Note de la fic :
Publié le 04/01/2013 à 20:20:42 par lls
Lorsqu’elle me grimpe dessus, je retiens un cri de guerre. Je sens ses jambes de part et d’autres de mes cuisses, et j’imagine sa peau nue contre la mienne dans une danse torride. Courage, qui faisait profil bas jusqu’à maintenant pour qu’on se réconcilie, se débat maintenant comme un diable en hurlant : « It’s my turn now ! » avec son accent à deux balles.
Je ne peux pas lui en vouloir, il n’a jamais été aussi près de l’intimité de cette déesse, et ça doit être très frustrant pour lui de ne pas avoir un visuel de la situation. D’ailleurs c’est aussi frustrant pour moi. J’aimerais bien voir sa position cambrée qui doit faire ressortir des belles fesses, ses cuisses de rêve qui me tiennent prisonnier…
Elle pose ses deux mains au milieu de mon dos, et le contact de sa peau fraîche me fait frissonner. Elle se penche sur moi, prenant un appui qui achève Courage :
-That’s okay ? I’m not too much heavy ?
Une mèche de ses cheveux frôle mon cou, électrocutant le pauvre Popole déjà à l’agonie. J’essaie de me souvenir comment parler, et je découvre que ma gorge permet d’articuler. Heureux, je réponds naturellement :
-You’re as light as the air.
Elle rit, et paraît réaliser un truc. Ses mains quittent mon corps, et le sang revient circuler dans la tête de Popole. Elle se repenche sur moi bien plus près cette fois-ci, et je sens le tissu de son débardeur contre moi, à l’endroit de ses seins. Elle pose ses bagues sur le tapis, et se redresse, ses mains retrouvant mon corps.
C’est le meilleur massage de ma vie.
Clairement, elle n’a pas suivi des cours comme moi, et elle me caresse plus qu’autre chose, mais je suis aux anges. Ses doigts fins parcourent ma colonne vertébrale, ses paumes douces écrasent mes omoplates, et je ferme à moitié les yeux, succombant.
Après de longues minutes, elle se lève finalement, et je me rhabille.
-I feel good, thank you, j’articule difficilement.
-You’re nice, but you’re definitely better than me ! réponds-t-elle en me faisant un clin d’œil.
Puis elle va chercher un verre d’eau, me laissant dans un état végétatif.
Je reprends peu à peu mes esprits, quand elle remarque ma piscine par la fenêtre de la cuisine.
-Oh, you have a swimming pool ! Can we swim tomorrow ?
-Sure ! je réponds simplement, presque blasé.
-Psst, dis-lui de mettre un deux pièces, me chuchote Popole.
Je l’ignore, mais je ne peux réprimer un sourire. Bordel, son corps sublime brillant de crème solaire, ses seins gonflés à faire craquer le tissu de son maillot…
Je la vois alors trempée, sortant de l’eau, et c’est d’une voix presque absente que je lui réponds « bonne nuit », alors qu’elle va se coucher.
Je me réveille le lendemain, vers 11h. Les souvenirs de la veille bombardent mon esprit, et je souris, rêveur. Yun. Elle est salement bonne… J’ai l’impression que la journée d’hier était un rêve, que ça s’est passé il y a des années. Je n’arrive même pas à me rappeler exactement des massages, de sa peau contre la mienne. Je me promets d’être attentif, aujourd’hui. Je me lève, et je remarque qu’il pleut, et ça me fait royalement chier. Car aujourd’hui, je voulais nager avec mon asiatique préférée.
Je ne verrai pas son corps presque nu, je ne sentirai pas sa peau sous l’eau… Déçu, je me lève, m’habille vite fait, et file dans la cuisine, encore un peu endormi.
Voir Yun sur la pointe de ses pieds nus qui tente désespérément d’attraper le pot de Nutella achève de me réveiller comme une douche froide. Parce qu’elle est juste habillée d’un chemisier de nuit blanc presque transparent qui lui arrive au milieu du ventre, et d’une culotte noire maillée et quasiment transparente elle aussi.
Elle m’entend, se tourne vers moi, et sans paraître particulièrement gênée, me salue chaleureusement. Alors que j’essaie de ne pas regarder ni ses belles cuisses, ni son intimité si peu vêtue, ni son piercing d'un vert brillant qui me fait de l’œil, elle met un doigt dans sa bouche et regarde le Nutella avec envie, me faisant comprendre qu’elle a besoin d’aide.
Je souris et attrape le pot sans mal. Toute contente, elle retourne devant la télé, et je vais m’asseoir près d’elle, comme on l’a fait la veille. Elle croise les jambes, confortablement installée, et plonge une cuillère dans le Nutella. Puis elle la décharge sur sa langue rose,( ) visiblement absorbée par l’émission. Je me rends compte que son regard que j’ai jugé incroyablement provocateur est bien naturel, car je vois ses yeux briller d’excitation sans qu’elle ne me regarde.
Finalement, elle me dit :
-We cannot swim today, it’s raining, and it’s cold outside !
Elle paraît déçue, et si elle savait…
-Yeah, it’s a bad weather today… je réponds, et on soupire de concert.
-Anyway, I have to go shopping. I need to buy some food and stuff. Could you think about what you need ? What you fancy to eat for breakfasts, for example.
-Oh, can I come with you ? me demande-t-elle, pleine d’espoir.
J’acquiesce, et je vais prendre une douche pendant qu’elle s’habille. J’opte personnellement pour un jean et un pull à capuche bleu. J’attrape mon téléphone et ma CB et je vais l’attendre dans l’entrée.
Des bruits de talons se font entendre, et la voilà qui arrive. Je crois qu’elle ne finira jamais de me surprendre.
Vu le temps, elle a choisi d’enfiler d’épais collants à rayures grises et blanche, qui lui arrivent au milieu des cuisses. Une robe noire à manches longues ultra courte la rend incroyablement sexy et ses talons compensés la rehaussent de dix bons centimètres. Mascara noir, parapluie noir, serre-tête noir qui contrôlent ses cheveux noirs parfaitement raides et lisses, c’est avec une parfaite asian-emo-girl que je sors sous cette pluie estivale pour aller acheter du jambon et des œufs.
Je ne peux pas lui en vouloir, il n’a jamais été aussi près de l’intimité de cette déesse, et ça doit être très frustrant pour lui de ne pas avoir un visuel de la situation. D’ailleurs c’est aussi frustrant pour moi. J’aimerais bien voir sa position cambrée qui doit faire ressortir des belles fesses, ses cuisses de rêve qui me tiennent prisonnier…
Elle pose ses deux mains au milieu de mon dos, et le contact de sa peau fraîche me fait frissonner. Elle se penche sur moi, prenant un appui qui achève Courage :
-That’s okay ? I’m not too much heavy ?
Une mèche de ses cheveux frôle mon cou, électrocutant le pauvre Popole déjà à l’agonie. J’essaie de me souvenir comment parler, et je découvre que ma gorge permet d’articuler. Heureux, je réponds naturellement :
-You’re as light as the air.
Elle rit, et paraît réaliser un truc. Ses mains quittent mon corps, et le sang revient circuler dans la tête de Popole. Elle se repenche sur moi bien plus près cette fois-ci, et je sens le tissu de son débardeur contre moi, à l’endroit de ses seins. Elle pose ses bagues sur le tapis, et se redresse, ses mains retrouvant mon corps.
C’est le meilleur massage de ma vie.
Clairement, elle n’a pas suivi des cours comme moi, et elle me caresse plus qu’autre chose, mais je suis aux anges. Ses doigts fins parcourent ma colonne vertébrale, ses paumes douces écrasent mes omoplates, et je ferme à moitié les yeux, succombant.
Après de longues minutes, elle se lève finalement, et je me rhabille.
-I feel good, thank you, j’articule difficilement.
-You’re nice, but you’re definitely better than me ! réponds-t-elle en me faisant un clin d’œil.
Puis elle va chercher un verre d’eau, me laissant dans un état végétatif.
Je reprends peu à peu mes esprits, quand elle remarque ma piscine par la fenêtre de la cuisine.
-Oh, you have a swimming pool ! Can we swim tomorrow ?
-Sure ! je réponds simplement, presque blasé.
-Psst, dis-lui de mettre un deux pièces, me chuchote Popole.
Je l’ignore, mais je ne peux réprimer un sourire. Bordel, son corps sublime brillant de crème solaire, ses seins gonflés à faire craquer le tissu de son maillot…
Je la vois alors trempée, sortant de l’eau, et c’est d’une voix presque absente que je lui réponds « bonne nuit », alors qu’elle va se coucher.
Je me réveille le lendemain, vers 11h. Les souvenirs de la veille bombardent mon esprit, et je souris, rêveur. Yun. Elle est salement bonne… J’ai l’impression que la journée d’hier était un rêve, que ça s’est passé il y a des années. Je n’arrive même pas à me rappeler exactement des massages, de sa peau contre la mienne. Je me promets d’être attentif, aujourd’hui. Je me lève, et je remarque qu’il pleut, et ça me fait royalement chier. Car aujourd’hui, je voulais nager avec mon asiatique préférée.
Je ne verrai pas son corps presque nu, je ne sentirai pas sa peau sous l’eau… Déçu, je me lève, m’habille vite fait, et file dans la cuisine, encore un peu endormi.
Voir Yun sur la pointe de ses pieds nus qui tente désespérément d’attraper le pot de Nutella achève de me réveiller comme une douche froide. Parce qu’elle est juste habillée d’un chemisier de nuit blanc presque transparent qui lui arrive au milieu du ventre, et d’une culotte noire maillée et quasiment transparente elle aussi.
Elle m’entend, se tourne vers moi, et sans paraître particulièrement gênée, me salue chaleureusement. Alors que j’essaie de ne pas regarder ni ses belles cuisses, ni son intimité si peu vêtue, ni son piercing d'un vert brillant qui me fait de l’œil, elle met un doigt dans sa bouche et regarde le Nutella avec envie, me faisant comprendre qu’elle a besoin d’aide.
Je souris et attrape le pot sans mal. Toute contente, elle retourne devant la télé, et je vais m’asseoir près d’elle, comme on l’a fait la veille. Elle croise les jambes, confortablement installée, et plonge une cuillère dans le Nutella. Puis elle la décharge sur sa langue rose,( ) visiblement absorbée par l’émission. Je me rends compte que son regard que j’ai jugé incroyablement provocateur est bien naturel, car je vois ses yeux briller d’excitation sans qu’elle ne me regarde.
Finalement, elle me dit :
-We cannot swim today, it’s raining, and it’s cold outside !
Elle paraît déçue, et si elle savait…
-Yeah, it’s a bad weather today… je réponds, et on soupire de concert.
-Anyway, I have to go shopping. I need to buy some food and stuff. Could you think about what you need ? What you fancy to eat for breakfasts, for example.
-Oh, can I come with you ? me demande-t-elle, pleine d’espoir.
J’acquiesce, et je vais prendre une douche pendant qu’elle s’habille. J’opte personnellement pour un jean et un pull à capuche bleu. J’attrape mon téléphone et ma CB et je vais l’attendre dans l’entrée.
Des bruits de talons se font entendre, et la voilà qui arrive. Je crois qu’elle ne finira jamais de me surprendre.
Vu le temps, elle a choisi d’enfiler d’épais collants à rayures grises et blanche, qui lui arrivent au milieu des cuisses. Une robe noire à manches longues ultra courte la rend incroyablement sexy et ses talons compensés la rehaussent de dix bons centimètres. Mascara noir, parapluie noir, serre-tête noir qui contrôlent ses cheveux noirs parfaitement raides et lisses, c’est avec une parfaite asian-emo-girl que je sors sous cette pluie estivale pour aller acheter du jambon et des œufs.