Note de la fic :
Publié le 30/07/2012 à 19:55:56 par BaliBalo
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Je suis dans une maison que je désigne comme celle de mon arrière grand-mère à Châtel-Censoire (petite bourgade perdue dans la Bourgogne, le long de l’Yonne). Pourtant, les deux maisons n’ont rien à voir si ce n’est l’ambiance qui semble dater d’un siècle. Il doit être aux alentours de vingt-trois heures trente. Je n’arrive pas à m’endormir et décide d’aller faire un tour. Je sors donc et, arrivée dans la rue, prends à gauche.
Au bout de quelques minutes, je me rends compte que prendre cette direction n’est pas forcément une bonne idée, car je m’enfonce dans la nuit noire en pleine campagne. Apparaissent alors deux yeux verts brillants dangereusement. Ils se rapprochent à toute vitesse de moi. J’angoisse avant de voir apparaître un énorme chien noir qui passe en trombe devant moi. Effrayée, je veux faire demi-tour pour retourner en ville. Mais se dessine alors la silhouette d’un homme sur la route. Si je me retourne maintenant il va penser que je le fuis. Je n’ai plus qu’à attendre de le croiser puis faire demi-tour lorsqu’il aura le dos tourné.
Je continue donc de marcher, comme si de rien n’était et me rends compte qu’il s’agit en fait d’un paysan qui promène sa vache. Il passe et n’a pas fait trois pas que je tourne les talons pour rentrer chez moi. Nous marchons l’un derrière l’autre, puis se dresse le portail de ma maison vers lequel il se dirige. Il l’ouvre et arrive dans la petite cour. Il va vers la gauche où un petit escalier descend dans l’eau et passe sous la maison, un écriteau indique « Pâturage à vaches ». J’en déduis que le paysan va juste faire paître sa vache dans nos champs (je ne savais pas qu’on avait des champs d’ailleurs). Je le regarde s’enfoncer dans l’eau avec sa vache et disparaître.
Mes parents sortent alors de la maison, l’air paniqué. En fait d’humains, ils sont curieusement sous la forme de Babar et Céleste. Ma mère (enfin Céleste) m’explique la situation et me désigne une table ronde en pierre se trouvant de l’autre côté de la cour. Sur la table gît le corps inanimé de Michel mon grand-oncle. « Il a été étranglé » soutiennent Babar et Céleste. Apparaît alors un étrange petit personnage qui ne semble pas faire attention à nous. Ma mère s’écrie qu’elle le reconnait car c’est le petit bonhomme qui l’a réveillée lorsqu’elle s’est évanouie dans son bain un peu plus tôt. Elle explique alors : « Il n’est pas tout à fait comme tout le monde ».
Je suis alors projetée dans une banque où je reconnais le petit bonhomme, pistolet à eau dans la main qui fait face a un gangster masqué qui tient un sac plein de billets. Mais le petit bonhomme ne semble pas le voir et son pistolet va de bas en haut sans tirer. Le bandit s’enfuit et le petit bonhomme marche jusqu’à un étalage de carte postale derrière lequel il se planque. Le long du mur, un distributeur automatique. Le pistolet va toujours de haut en bas et soudain se met à cracher du plomb dans le vide. C’est alors qu’on passe dans les yeux du petit bonhomme qui tire sur Mickey et Donald en cage, qui flottent devant lui.
Retour a Châtel où ma mère s’exclame que le raisonnement ne tient plus car ce n’est pas le petit bonhomme qui l’a réveillée mais Babar, mon père.
Je suis dans une maison que je désigne comme celle de mon arrière grand-mère à Châtel-Censoire (petite bourgade perdue dans la Bourgogne, le long de l’Yonne). Pourtant, les deux maisons n’ont rien à voir si ce n’est l’ambiance qui semble dater d’un siècle. Il doit être aux alentours de vingt-trois heures trente. Je n’arrive pas à m’endormir et décide d’aller faire un tour. Je sors donc et, arrivée dans la rue, prends à gauche.
Au bout de quelques minutes, je me rends compte que prendre cette direction n’est pas forcément une bonne idée, car je m’enfonce dans la nuit noire en pleine campagne. Apparaissent alors deux yeux verts brillants dangereusement. Ils se rapprochent à toute vitesse de moi. J’angoisse avant de voir apparaître un énorme chien noir qui passe en trombe devant moi. Effrayée, je veux faire demi-tour pour retourner en ville. Mais se dessine alors la silhouette d’un homme sur la route. Si je me retourne maintenant il va penser que je le fuis. Je n’ai plus qu’à attendre de le croiser puis faire demi-tour lorsqu’il aura le dos tourné.
Je continue donc de marcher, comme si de rien n’était et me rends compte qu’il s’agit en fait d’un paysan qui promène sa vache. Il passe et n’a pas fait trois pas que je tourne les talons pour rentrer chez moi. Nous marchons l’un derrière l’autre, puis se dresse le portail de ma maison vers lequel il se dirige. Il l’ouvre et arrive dans la petite cour. Il va vers la gauche où un petit escalier descend dans l’eau et passe sous la maison, un écriteau indique « Pâturage à vaches ». J’en déduis que le paysan va juste faire paître sa vache dans nos champs (je ne savais pas qu’on avait des champs d’ailleurs). Je le regarde s’enfoncer dans l’eau avec sa vache et disparaître.
Mes parents sortent alors de la maison, l’air paniqué. En fait d’humains, ils sont curieusement sous la forme de Babar et Céleste. Ma mère (enfin Céleste) m’explique la situation et me désigne une table ronde en pierre se trouvant de l’autre côté de la cour. Sur la table gît le corps inanimé de Michel mon grand-oncle. « Il a été étranglé » soutiennent Babar et Céleste. Apparaît alors un étrange petit personnage qui ne semble pas faire attention à nous. Ma mère s’écrie qu’elle le reconnait car c’est le petit bonhomme qui l’a réveillée lorsqu’elle s’est évanouie dans son bain un peu plus tôt. Elle explique alors : « Il n’est pas tout à fait comme tout le monde ».
Je suis alors projetée dans une banque où je reconnais le petit bonhomme, pistolet à eau dans la main qui fait face a un gangster masqué qui tient un sac plein de billets. Mais le petit bonhomme ne semble pas le voir et son pistolet va de bas en haut sans tirer. Le bandit s’enfuit et le petit bonhomme marche jusqu’à un étalage de carte postale derrière lequel il se planque. Le long du mur, un distributeur automatique. Le pistolet va toujours de haut en bas et soudain se met à cracher du plomb dans le vide. C’est alors qu’on passe dans les yeux du petit bonhomme qui tire sur Mickey et Donald en cage, qui flottent devant lui.
Retour a Châtel où ma mère s’exclame que le raisonnement ne tient plus car ce n’est pas le petit bonhomme qui l’a réveillée mais Babar, mon père.
Commentaires
- BaliBalo
12/09/2012 à 22:20:16
J'en ai un sur le feu Un peu difficile à rendre compréhensible...
- Pseudo supprimé
12/09/2012 à 10:53:02
Pas d autres reves ?
- Pseudo supprimé
02/08/2012 à 17:47:30
Tank VS 2Cv