Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 01:11:09 par Pseudo supprimé
[c]A Camille[/c]
Quand les flammes d'azurs assombrissent les cieux,
Les ciels d'argent, pâles reflets de tes yeux
Pleurent mille tristesses et se mettes à nu ;
C'est par ce que leurs yeux ne t'ont pas toujours vu,
Ô toi dont les étoiles jalousent la splendeur.
Ô toi, pour qui la nuit se ravive à toutes heures
Tu te dresses parmi des ombres qui t'espèrent,
Offrant à ce bas monde un éclat de lumière.
Il en rêve encore : D'une âme chantante et pure,
Et les violons qui vibrent, les flutes qui murmurent ;
De celle qui jadis, illumina les cieux
Se dressant, belle et fière, en ce monde las et vieux,
Et la douce chaleur de leurs corps enlacés,
Humant les parfums d'une froide nuit d'été.
Quand les flammes d'azurs assombrissent les cieux,
Les ciels d'argent, pâles reflets de tes yeux
Pleurent mille tristesses et se mettes à nu ;
C'est par ce que leurs yeux ne t'ont pas toujours vu,
Ô toi dont les étoiles jalousent la splendeur.
Ô toi, pour qui la nuit se ravive à toutes heures
Tu te dresses parmi des ombres qui t'espèrent,
Offrant à ce bas monde un éclat de lumière.
Il en rêve encore : D'une âme chantante et pure,
Et les violons qui vibrent, les flutes qui murmurent ;
De celle qui jadis, illumina les cieux
Se dressant, belle et fière, en ce monde las et vieux,
Et la douce chaleur de leurs corps enlacés,
Humant les parfums d'une froide nuit d'été.