J'étais devant elle, debout, dominant ! Je fus rarement dans un tel état de colère, je n'avais qu'une envie, la tuer ! Je lui fonçais dessus afin de lui mettre un autre coup de pied, mais elle se releva avant d'envoyer son ciseau en ma direction. Je fis un pas sur le coté et réussi à le dévier d'un coup de la paume même si cela m'ouvrit un peu. Je recentrais alors mon attention sur ma prof' mais elle arriva à me mettre un coup de coude au visage suivi d'un coup de pied dans l'estomac ! Elle se défendais vachement bien pour une femme !

Mme Roland : Néa ! dit-elle en tirant son Stylo attaché à la poche de son chemisier.

Un stylo vraiment beau, noir et or, il semblait vraiment précieux et semblait avoir une valeur sentimentale très forte. Elle retira alors le capuchon et une forme se dessina. Une silhouette féminine, de longs cheveux bleu de minuit d'une beauté incroyable, un corps bien proportionné vêtue d'une sorte de tenue de cuir couvrant ses jambes, ses mains jusqu’à ses avant bras, sa poitrine ainsi que ses fesses et son pubis. De grandes ailes lui sortaient également du dos, des ailes semblable à celle des chauves souris et à celle qu'on se fait des démons en général. La démone me sourit alors avant de rentrer dans le corps de mon institutrice. Cette dernière me fixa alors et la plume de son stylo augmenta de taille, jusqu’à devenir semblable à une lame, tandis que le stylo en lui même s’était changée en une garde d'un noir ébène recouvert de dorures. Elle me fonça alors dessus et tenta de me mettre un coup avec mais j'eus le réflexe de me jeter à terre et cela me sauva la vie. Elle venait de trancher le mur d'un simple coup de plume ! Je me relevais alors en appelant Zero mentalement. Zero et moi nous synchronisions ensemble pour la première fois en situation de combat réel, mais cette fois nous étions prêt.

Mme Roland tenta de me mettre un nouveau coup, latérale cette fois, mais je fis un pas sur le coté, avant d'appuyer sur son bras afin d’enfoncer son stylo-épée le plus profondément possible dans le sol, mais cela ne marcha qu'a moitié car elle se servi de son épée comme appui et tournoya en s'aidant de son arme afin de me mettre un coup de pied derrière la nuque. Je titubai alors et elle enchaina en me fonçant dessus afin de me mettre un coup de poing au visage, mais je réussis à l’arrêter avant de me mettre à le serrer avec de plus en plus de force, tandis que la peur grandissait dans son regard, je jubilais. Je lui mis alors un coup de poing dans l'estomac qui l'envoya voler dans les airs. Elle retomba sur le ventre et tenta de se relever mais ne put que recracher sa salive, à la limite du vomissement du à la violence du coup que je lui avais mis. Je m'approchai alors d'elle avant de lui mettre un coup de pied dans l'épaule, ce qui la fit tomber sur ses fesses et à ce moment, je pouvais lire la peur et la douleur dans ses yeux, je me sentais bien, puissant ! J'allais reprendre l'assaut mais elle me lança la chaise sur laquelle elle était assise tout à l'heure avant de récupérer son arme géante ! Elle me fonça dessus afin de me transpercer avec un coup d'estoc au niveau du visage, mais je bougea un peu mon visage, afin de la contrer en lui plaçant un uppercut dans le menton ! Je ne pus éviter toute l'attaque et elle m'ouvrit en dessous de l’œil jusqu'à l'oreille. Elle tomba alors au sol et je m'en allai afin de la terminer avec un coup de poing, mais à quelques centimètres de son visage, un champ de force invisible m'arrêta.

Hadès : Il est 17h, c'est la fin de la première bataille des représentants. Ce soir aura lieu le premier constat !

Zero quitta alors mon corps et je retrouvais peu à peu mes esprits, réfléchissant à ce que j'aurais fais si jamais il m'aurait resté quelques secondes... Je partis alors sans dire un mot, tandis que les dommages que l'on avait infligé à la salle avait disparu. Je rentra chez moi en réfléchissant à la journée que je venais de vivre.

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La bataille des représentants, à un autre endroit.

Vu que Lloyd ne peut vous raconter ce qu'il ne voit pas, ce sera moi, Hadès qui vous racontera ce qu'il se passe autre part. Nous étions à la lisière de la forêt tandis que deux participants luttaient tels deux gladiateurs dans l'arène ! L'impact de leurs coups résonnait dans toute la forêt, faisant passer l'autre combat pour une bagarre d'écolier. Les deux s'envoyaient des coups puissants jusqu’à ce qu'un des deux prennent l'avantage en réussissant à balayer son adversaire et à lui écraser la cage thoracique avec son talon.

??? : Alors dis moi ton numéro connard ! dit-il en s’énervant.

??? : Je suis III ! dit-il en essayant de soulever le pied de son adversaire.

??? : Putain de merde ! dit-il en lâchant son emprise sur son ennemi.

III se releva alors avant de s'adosser à un arbre lorsque l'on entendit des bruits de pas, ainsi que des branches qui craquent.

??? : Qui est la ?!

III : T'es foutu mon petit XIX, il est déjà là ! dit il en riant.

XIX leva alors la tête et il put voir une personne perché sur un arbre, assis sur une branche le regardant de haut, un homme auréolée, baigné par la lumière du soleil.

XIX : Alors c'est toi I ?! dit-il avec un sourire de satisfaction.

I sourit alors, la main sous le menton et deux doigts sur l’extrémité de la mâchoire et les deux autres sous ses lèvres. Il se laissa alors tomber, de plus de 20 mètres, ce qui fit lever la poussière.

I : Dis-moi si je me trompe, mais tu voulais pas me faire la peau ?!