Note de la fic :
Les chroniques d'Aoflir Tome I, Sagesse
Par : Redfl0
Genre : Fantastique, Action
Statut : C'est compliqué
Chapitre 4
Publié le 15/04/2012 à 19:20:12 par Redfl0
Aoflir se réveilla doucement,quand il émergea enfin,il chercha a retrouver ses esprits,il se souvint de la capture de sa proie,puis qu'il s'était endormi,il regarda le ciel,il était d'une teinte rose-orange,c'était le couché du soleil,en voyant ce ciel paradisiaque,la réalité le frappa en pleine figure.
« combien de temps ai-je dormi ici?! »se demanda t-il. « Peu importe il faut que je rentre maintenant,j’espère que les autres ne se sont pas trop inquiétés... »
Soudain,le vent changea,il n'était plus aussi doux qu'il y'a seulement quelques secondes,non,le vent était devenu...froid et inquiétant,le dragon eu des frissons devant un changement aussi radical d'ambiance,la brise commençait à s'intensifier,grondant de plus en plus forte,faisant tanguer de plus en plus d'arbres ainsi que leur feuillage.
Un buisson bougea,non loin de la position du jeune dragon,il l'avait vu bouger!était-ce à cause du vent?
« non je ne suis pas fou,il y'a quelque chose derrière ! »
Il s'avança prudemment vers l'amas de feuille et bondit juste derrière d'un coup,dans l'espoir de surprendre un quelconque agresseur lui voulant du mal. Mais à son grand bonheur il n'y trouva personne.
« finalement c'était bien le vent. » conclut-il
Alors rassuré il prit la petite biche entre ses griffes et s'envola,la biche était lourde,mais la distance n'était pas très grande,il savait qu'il pouvait y arriver.
Mais en décollant il entendit un bruit,comme une lame qui fendait l'air,il se retourna et vit une longue lame filer vers lui,de justesse il l’esquiva avec un brusque coup d'aile gauche,le décalant vers la droite,l'épée se planta dans un tronc à quelques centimètres de lui,il chercha la personne responsable de cette tentative d’assassinat,mais il n'y avait personne,pris de panique,il décida de s'enfuir le plus vite possible,malgré sa peine à reprendre de l'altitude après ce coup de stress,il parvint finalement à remonter et parti,laissant ce coin de la forêt petit à petit de plus en plus flou.
Une fois de retour chez lui,le vent s'était calmé,il était redevenu calme et chaleureux,il l'aimait comme ça,le soleil avait fini par sortir du champ de vision,le ciel s’obscurcissait,quelques rares étoiles apparaissaient déjà .Sur la berge du côté de la maison se trouvait toute la famille du jeune dragon,en les voyant ils savaient qu'il les avaient inquiétés.
« j'ai été stupide de m'endormir là bas... »
Il repensa à la scène de l'épée,plus qu'étrange.
« chercherez t-on à m'éliminer? Non,non ce n'est pas possible,je devait sûrement être dans un territoire que quelqu'un à cherché à défendre,je devais être une menace pour lui,oui ça doit être ça »
Il avait beau chercher des tonnes de raison,même les plus absurdes,il était inquiet de ce qui venait de se produire quelques minutes auparavant. Alors il trouva un moyen de se rassurer.
« De toute façon si quelqu'un ou quelque chose veut ma mort,il ne pourrait pas me suivre,personne ne peut suivre un dragon en plein vol à la même vitesse! »
Une fois plus ou moins rassuré il décida d’atterrir,il plongea vers le sol et ralentit au fur et à mesure qu'il s'en rapprochait,une fois sur la terre ferme il ferma ses ailes et retira ses griffes qui étaient incrusté dans l'animal mort. Sa famille s'approcha alors,il dit pour lui même :
« je ne peut pas les inquiéter avec ce qui vient de ce passer,mieux vaut qu'il dorment tranquille,de tout façon personne n'a pu me suivre... »
Une fois à distance des autres il raconta la cause de sa tardive arrivée,il dit tout les événements qu'il s'était produits mis à part la tentative qui avait été menée pour le tuer. Ses parents lui montrèrent leur inquiétude :
-Nous étions inquiet!Dit Natia. Qui sait ce qui te serait arriver si tu n'était pas...
elle partit en larme,ce fut alors à son père de terminer leur discours.
-Bon ce n'est pas grave au moins tu es sain et sauf et c'est tout ce qui compte,mais la prochaine fois que tu reviens aussi tard préviens nous ! Compris ?
Aoflir hocha la tête en signe d'acquisition,alors ses parents l’encerclèrent avec leurs bras et commencèrent à le serrer,il fit de même en prenant soin de ne pas les griffer,puis tous s’écartèrent de cette mêlée. Balchir reprit finalement la parole :
-Et si nous rentrions maintenant?l'air deviens de plus en plus fort et frais,j'en ai des frissons !
-Quoi ? Demanda Aoflir,mais il comprit,plein d'effroi dans sa tête.
Le vent avait encore baissé de température,il donnait le même froid que dans la forêt,cette brutale brise qui fait froid dans le dos,qui vous glace le sang,c'était le même,plein d'appréhension,il tremblait puis il chuchota doucement :
« Non...ce n'est pas possible... »
Vaillance l'ayant entendu marmonner dans sa barbe lui demanda avec inquiétude :
« Qu'y a t-il Frère ?Qu'est-ce qui n'est pas possible?Et pourquoi tu trembles comme une feuille ? »
Natia et Balchir regardèrent Aoflir et remarquèrent sa peur ainsi que son affolement,pris d'inquiétude ils lui demandèrent :
« Aoflir qu'est ce qui se passe ? »
Alors des bruits de pas étouffés par la couche d'herbe purent se faire entendre,mais à la grande peur du dragon,aucun d'eux ne marchaient,alors il se retourna et se pétrifia à la vue d'une silhouette mêlée à l'obscurité de la nuit.
« combien de temps ai-je dormi ici?! »se demanda t-il. « Peu importe il faut que je rentre maintenant,j’espère que les autres ne se sont pas trop inquiétés... »
Soudain,le vent changea,il n'était plus aussi doux qu'il y'a seulement quelques secondes,non,le vent était devenu...froid et inquiétant,le dragon eu des frissons devant un changement aussi radical d'ambiance,la brise commençait à s'intensifier,grondant de plus en plus forte,faisant tanguer de plus en plus d'arbres ainsi que leur feuillage.
Un buisson bougea,non loin de la position du jeune dragon,il l'avait vu bouger!était-ce à cause du vent?
« non je ne suis pas fou,il y'a quelque chose derrière ! »
Il s'avança prudemment vers l'amas de feuille et bondit juste derrière d'un coup,dans l'espoir de surprendre un quelconque agresseur lui voulant du mal. Mais à son grand bonheur il n'y trouva personne.
« finalement c'était bien le vent. » conclut-il
Alors rassuré il prit la petite biche entre ses griffes et s'envola,la biche était lourde,mais la distance n'était pas très grande,il savait qu'il pouvait y arriver.
Mais en décollant il entendit un bruit,comme une lame qui fendait l'air,il se retourna et vit une longue lame filer vers lui,de justesse il l’esquiva avec un brusque coup d'aile gauche,le décalant vers la droite,l'épée se planta dans un tronc à quelques centimètres de lui,il chercha la personne responsable de cette tentative d’assassinat,mais il n'y avait personne,pris de panique,il décida de s'enfuir le plus vite possible,malgré sa peine à reprendre de l'altitude après ce coup de stress,il parvint finalement à remonter et parti,laissant ce coin de la forêt petit à petit de plus en plus flou.
Une fois de retour chez lui,le vent s'était calmé,il était redevenu calme et chaleureux,il l'aimait comme ça,le soleil avait fini par sortir du champ de vision,le ciel s’obscurcissait,quelques rares étoiles apparaissaient déjà .Sur la berge du côté de la maison se trouvait toute la famille du jeune dragon,en les voyant ils savaient qu'il les avaient inquiétés.
« j'ai été stupide de m'endormir là bas... »
Il repensa à la scène de l'épée,plus qu'étrange.
« chercherez t-on à m'éliminer? Non,non ce n'est pas possible,je devait sûrement être dans un territoire que quelqu'un à cherché à défendre,je devais être une menace pour lui,oui ça doit être ça »
Il avait beau chercher des tonnes de raison,même les plus absurdes,il était inquiet de ce qui venait de se produire quelques minutes auparavant. Alors il trouva un moyen de se rassurer.
« De toute façon si quelqu'un ou quelque chose veut ma mort,il ne pourrait pas me suivre,personne ne peut suivre un dragon en plein vol à la même vitesse! »
Une fois plus ou moins rassuré il décida d’atterrir,il plongea vers le sol et ralentit au fur et à mesure qu'il s'en rapprochait,une fois sur la terre ferme il ferma ses ailes et retira ses griffes qui étaient incrusté dans l'animal mort. Sa famille s'approcha alors,il dit pour lui même :
« je ne peut pas les inquiéter avec ce qui vient de ce passer,mieux vaut qu'il dorment tranquille,de tout façon personne n'a pu me suivre... »
Une fois à distance des autres il raconta la cause de sa tardive arrivée,il dit tout les événements qu'il s'était produits mis à part la tentative qui avait été menée pour le tuer. Ses parents lui montrèrent leur inquiétude :
-Nous étions inquiet!Dit Natia. Qui sait ce qui te serait arriver si tu n'était pas...
elle partit en larme,ce fut alors à son père de terminer leur discours.
-Bon ce n'est pas grave au moins tu es sain et sauf et c'est tout ce qui compte,mais la prochaine fois que tu reviens aussi tard préviens nous ! Compris ?
Aoflir hocha la tête en signe d'acquisition,alors ses parents l’encerclèrent avec leurs bras et commencèrent à le serrer,il fit de même en prenant soin de ne pas les griffer,puis tous s’écartèrent de cette mêlée. Balchir reprit finalement la parole :
-Et si nous rentrions maintenant?l'air deviens de plus en plus fort et frais,j'en ai des frissons !
-Quoi ? Demanda Aoflir,mais il comprit,plein d'effroi dans sa tête.
Le vent avait encore baissé de température,il donnait le même froid que dans la forêt,cette brutale brise qui fait froid dans le dos,qui vous glace le sang,c'était le même,plein d'appréhension,il tremblait puis il chuchota doucement :
« Non...ce n'est pas possible... »
Vaillance l'ayant entendu marmonner dans sa barbe lui demanda avec inquiétude :
« Qu'y a t-il Frère ?Qu'est-ce qui n'est pas possible?Et pourquoi tu trembles comme une feuille ? »
Natia et Balchir regardèrent Aoflir et remarquèrent sa peur ainsi que son affolement,pris d'inquiétude ils lui demandèrent :
« Aoflir qu'est ce qui se passe ? »
Alors des bruits de pas étouffés par la couche d'herbe purent se faire entendre,mais à la grande peur du dragon,aucun d'eux ne marchaient,alors il se retourna et se pétrifia à la vue d'une silhouette mêlée à l'obscurité de la nuit.