Note de la fic : Non notée
Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 11 : Retour de piscine...
Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 11 : Retour de piscine… :mac:
Je reste bouche bée devant ses mots et son audace. Il est face à moi et je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son maillot de bain…
C’est vrai qu’il a l’air bien rempli…
J : En même temps, à ce que je crois deviner sous ton slip, je ne suis pas le seul à être bien équipé…
Je rougis instantanément à sa remarque et ne sais plus comment me tenir devant lui, vu qu’il regarde mon entrejambe sans le cacher le moins du monde.
J : Allez, on va se rhabiller ?
Il se dirige alors vers nos casiers sans un mot de plus et récupère ses affaires. Je le rejoins rapidement.
J : J’t’ai pas choqué au moins ?
L : Non, non, pas du tout. Je ne savais pas que t’étais aussi cash que ça en fait… Donc ça m’a un peu surpris…
J : Eh oui, le petit bourge de famille catho peut parfois être un peu… dévergondé ! Et encore, tu n’as rien vu !
Mais je ne demande que ça !
Nous regagnons finalement les cabines et nous rhabillons rapidement. Je quitte mes camarades du jour peu après et rejoins mon appartement en ayant convenu de revoir Jules dès le lendemain pour l’aider à préparer un exposé en anglais.
De retour chez moi, je décide de prendre une nouvelle douche afin d’enlever les dernières odeurs de chlore qui restent accrochées sur ma peau.
Je me déshabille donc à nouveau et me glisse sous le jet d’eau brûlante.
Je commence par me savonner le haut du corps et je remarque, lorsque je descends vers mon bas-ventre, que la bête qui loge quelques centimètres plus bas est en train de se réveiller. Repenser au maillot de bain bleu et très moulant de Jules ne m’aide pas.
Je commence de lentes caresses d’une main sur la fine toison qui se trouve au-dessus de mon sexe, tout en jouant à faire passer le jet d’eau chaude sur mes testicules de l’autre main. Puis mes doigts viennent saisir mon sexe grandissant et, d’un mouvement habile, je décalotte mon gland. Je caresse de mon index les zones les plus sensibles. Tout d’abord en le passant au niveau du frein, puis sur la couronne qui me fait tant d’effet. Ma main gauche raccroche le pommeau de douche et vient caresser mes fesses et se glisser le long de ma raie.
Je saisis désormais ma queue d’une manière plus ferme et commence à faire des mouvements du bassin pour la faire glisser entre mes doigts recourbés. Mon autre main vient titiller mon anus et badigeonne mon entrée intime de gel douche. Avec mon index, je pousse sur ma rosette qui s’ouvre assez difficilement. J’arrive à y faire entrer une phalange… puis deux… Je fais ensuite coulisser mon doigt à l’intérieur de moi. Lentement tout d’abord mais je finis vite par accélérer le rythme et, rapidement, ça ne me suffit plus… J’en veux davantage… Mon majeur vient alors vite retrouver son voisin dans mon petit conduit et je m’amuse à amplifier les mouvements, ne pouvant m’empêcher de pousser de petits gémissements.
Dans ma tête, les images de la journée défilent. Jules bien sûr. Lui sous la douche, son petit slip bien rempli, les contacts dans l’eau, sa peau contre la mienne… Étienne vient même s’immiscer dans mes pensées… Son grand corps viril, son sourire, sa voix douce…
Mais c’est en me remémorant le torse ferme de Jules que, dans un dernier râle, le fruit de ma jouissance vient se perdre dans les tourbillons de l’eau qui s’enfuie à mes pieds…
Je reste bouche bée devant ses mots et son audace. Il est face à moi et je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son maillot de bain…
C’est vrai qu’il a l’air bien rempli…
J : En même temps, à ce que je crois deviner sous ton slip, je ne suis pas le seul à être bien équipé…
Je rougis instantanément à sa remarque et ne sais plus comment me tenir devant lui, vu qu’il regarde mon entrejambe sans le cacher le moins du monde.
J : Allez, on va se rhabiller ?
Il se dirige alors vers nos casiers sans un mot de plus et récupère ses affaires. Je le rejoins rapidement.
J : J’t’ai pas choqué au moins ?
L : Non, non, pas du tout. Je ne savais pas que t’étais aussi cash que ça en fait… Donc ça m’a un peu surpris…
J : Eh oui, le petit bourge de famille catho peut parfois être un peu… dévergondé ! Et encore, tu n’as rien vu !
Mais je ne demande que ça !
Nous regagnons finalement les cabines et nous rhabillons rapidement. Je quitte mes camarades du jour peu après et rejoins mon appartement en ayant convenu de revoir Jules dès le lendemain pour l’aider à préparer un exposé en anglais.
De retour chez moi, je décide de prendre une nouvelle douche afin d’enlever les dernières odeurs de chlore qui restent accrochées sur ma peau.
Je me déshabille donc à nouveau et me glisse sous le jet d’eau brûlante.
Je commence par me savonner le haut du corps et je remarque, lorsque je descends vers mon bas-ventre, que la bête qui loge quelques centimètres plus bas est en train de se réveiller. Repenser au maillot de bain bleu et très moulant de Jules ne m’aide pas.
Je commence de lentes caresses d’une main sur la fine toison qui se trouve au-dessus de mon sexe, tout en jouant à faire passer le jet d’eau chaude sur mes testicules de l’autre main. Puis mes doigts viennent saisir mon sexe grandissant et, d’un mouvement habile, je décalotte mon gland. Je caresse de mon index les zones les plus sensibles. Tout d’abord en le passant au niveau du frein, puis sur la couronne qui me fait tant d’effet. Ma main gauche raccroche le pommeau de douche et vient caresser mes fesses et se glisser le long de ma raie.
Je saisis désormais ma queue d’une manière plus ferme et commence à faire des mouvements du bassin pour la faire glisser entre mes doigts recourbés. Mon autre main vient titiller mon anus et badigeonne mon entrée intime de gel douche. Avec mon index, je pousse sur ma rosette qui s’ouvre assez difficilement. J’arrive à y faire entrer une phalange… puis deux… Je fais ensuite coulisser mon doigt à l’intérieur de moi. Lentement tout d’abord mais je finis vite par accélérer le rythme et, rapidement, ça ne me suffit plus… J’en veux davantage… Mon majeur vient alors vite retrouver son voisin dans mon petit conduit et je m’amuse à amplifier les mouvements, ne pouvant m’empêcher de pousser de petits gémissements.
Dans ma tête, les images de la journée défilent. Jules bien sûr. Lui sous la douche, son petit slip bien rempli, les contacts dans l’eau, sa peau contre la mienne… Étienne vient même s’immiscer dans mes pensées… Son grand corps viril, son sourire, sa voix douce…
Mais c’est en me remémorant le torse ferme de Jules que, dans un dernier râle, le fruit de ma jouissance vient se perdre dans les tourbillons de l’eau qui s’enfuie à mes pieds…