Note de la fic :
Fuckin___Drugs:_War_against_illegalty_
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 2 : One shot...one kill ?
Publié le 19/08/2013 à 01:12:08 par Pseudo supprimé
“One shot…one kill ?”
18 juin 1982 – 7h23am
Sgt Chris Miller
7th Marines Regiment
Jungle colombienne.
-Garde ton calme, attend que le vent retombe et prend en compte tout les paramètres de tir. Notre distance est de 782m, une erreur et c’est fini pour nous. Me dit le capitaine.
Je suis ma cible à la trace, je suis qu’il y aura aucune erreur. Ce salopard à violé des femmes rien que pour le plaisir, il ne s’en tira pas comme ça c’est sur ! Je stabilise mon rythme cardiaque et visiblement ce salaud à pas l’air content. Il ce décale de ces disciples et le lieutenant qui scruter la zone me dit :
-Miller vas y !!
-C’est le moment Miller ! Dit le capitaine.
Je vérifie les coordonnés et je pressai la détente. Une forte détonation ce fit entendre et je ressens le recul du fusil dans mon épaule. La cible est touché au niveau de la poitrine et le capitaine s’exclame :
-C’est fantastique ! Bien joué Miller !
-Il réplique !! Cria MacCaffery.
-Cachez vous ! Dit Johnson.
On se met à terre et je vois les balles planter le sol juste devant moi. Le capitaine Johnson nous dit d’aller dans une rivière et de plonger dedans pour accédez au campement clandestin. Nous courons à travers un flot de tirs et nous répliquons de manière imprécise. Nous sommes en vue de la rivière et nous plongeons, nous savons que nos armes seront inutilisables une fois sous l’eau mais bon on ce débrouillera une fois sortie, on n’est des Marines me disais-je. Le capitaine nous dit de baisser la tête et d’aller sous l’eau car ces enfoirés visent très bien. L’émetteur radio est désormais noyé comme mon M14, et je commencer à perdre un peu d’air alors je remonte un peut à la surface, pris un bol d’air mais c’est salaud tente de se barrer et mettent le feu au camp et tente de reprendre le plus d’opium possible. Je rattrape le capitaine et lui fais signe de remonter à la surface. Il regarde et dit :
-Miller, MacCaffery suivez moi ! Ordonna t-il.
Nous sortons de l’eau et nous récupérons des AK-47 ennemis à la place de nos armes habituel et s’en suit d’une grosse fusillade. Je me cache derrière un arbre et tire limite à l’aveuglette avec la peur d’être tué mais mes deux supérieurs n’hésite pas une seconde. On repousse la majeur partie de la milice quand le capitaine Johnson me dit :
-Miller, fonce dans la cabane et cherche s’il y a un émetteur TSF pour contacter la base !
-Bien compris capitaine ! Couvrez-moi !!!
Sous les tirs meurtriers de la milice, je fonce droit vers la cabane ou serait peut-être un émetteur. Je tire sur la porte en bois et je la défonce avec force, je pénètre dans la cabane quand au coin d’un mur je vois une chose horrible que ce salaud de Martinez à fait : Violer et tuer une femme enceinte le ventre ouvert. Ma vision était une horreur, et le lieutenant MacCaffery me crie :
-Qu’est ce tu fous Miller ! Je le vois d’ici l’émetteur !!
-Ouais…euh…je contacte, QG ici Vautour-Six, demande de soutien aérien au coordonnés 352-141.
-Ici le QG le huey de récupération et à 3 minutes de votre position, tenez bon !
-Bien reçu !! Capitaine, le huey est à…CAPITAINE !!!!!!!
-Miller, Johnson est mort !
-Bordel de merde !!!
-On ne reste pas la ! Suis-moi !!!
Le capitaine Johnson est mort, j’en ai les larmes aux yeux, mais l’enfer de cette jungle est pire ! Le lieutenant arrache les plaques du défunt capitaine tire sur tous le monde : il avait pété les plombs. En même temps, vivre le Vietnam et mourir seulement en opération spéciale c’est vraiment con ! On tire comme des fous et puis des bruits de sulfateuses pas communes nous parviennent à l’oreille : c’est le Huey de récupération ! Le lieutenant MacCaffery dit :
-Allez Miller, c’est notre dernière chance !!!
-Ok !!
Je le suis et il assure ma couverture devant l’hélico, je monte dedans et lui tape l’épaule comme quoi on n’est prêt à y aller. Il monta et pris les commandes de la M60 embarqué.
-Prenez sa bande d’enculer !!!!!!!!!!!!
Les corps des miliciens tombaient un à un dans un vacarme assourdissant et l’hélico fit ni une ni deux et se tire de la zone. Nous avons accomplie notre mission sans Johnson malheureusement. MacCaffery me dit :
Quand tu sera assigné à une unité auquel tu t’entends bien avec, ne t’y accroche pas avec eux. Si j’avais su……je l’aurais fais.
A SUIVRE…
18 juin 1982 – 7h23am
Sgt Chris Miller
7th Marines Regiment
Jungle colombienne.
-Garde ton calme, attend que le vent retombe et prend en compte tout les paramètres de tir. Notre distance est de 782m, une erreur et c’est fini pour nous. Me dit le capitaine.
Je suis ma cible à la trace, je suis qu’il y aura aucune erreur. Ce salopard à violé des femmes rien que pour le plaisir, il ne s’en tira pas comme ça c’est sur ! Je stabilise mon rythme cardiaque et visiblement ce salaud à pas l’air content. Il ce décale de ces disciples et le lieutenant qui scruter la zone me dit :
-Miller vas y !!
-C’est le moment Miller ! Dit le capitaine.
Je vérifie les coordonnés et je pressai la détente. Une forte détonation ce fit entendre et je ressens le recul du fusil dans mon épaule. La cible est touché au niveau de la poitrine et le capitaine s’exclame :
-C’est fantastique ! Bien joué Miller !
-Il réplique !! Cria MacCaffery.
-Cachez vous ! Dit Johnson.
On se met à terre et je vois les balles planter le sol juste devant moi. Le capitaine Johnson nous dit d’aller dans une rivière et de plonger dedans pour accédez au campement clandestin. Nous courons à travers un flot de tirs et nous répliquons de manière imprécise. Nous sommes en vue de la rivière et nous plongeons, nous savons que nos armes seront inutilisables une fois sous l’eau mais bon on ce débrouillera une fois sortie, on n’est des Marines me disais-je. Le capitaine nous dit de baisser la tête et d’aller sous l’eau car ces enfoirés visent très bien. L’émetteur radio est désormais noyé comme mon M14, et je commencer à perdre un peu d’air alors je remonte un peut à la surface, pris un bol d’air mais c’est salaud tente de se barrer et mettent le feu au camp et tente de reprendre le plus d’opium possible. Je rattrape le capitaine et lui fais signe de remonter à la surface. Il regarde et dit :
-Miller, MacCaffery suivez moi ! Ordonna t-il.
Nous sortons de l’eau et nous récupérons des AK-47 ennemis à la place de nos armes habituel et s’en suit d’une grosse fusillade. Je me cache derrière un arbre et tire limite à l’aveuglette avec la peur d’être tué mais mes deux supérieurs n’hésite pas une seconde. On repousse la majeur partie de la milice quand le capitaine Johnson me dit :
-Miller, fonce dans la cabane et cherche s’il y a un émetteur TSF pour contacter la base !
-Bien compris capitaine ! Couvrez-moi !!!
Sous les tirs meurtriers de la milice, je fonce droit vers la cabane ou serait peut-être un émetteur. Je tire sur la porte en bois et je la défonce avec force, je pénètre dans la cabane quand au coin d’un mur je vois une chose horrible que ce salaud de Martinez à fait : Violer et tuer une femme enceinte le ventre ouvert. Ma vision était une horreur, et le lieutenant MacCaffery me crie :
-Qu’est ce tu fous Miller ! Je le vois d’ici l’émetteur !!
-Ouais…euh…je contacte, QG ici Vautour-Six, demande de soutien aérien au coordonnés 352-141.
-Ici le QG le huey de récupération et à 3 minutes de votre position, tenez bon !
-Bien reçu !! Capitaine, le huey est à…CAPITAINE !!!!!!!
-Miller, Johnson est mort !
-Bordel de merde !!!
-On ne reste pas la ! Suis-moi !!!
Le capitaine Johnson est mort, j’en ai les larmes aux yeux, mais l’enfer de cette jungle est pire ! Le lieutenant arrache les plaques du défunt capitaine tire sur tous le monde : il avait pété les plombs. En même temps, vivre le Vietnam et mourir seulement en opération spéciale c’est vraiment con ! On tire comme des fous et puis des bruits de sulfateuses pas communes nous parviennent à l’oreille : c’est le Huey de récupération ! Le lieutenant MacCaffery dit :
-Allez Miller, c’est notre dernière chance !!!
-Ok !!
Je le suis et il assure ma couverture devant l’hélico, je monte dedans et lui tape l’épaule comme quoi on n’est prêt à y aller. Il monta et pris les commandes de la M60 embarqué.
-Prenez sa bande d’enculer !!!!!!!!!!!!
Les corps des miliciens tombaient un à un dans un vacarme assourdissant et l’hélico fit ni une ni deux et se tire de la zone. Nous avons accomplie notre mission sans Johnson malheureusement. MacCaffery me dit :
Quand tu sera assigné à une unité auquel tu t’entends bien avec, ne t’y accroche pas avec eux. Si j’avais su……je l’aurais fais.
A SUIVRE…