Note de la fic : Non notée
Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 6 : Premiers contacts
Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 6 : Premiers contacts :mac:
Nous nous installons à son bureau.
L : Vas-y, sors-moi tous tes cours que je puisse voir où tu en es.
Il plonge alors la main dans son sac à dos et en sort un trieur, plein à ras-bord, et dont des feuilles débordent de tous les côtés. En l’ouvrant, plusieurs tombent d’ailleurs sur le sol, ce qui ne semble pas gêner Jules le moins du monde.
L : Euh… C’est tes cours de maths, ça ?
J : Sciences en général, je mets toutes les feuilles dans ce trieur.
L : Et tu t’y retrouves ?
J : A ton avis…
Il me dit ça en m’adressant un petit sourire qui me fait craquer une fois de plus.
L : Bon, allez, mission n°1, on va ranger tout ça. Déjà par matière et ensuite, on fera le tri à l’intérieur de chaque matière, parce que sinon, on ne s’en sortira jamais…
Nous commençons à disposer les feuilles sur le bureau mais voyons très vite que la place va vite nous manquer. En effet, le trieur contient bien plus de matières que ce qui était prévu… De la philo, un peu d’anglais, des feuilles vierges et un nombre incalculable de dessins.
L : Tu aimes dessiner ?
J : Oui, j’adore ça…
L : Ils sont vachement bien, tu n’en affiches pas dans ta chambre ?
J : Haha, avec mes parents, vaut mieux pas… Euh… J’crois qu’on va vraiment pas avoir assez de place ici. On s’met par terre ?
L : Oui, oui, ça sera mieux, on pourra tout étaler.
Nous sommes désormais à quatre pattes sur le sol.
A plusieurs reprises, nos mains se frôlent, nos bras entrent en contact. Nous nous excusons à chaque fois au départ, légèrement gêné de ses contacts en apparence involontaires.
A un moment, Jules, qui est à ma gauche, veut poser une feuille sur un tas se situant sur ma droite.
J : Attends, bouge pas.
Tout en restant à quatre pattes, il passe par-dessus moi et pose son torse sur mon dos pour pouvoir déposer la feuille là où il le souhaitait. Sentir son torse ferme tout contre moi et deviner ses côtes à travers mon T-shirt me font beaucoup de sensation et je me dis qu’il ne faudrait pas que nous ayons à nous lever rapidement car je ne pourrais cacher mon émotion….
Haa, il n’était pas involontaire ce contact-là par contre…
Il recommence le même manège un petit peu plus tard, mais le tas se situant plus loin, c’est son ventre qui vient glisser cette fois sur le bas de mon dos. Je commence même à sentir les boutons de son pantalon contre ma peau quand il tend le bras pour poser sa feuille.
Allez, avance encore un peu…
Mais non… il pose sa main sur mon épaule, ce qui lui permet de se redresser et de se remettre à sa place.
Une fois de plus, avoir été en son contact ne m’a pas laissé indifférent et sentir son ventre chaud et bien dur fut un véritable délice.
Après presque une demi-heure de tri, nous y voyons enfin plus clair.
L : On s’attaque à ton devoir maintenant ?
J : Ça marche !
En une petite heure, le devoir est terminé. Jules a vraiment un esprit logique et sait appliquer les différentes formules sans problème quand il les a sous les yeux. Passer à la forme exponentielle complexe devient un jeu d’enfant pour lui et je n’ai presque plus besoin d’intervenir.
Quand nous terminons le dernier exercice, il pose son stylo sur sa feuille et lève les bras au ciel.
J : We did it! (On l’a fait !)
Il me sourit ensuite et me donne une petite tape dans le dos pour me remercier.
L : Bon, ben c’est parfait, je vais pouvoir te laisser alors. Et continue à garder tes cours en ordre. Si la prochaine fois qu’on se voit, c’est le cirque, je peux être pire que ta mère !
J : Haha, je crois pas qu’tu en sois capable. En tout cas, merci beaucoup Lucas. J’te rappelle très vite !
Oh oui, ne tarde pas…
Je le quitte alors qu’il est en train de ranger ses affaires dans son sac et descends les escaliers jusque dans l’entrée. Je me saisis de mon manteau et croise la mère de Flora qui tient sur un plateau 4 coupes de champagne.
F : Ha, ça y est, vous avez fini ? Attendez une petite seconde, j’apporte les coupes aux invités et je viens vous payer.
Une minute plus tard, la voilà revenue avec son portefeuille dans la main.
F : Donc, ça fait deux heures pour ce soir…
L : Non, non, juste une. On a passé la première à ranger son trieur pour pouvoir s’y retrouver…
Elle me sourit et me glisse dans la main l’argent pour deux heures de cours en me disant de ne pas protester.
Je sors de la maison d’humeur joyeuse. La mère de Jules m’apprécie et je suis sûr qu’entre son fils et moi, vient de se créer une complicité bien plus grande que dans une relation classique prof/élève…
Nous nous installons à son bureau.
L : Vas-y, sors-moi tous tes cours que je puisse voir où tu en es.
Il plonge alors la main dans son sac à dos et en sort un trieur, plein à ras-bord, et dont des feuilles débordent de tous les côtés. En l’ouvrant, plusieurs tombent d’ailleurs sur le sol, ce qui ne semble pas gêner Jules le moins du monde.
L : Euh… C’est tes cours de maths, ça ?
J : Sciences en général, je mets toutes les feuilles dans ce trieur.
L : Et tu t’y retrouves ?
J : A ton avis…
Il me dit ça en m’adressant un petit sourire qui me fait craquer une fois de plus.
L : Bon, allez, mission n°1, on va ranger tout ça. Déjà par matière et ensuite, on fera le tri à l’intérieur de chaque matière, parce que sinon, on ne s’en sortira jamais…
Nous commençons à disposer les feuilles sur le bureau mais voyons très vite que la place va vite nous manquer. En effet, le trieur contient bien plus de matières que ce qui était prévu… De la philo, un peu d’anglais, des feuilles vierges et un nombre incalculable de dessins.
L : Tu aimes dessiner ?
J : Oui, j’adore ça…
L : Ils sont vachement bien, tu n’en affiches pas dans ta chambre ?
J : Haha, avec mes parents, vaut mieux pas… Euh… J’crois qu’on va vraiment pas avoir assez de place ici. On s’met par terre ?
L : Oui, oui, ça sera mieux, on pourra tout étaler.
Nous sommes désormais à quatre pattes sur le sol.
A plusieurs reprises, nos mains se frôlent, nos bras entrent en contact. Nous nous excusons à chaque fois au départ, légèrement gêné de ses contacts en apparence involontaires.
A un moment, Jules, qui est à ma gauche, veut poser une feuille sur un tas se situant sur ma droite.
J : Attends, bouge pas.
Tout en restant à quatre pattes, il passe par-dessus moi et pose son torse sur mon dos pour pouvoir déposer la feuille là où il le souhaitait. Sentir son torse ferme tout contre moi et deviner ses côtes à travers mon T-shirt me font beaucoup de sensation et je me dis qu’il ne faudrait pas que nous ayons à nous lever rapidement car je ne pourrais cacher mon émotion….
Haa, il n’était pas involontaire ce contact-là par contre…
Il recommence le même manège un petit peu plus tard, mais le tas se situant plus loin, c’est son ventre qui vient glisser cette fois sur le bas de mon dos. Je commence même à sentir les boutons de son pantalon contre ma peau quand il tend le bras pour poser sa feuille.
Allez, avance encore un peu…
Mais non… il pose sa main sur mon épaule, ce qui lui permet de se redresser et de se remettre à sa place.
Une fois de plus, avoir été en son contact ne m’a pas laissé indifférent et sentir son ventre chaud et bien dur fut un véritable délice.
Après presque une demi-heure de tri, nous y voyons enfin plus clair.
L : On s’attaque à ton devoir maintenant ?
J : Ça marche !
En une petite heure, le devoir est terminé. Jules a vraiment un esprit logique et sait appliquer les différentes formules sans problème quand il les a sous les yeux. Passer à la forme exponentielle complexe devient un jeu d’enfant pour lui et je n’ai presque plus besoin d’intervenir.
Quand nous terminons le dernier exercice, il pose son stylo sur sa feuille et lève les bras au ciel.
J : We did it! (On l’a fait !)
Il me sourit ensuite et me donne une petite tape dans le dos pour me remercier.
L : Bon, ben c’est parfait, je vais pouvoir te laisser alors. Et continue à garder tes cours en ordre. Si la prochaine fois qu’on se voit, c’est le cirque, je peux être pire que ta mère !
J : Haha, je crois pas qu’tu en sois capable. En tout cas, merci beaucoup Lucas. J’te rappelle très vite !
Oh oui, ne tarde pas…
Je le quitte alors qu’il est en train de ranger ses affaires dans son sac et descends les escaliers jusque dans l’entrée. Je me saisis de mon manteau et croise la mère de Flora qui tient sur un plateau 4 coupes de champagne.
F : Ha, ça y est, vous avez fini ? Attendez une petite seconde, j’apporte les coupes aux invités et je viens vous payer.
Une minute plus tard, la voilà revenue avec son portefeuille dans la main.
F : Donc, ça fait deux heures pour ce soir…
L : Non, non, juste une. On a passé la première à ranger son trieur pour pouvoir s’y retrouver…
Elle me sourit et me glisse dans la main l’argent pour deux heures de cours en me disant de ne pas protester.
Je sors de la maison d’humeur joyeuse. La mère de Jules m’apprécie et je suis sûr qu’entre son fils et moi, vient de se créer une complicité bien plus grande que dans une relation classique prof/élève…