Note de la fic :
Publié le 20/10/2012 à 19:59:12 par [Dawell]
[Salutations ça fait longtemps que ce genre de projet me tenait à coeur, après moult essais, je pense être arrivé à la version qui se rapproche le plus de l'univers que je souhaite vous faire partager. Certains chapitre seront présentés comme les appendices que l'on peu lire dans les romans de Tolkien, pour développer l'univers. N'hésitez pas à laisser un commentaire, toute critique est bonne à prendre. Bonne lecture ]
« Rien n'est comparable à une victoire durement acquise. »
Herold le Brave. AN 7E420
Tête baissée, le regard bouillonnant, Amalrik était impatient de combattre ses adversaires. Au total, on en dénombrait 8, certains d'entre eux étaient des fils de paysan, des moins que rien, plus perturbateur que bagarreur. Ils l'entouraient comme des vautours qui s'impatientent déjà de se repaitre de leur proie, ils avaient réussi à le trainer en dehors du village, dans l'enclos d'une ferme abandonné. D'un souffle apaisé, il se dressa en leur faisant face. Tous se mirent à rire, seul, il n'avait aucune chance de leur échapper, l'un d'entre eux s'adressa à Amalrik :
- Tu crois que t'as une chance face à nous ? On va te saigner comme un porc.
Il ne répondit pas, il ne faisait que regarder son interlocuteur, Gatar, un jeune garçon plutôt agité, et belliqueux. Il avait toujours haï Amalrik, et il était euphorique quant à l'idée de lui donner une bonne leçon.
- Vous voyez les gars ? Il vaut pas mieux que son père. Et dans un rire bien gras, il se retourna face à son « audience » si je puis dire ... L'occasion rêvée pour l'attaquer et lui porter un coup perfide. Il n'avait rien sur lui, aucune arme, ses poings ferait l'affaire s'était-il dit. Dans un élan de rage folle, il fonça droit sur Gatar.
Malheureusement, son arrogance fut sa perte, à peine eut-il essayé de le frapper, qu'il se retourna et riposta avec un coup de poing violent en pleine mâchoire. Le choc fut si intense, qu'Amalrik fut projeté en arrière, avant de chuter lamentablement sur le sol poisseux de cet enclos. Sonné, il n'arrivait pas à se remettre debout. Gatar jubilais, et tous ses camarades aussi, d'ailleurs ils le raillèrent, et l'insultèrent. Amalrik était toujours groggy, il rampait vers l'extrémité de l'enclos. ils voulurent le rouer de coups pour qu'il ne puisse pas s'enfuir.
Mais Amalrik attrapa la barricade qui délimitait l'enclos et tira de toutes ses forces pour avoir quelque chose avec quoi se défendre, un bâton en l'occurrence. Il se releva, comme si le coup qu'on lui avait porté n'avait été qu'une blessure superficielle. Ils étaient moins enclins à le combattre mais ils déferlèrent sur lui. Il affronta seul cette bande de lâche, ils n'étaient pas très expérimenté, voire pas du tout. Il était rapide et vif, bien que sa mâchoire lui faisait un mal de chien. Il portait des coups expéditifs, qui mettaient à terre la plupart de ses adversaires.
Gatar qui assistait au fiasco de son plan voulu s'occuper lui-même de son cas, tout comme Amalrik, il arracha un morceau de bois, qui avait la longueur et l'épaisseur d'un bâton de combat. Il le chargea, et lui assena un coup dans le genou. Immédiatement, Amalrik tomba dans la boue de nouveau en hurlant de douleur. Gatar voulait assouvir ses pulsions agressive, il allait le tabasser jusqu'à ce que mort s'en suive, mais un des villageois apparu au loin en hurlant aux jeunes garçons de déguerpir sur le champ avant d'avertir la garde.
- Regarde misérable, annonça Gatar à Amalrik en lui montrant son poing, la prochaine fois, il y aura personne pour venir t'aider, tu seras seul, face à moi, et nous verrons qui de nous deux aura le dernier mot.
Amalrik n'avait plus de force, 17ans seulement et il était le garçon le plus malchanceux de son village ... D'ailleurs, cette incartade avec ses « camarades » du village était simplement dû à un malentendu.
Plus tôt dans la journée, Amalrik aperçu un des villageois voler de la nourriture sur un étal d'un vendeurdu quartier commerçant, le voleur compris qu'Amalrik l'avait vu, et il s'enfuit en laissant son butin à terre, il alla le ramasser, pour le remettre à sa place, mais Gatar qui n'était pas loin le surpris avec la nourriture dans les mains, la suite résulte de l'état dans lequel il se trouve actuellement.
Ils étaient partis sans se soucier de savoir si quelqu'un lui viendrais en aide. Pendant plusieurs heures, il resta à terre, anéanti par sa défaite. Il réussit à relever son torse et en s'aidant du bâton, il se mit debout. Il boitait maladroitement, et n'arrivait pas à faire 10 mètres sans ressentir la douleur dans sa jambe. Après plusieurs minutes de marches, il atteint sa destination : Eurark.
C'était un humble village situé sur les Côtes Oubliées en plein Dallendrin, un royaume Nordique libéré de la monarchie et de la tyrannie, un pays déchiré par les guerres, façonné par les légendes épiques, et les chants glorieux faisant l'éloge de héros passés. Cependant, ces guerres et ces temps obscurs on fait de Dallendrin le royaume le plus en proie au chaos, et à l'anarchie. Des groupes de barbares parcourent les terres en pillant et massacrant toutes formes de vie. Mais Dallendrin n’était pas vraiment impliqué, ce n'était qu'un pauvre village remplit de miséreux, qui présentait un bien maigre intérêt pour ces brutes ...
« Rien n'est comparable à une victoire durement acquise. »
Herold le Brave. AN 7E420
Tête baissée, le regard bouillonnant, Amalrik était impatient de combattre ses adversaires. Au total, on en dénombrait 8, certains d'entre eux étaient des fils de paysan, des moins que rien, plus perturbateur que bagarreur. Ils l'entouraient comme des vautours qui s'impatientent déjà de se repaitre de leur proie, ils avaient réussi à le trainer en dehors du village, dans l'enclos d'une ferme abandonné. D'un souffle apaisé, il se dressa en leur faisant face. Tous se mirent à rire, seul, il n'avait aucune chance de leur échapper, l'un d'entre eux s'adressa à Amalrik :
- Tu crois que t'as une chance face à nous ? On va te saigner comme un porc.
Il ne répondit pas, il ne faisait que regarder son interlocuteur, Gatar, un jeune garçon plutôt agité, et belliqueux. Il avait toujours haï Amalrik, et il était euphorique quant à l'idée de lui donner une bonne leçon.
- Vous voyez les gars ? Il vaut pas mieux que son père. Et dans un rire bien gras, il se retourna face à son « audience » si je puis dire ... L'occasion rêvée pour l'attaquer et lui porter un coup perfide. Il n'avait rien sur lui, aucune arme, ses poings ferait l'affaire s'était-il dit. Dans un élan de rage folle, il fonça droit sur Gatar.
Malheureusement, son arrogance fut sa perte, à peine eut-il essayé de le frapper, qu'il se retourna et riposta avec un coup de poing violent en pleine mâchoire. Le choc fut si intense, qu'Amalrik fut projeté en arrière, avant de chuter lamentablement sur le sol poisseux de cet enclos. Sonné, il n'arrivait pas à se remettre debout. Gatar jubilais, et tous ses camarades aussi, d'ailleurs ils le raillèrent, et l'insultèrent. Amalrik était toujours groggy, il rampait vers l'extrémité de l'enclos. ils voulurent le rouer de coups pour qu'il ne puisse pas s'enfuir.
Mais Amalrik attrapa la barricade qui délimitait l'enclos et tira de toutes ses forces pour avoir quelque chose avec quoi se défendre, un bâton en l'occurrence. Il se releva, comme si le coup qu'on lui avait porté n'avait été qu'une blessure superficielle. Ils étaient moins enclins à le combattre mais ils déferlèrent sur lui. Il affronta seul cette bande de lâche, ils n'étaient pas très expérimenté, voire pas du tout. Il était rapide et vif, bien que sa mâchoire lui faisait un mal de chien. Il portait des coups expéditifs, qui mettaient à terre la plupart de ses adversaires.
Gatar qui assistait au fiasco de son plan voulu s'occuper lui-même de son cas, tout comme Amalrik, il arracha un morceau de bois, qui avait la longueur et l'épaisseur d'un bâton de combat. Il le chargea, et lui assena un coup dans le genou. Immédiatement, Amalrik tomba dans la boue de nouveau en hurlant de douleur. Gatar voulait assouvir ses pulsions agressive, il allait le tabasser jusqu'à ce que mort s'en suive, mais un des villageois apparu au loin en hurlant aux jeunes garçons de déguerpir sur le champ avant d'avertir la garde.
- Regarde misérable, annonça Gatar à Amalrik en lui montrant son poing, la prochaine fois, il y aura personne pour venir t'aider, tu seras seul, face à moi, et nous verrons qui de nous deux aura le dernier mot.
Amalrik n'avait plus de force, 17ans seulement et il était le garçon le plus malchanceux de son village ... D'ailleurs, cette incartade avec ses « camarades » du village était simplement dû à un malentendu.
Plus tôt dans la journée, Amalrik aperçu un des villageois voler de la nourriture sur un étal d'un vendeurdu quartier commerçant, le voleur compris qu'Amalrik l'avait vu, et il s'enfuit en laissant son butin à terre, il alla le ramasser, pour le remettre à sa place, mais Gatar qui n'était pas loin le surpris avec la nourriture dans les mains, la suite résulte de l'état dans lequel il se trouve actuellement.
Ils étaient partis sans se soucier de savoir si quelqu'un lui viendrais en aide. Pendant plusieurs heures, il resta à terre, anéanti par sa défaite. Il réussit à relever son torse et en s'aidant du bâton, il se mit debout. Il boitait maladroitement, et n'arrivait pas à faire 10 mètres sans ressentir la douleur dans sa jambe. Après plusieurs minutes de marches, il atteint sa destination : Eurark.
C'était un humble village situé sur les Côtes Oubliées en plein Dallendrin, un royaume Nordique libéré de la monarchie et de la tyrannie, un pays déchiré par les guerres, façonné par les légendes épiques, et les chants glorieux faisant l'éloge de héros passés. Cependant, ces guerres et ces temps obscurs on fait de Dallendrin le royaume le plus en proie au chaos, et à l'anarchie. Des groupes de barbares parcourent les terres en pillant et massacrant toutes formes de vie. Mais Dallendrin n’était pas vraiment impliqué, ce n'était qu'un pauvre village remplit de miséreux, qui présentait un bien maigre intérêt pour ces brutes ...