Note de la fic : Non notée
Cours_(tres)_particuliers
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4 : Rencontre fortuite
Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
:mac: Chapitre 4 : Rencontre fortuite :mac:
Une semaine se passe. Aucune nouvelle de Jules ni de sa famille. Je commence à me dire que j’ai fait mauvaise impression à sa mère, ou que le courant n’ait pas bien passé entre Jules et moi, ou encore qu’il doute de mes facultés à le faire progresser…
Pourtant, je pensais qu’entre nous, ça c’était plutôt bien passé. Il était vraiment content d’avoir pu finir ses maths et avait bien compris ce qu’on lui demandait en anglais.
Oui, c’est sûr, c’est la mère le problème. Elle avait l’air ultra coincée et mon look décontracté et mes manières peut-être impolies n’ont pas dû lui plaire.
Je rumine intérieurement en poussant mon caddie dans les rayons du supermarché, attrapant ça et là différents produits nécessaires à ma survie et qu’il me suffira de mettre deux minutes au micro-ondes.
Au détour d’un rayon, mon caddie entre en collision avec un autre. Je relève la tête et m’aperçois qu’il s’agit de Jules et que, plus loin dans le rayon, se trouvent sa mère et un homme grand et large que je suppose être son père.
J : Oh pardon… Haa Lucas ! Tu vas bien ?
L : Salut Jules. Oui, ça va très bien et toi ? T’as eu les résultats de ton devoir de maths ?
J : Tout juste ! Grâce à toi ! Mais le prof nous en a donnés un nouveau pour jeudi prochain.
Jules a toujours son visage angélique et est vêtu d’une chemise Vichy rentrée dans un pantalon noir serré. Je ne peux m’empêcher de détailler son corps. Il est très fin mais son pantalon laisse apparaître de belles petites fesses quand il se tourne vers sa mère pour la prévenir qu’il m’a croisé.
J : Hé maman, papa, il y a Lucas !
Sa mère s’avance vers moi et me salue en souriant.
F : Oh, Lucas, quel plaisir de vous revoir. Je parlais justement de vous à mon mari en lui disant que vous aviez l’air d’un jeune homme sérieux et Jules me disait qu’il aurait certainement besoin de vous pour son devoir de mathématiques. Je ne cesse de lui dire que vous avez postulé pour donner des cours d’anglais et que ça ne vous intéresse sûrement pas de faire des mathématiques avec lui, mais il insiste tant que j’allais vous appeler durant l’après-midi.
Alors comme ça, t’insistes pour me revoir mon p’tit Jules…
Je me tourne vers Jules et voit aussitôt son visage rougir et sa tête se baisser…
L : Non, non, madame. Ça serait un plaisir d’aider Jules en maths également. J’ai passé un bac scientifique spécialité mathématiques et eu de très bons résultats donc si vous me faites confiance, ça sera volontiers.
F : Dans ce cas, parfait. Vous seriez disponible mercredi après-midi ?
L : Oui, oui, tout à fait, mais je termine les cours à 17 heures.
F : Eh bien disons 18 heures si ça vous convient.
L : Très bien Madame, je serai là.
J’adresse un petit sourire à Jules qui y répond aussitôt laissant apparaître toutes ses dents blanches, qui contrastent avec la couleur assez mate de sa peau.
Je regarde derrière lui son père qui, lui, n’a pas dit un mot depuis qu’il s’est approché. Il n’a pas esquissé l’ombre d’un sourire non plus. Autant la mère et le fils sont souriants et sympathiques, autant son père m’a l’air de quelqu’un de bien moins agréable. Mais ne jugeons pas trop vite les gens. J’aurai sans doute à nouveau l’occasion de le rencontrer.
Je ne sais pas pourquoi, mais à partir de ce moment-là, mes courses deviennent beaucoup moins pénibles à faire et je ne peux m’empêcher de chercher des yeux Jules à chaque fois que je change de rayon. Je le croise à nouveau lors de mon passage en caisse, toujours en train de pousser le caddie de ses parents dans les rayons frais.
Il est vraiment mignon. Vivement mercredi !
Une semaine se passe. Aucune nouvelle de Jules ni de sa famille. Je commence à me dire que j’ai fait mauvaise impression à sa mère, ou que le courant n’ait pas bien passé entre Jules et moi, ou encore qu’il doute de mes facultés à le faire progresser…
Pourtant, je pensais qu’entre nous, ça c’était plutôt bien passé. Il était vraiment content d’avoir pu finir ses maths et avait bien compris ce qu’on lui demandait en anglais.
Oui, c’est sûr, c’est la mère le problème. Elle avait l’air ultra coincée et mon look décontracté et mes manières peut-être impolies n’ont pas dû lui plaire.
Je rumine intérieurement en poussant mon caddie dans les rayons du supermarché, attrapant ça et là différents produits nécessaires à ma survie et qu’il me suffira de mettre deux minutes au micro-ondes.
Au détour d’un rayon, mon caddie entre en collision avec un autre. Je relève la tête et m’aperçois qu’il s’agit de Jules et que, plus loin dans le rayon, se trouvent sa mère et un homme grand et large que je suppose être son père.
J : Oh pardon… Haa Lucas ! Tu vas bien ?
L : Salut Jules. Oui, ça va très bien et toi ? T’as eu les résultats de ton devoir de maths ?
J : Tout juste ! Grâce à toi ! Mais le prof nous en a donnés un nouveau pour jeudi prochain.
Jules a toujours son visage angélique et est vêtu d’une chemise Vichy rentrée dans un pantalon noir serré. Je ne peux m’empêcher de détailler son corps. Il est très fin mais son pantalon laisse apparaître de belles petites fesses quand il se tourne vers sa mère pour la prévenir qu’il m’a croisé.
J : Hé maman, papa, il y a Lucas !
Sa mère s’avance vers moi et me salue en souriant.
F : Oh, Lucas, quel plaisir de vous revoir. Je parlais justement de vous à mon mari en lui disant que vous aviez l’air d’un jeune homme sérieux et Jules me disait qu’il aurait certainement besoin de vous pour son devoir de mathématiques. Je ne cesse de lui dire que vous avez postulé pour donner des cours d’anglais et que ça ne vous intéresse sûrement pas de faire des mathématiques avec lui, mais il insiste tant que j’allais vous appeler durant l’après-midi.
Alors comme ça, t’insistes pour me revoir mon p’tit Jules…
Je me tourne vers Jules et voit aussitôt son visage rougir et sa tête se baisser…
L : Non, non, madame. Ça serait un plaisir d’aider Jules en maths également. J’ai passé un bac scientifique spécialité mathématiques et eu de très bons résultats donc si vous me faites confiance, ça sera volontiers.
F : Dans ce cas, parfait. Vous seriez disponible mercredi après-midi ?
L : Oui, oui, tout à fait, mais je termine les cours à 17 heures.
F : Eh bien disons 18 heures si ça vous convient.
L : Très bien Madame, je serai là.
J’adresse un petit sourire à Jules qui y répond aussitôt laissant apparaître toutes ses dents blanches, qui contrastent avec la couleur assez mate de sa peau.
Je regarde derrière lui son père qui, lui, n’a pas dit un mot depuis qu’il s’est approché. Il n’a pas esquissé l’ombre d’un sourire non plus. Autant la mère et le fils sont souriants et sympathiques, autant son père m’a l’air de quelqu’un de bien moins agréable. Mais ne jugeons pas trop vite les gens. J’aurai sans doute à nouveau l’occasion de le rencontrer.
Je ne sais pas pourquoi, mais à partir de ce moment-là, mes courses deviennent beaucoup moins pénibles à faire et je ne peux m’empêcher de chercher des yeux Jules à chaque fois que je change de rayon. Je le croise à nouveau lors de mon passage en caisse, toujours en train de pousser le caddie de ses parents dans les rayons frais.
Il est vraiment mignon. Vivement mercredi !