa avec mon briquet cela peut faire un lance-flamme ! Je mis mon plan à exécution et le pavot d’opium brula. Le sergent arrive en courant pour me dire que l’hélico arrive sur notre position dans 5 minutes et que l’on doit se tenir prêt. Après 5 minutes le Huey atterri en plein milieu du camp, et je fais monter le pilote du A-7 Corsair II en premier dans l’hélico de récupération, puis moi et le sergent. L’opération fut un succès totale.