" Est ce que tu bosses pour les jaunes ?" Me dit la voix de l'homme derrière moi

Les jaunes ? Mais qu'est ce qu'il dit celui la ? Putain mais je suis aussi chanceux qu'un orphelin le jour de la fête des mères ( Fatals picards spotted ). Je suis stressé, j'arrive pas a me retenir de trembler, je ne sais pas ce qu'il a collé a l'arrière de ma tête mais ça m'etonnerait que ce soit une saucisse froide, je vois plus un flingue...

" Non Je... Non." J'arrive même plus a faire des phrases correctes, je suis minimum entrain de me pisser dessus, je ne sens plus le canon a l'arrière de ma tête mais on me rabat un coup derrière le crane puis plus rien.

J'ouvre doucement les yeux et me lève difficilement avec un mal de crâne pas possible, il m'avait pas raté cet abruti, après avoir correctement repris mes esprits je me posais beaucoup du question, et la première: Ou est ce que je suis ?... On aurait dit une cellule, c'est pas tout a fait une prison, pas le temps de réfléchir plus longtemps plusieurs hommes rentrent et me regardent

" On dirait pas un jaune "

" Chaud la perspicassité de fou Pablo."
"Vos gueules les gars" dit un homme qui s'avance vers moi. " Bon qui es tu ?"

" A vrai dire je pourrais tout vous expliquer mais vous ne croieriez pas, mais si vous voulez savoir je m'appelle... Vincent"

Ils me sourirent tous... Je reste un peu comme un con devant leur réaction, j'avais juste dit mon prénom.

"Vous voyez je vous l'avais dis qui s'appellait comme ça " Dit une voix familière

Un garçon arrive dans la pièce... J'en reviens pas comment ?!

" Salut Vincent "

" Merde t'es pas mort Antoine comme c'est dommage"

En fait je suis super content de le revoir, mais je me retiens d'avoir des réactions de payday