Note de la fic :
Publié le 29/04/2012 à 18:38:21 par Aelon
15h30, Mardi 24 Janvier 1557, France, dans l'université de Paris.
Un groupe d'étudiant marchait à travers un couloir bordé de salles de cours. Ils étaient neuf. Neuf garçons. Ils se dirigeaient vers une salle en particulier qui se trouvait au troisième étage. Ils rentrèrent en même temps que la cloche retentit. La pièce faisait 3 mètres de haut. Un tableau en ardoise était accroché au mur où se trouvait l'instituteur. Les murs latéraux étaient ornés de cartes, frises chronologique, une petite étagère remplie de livres de différente taille se trouvait au fond de la pièce, avec une autre à côté, mais qui était remplie de petites statuettes, de pièces d'art... Il y avait même une armure en bronze dans l'un des coins de la salle.
-Pile à l'heure, remarqua l'un des étudiant.
-Clair, c'est...
-Arrêtez de jacasser et allez vous assoir, coupa le professeur, assit sur son pupitre.
Les concernés se dirigèrent chacun vers leurs sièges respectif en rouspétant et sortirent leurs affaires. Il n'y avait que des garçons dans la classe. Tous étaient vêtus en noir. Leurs sacs étaient généralement en cuir souple, fin et élégant. Ils étaient tous plus ou moins distrais, aussi l'instituteur dût les rappeler à l'ordre.
-Bien, aujourd'hui, nous allons faire de l'histoire. Sortez votre livre page 86. Je lis, histoire de ne pas perdre de temps.
Quelques élèves avaient relevés la blague assez peu hilarante et sourirent devant cet échec.
-«Afin de peupler sa Cité, Romulus ne se montre guère délicat sur la qualité de ceux qui viennent se joindre à lui et à ses hommes. Tous les bannis, tous les exilés mais aussi et surtout tous les démunis qu’une extrême pauvreté rendait pratiquement esclaves de riches praticiens, affluent dans l’espoir de devenir maîtres de leur destin. Rome se trouve ainsi pourvue de guerriers, de paysans et de bergers. Mais les femmes font cruellement défaut. Les Romains décident donc de pallier cette absence grâce à leurs voisins, les Sabins. Sous le prétexte de participer à des jeux qui doivent fonder l’union des deux peuples, les hommes de Romulus, sur un signal de celui-ci se ruent sur les jeunes femmes et s’emparent chacun d’une Sabine. Quoiqu’il en soit -Henri, arrête de bavarder- , une guerre fait rage entre les Romains et les Sabins et ce pendant plusieurs années, jusqu’au jour où les Sabines s’interposent sur le champ de bataille, présentant à leurs pères et aux membres de leurs familles les enfants qu’elles avaient conçus de leur mariage : elle supplient leurs maris, qu’elles avaient appris à aimer, et leurs familles d’origine de cesser une lutte devenue sans objet. Les deux peuples se lient et ne font bientôt qu’une seule nation, placée sous le signe de la royauté partagée. Quant à Romulus lui-même, toujours dans la même logique de glorification et de justification par le Grand Ordre Divin, on raconte qu’il disparut brusquement. Alors que le peuple était réuni au Champ de Mars, un éclair le frappe et un nuage vient le dérober à la vue des siens. Après la dissipation du nuage, force est de constater que Romulus n’est plus là. On entendit une voix qui assura qu’il avait été promu au rang de dieu par les divinités. Il fut dès lors honoré sous le nom de Quirinus, vieille divinité qui passait pour sabine et qui avait un temple sur le mont Quirinal.»
La plupart des élèves rêvassaient. Certains, plus soucieux de leurs études, écoutaient et prenaient des notes.
-Mr. Pinberg, est ce que ceci est vrai? Demanda un élève.
-Eh bien, il y a effectivement un temple sur le mont Quirinal, mais pour ce qui est de Romulus... on à retrouvé son armure il y a longtemps, mais elle fut dérobé il y a un peu moins d'une cinquantaine d'année.
Le cours dura ainsi tout l'heure. Il endormit la plupart de l'auditoire, et c'est avec des bâillement que la sonnerie qui marquait la fin du cours retentit, et les élèves s'empressèrent de sortirent. La bande qui c'était précédemment formé se regroupa.
-Pff, je vois pas à quoi servent tous ces cours alors que nos parents soudoierons les évêques pour qu'on obtiennent quand même notre licence, bougonna homme de la bande.
-Bah y'en a qui ont pas des papas assez riches, se moqua celui qui avait l'air du chef de la bande en fixant celui qui avait posé une question au début du cour.
Le concerné se retourna, un air méprisant sur le visage.
-Moi, au moins j'aurai le mérite de pas être un imbécile fini, rétorqua-t-il froidement.
-Ah ouais, tu le prend comme ça? On va te montrer ce qu'il en coûte de se payer notre tête, s'énerva l'un d'eux.
-Très franchement, se payer ta tête est inutile. Ce serait une dépense bête, si elle vaut quelque chose.
-Quoi? Les gars, si on allait refaire le portrait de notre amis avant de partir?
-Je suis assez beau comme ça, merci, lança-t-il avant de détaler.
-Choppez le! s'exclama le chef du groupe.
Une course poursuite débuta depuis le troisième étage du bâtiment. Notre fuyard descendit les escaliers précipitamment, suivie d'une dizaine de marches par ses poursuivants. Plusieurs personne furent bousculer et perdirent leurs cahiers, surtout à cause de la bande. «Excusez moi» ; «Je suis désolé» ; «Pardon, je suis pressé» furent répété un nombre incalculable de fois. Enfin, la course s'arrêta à la sortie de l'université. La cible s'arrêta devant la foule, un sourire aux lèvres, et se retourna en observant les personnes qui s'en prenaient à lui.
-Ce fut un plaisir de jouer avec vous, mais je préfère rentre dans la calme. Une prochaine fois peut-être?
-Connard, reviens là!
Mais à peine la racaille prononça-t-il son juron que notre jeune ami recula dans la foule plutôt dense et disparut aux yeux des fauteurs de troubles.
-On fait quoi Billy? questionna l'un des membres du groupe
-On l'aura demain à la sortie, il termine une heure plus tôt, ce bâtard! Cracha-t-il
La personne qui marchait la conscience légère se nommait Rayllen, mais il était plus connue sous le nom de «blondinet» pour les plus relous, ou «Ray» pour ses rares amis. Il avait 24 ans, les cheveux blonds clair un peu en pétard, il était un peu mince, mais ses performances en sport n'en souffraient pas. Ses yeux était bruns, toujours un sourire aux lèvres lorsqu'il était seul. Il est très rêveurs, mais il ne croit cependant qu'en très peu de choses. Ses parents étaient d'origine britannique, ce qui expliquait son nom d'origine anglaise. Sa maison n'était pas extraordinaire. C'est l'un des rares étudiants à ne pas loger dans les quartiers aisées. Il n'était pas non plus pauvre, sinon il n'aurait pas pût rentrer dans cette université. Il rentra chez lui et posa son sac sur la table de son salon. Il avait une maison comprenant deux chambres et une salle d'eau qui se trouvaient à l'étage, une cuisine, des toilettes et un salon au rez-de-chaussé. Il sortis ses livres de cours pour travailler.
-Pff, demain composition d'histoire... Ce prof est sympa, mais j'aimerai savoir pourquoi il nous fait faire une dissertation sur trois leçons alors qu'il sait très bien que seul moi et deux autres personnes vont réviser...
Il sorti son cahier, puis son livre. Cependant, il remarqua un petit livret au fond de son sac dont il n'avait pas de souvenir d'avoir emporté. Il le sorti et l'observa. C'était un carnet en cuir de bouc, ce qui devait expliquer la curieuse odeur qui lui piquait les narines. Il était ancien, vue l'état de ses pages. Il commença à lire les premières pages:
«Ceci est mon journal. J'y ai décris ma vie d'Assassin dans ma lutte contre les Templiers et mes recherches de la vérité, ma quête de la sagesse et la protection de la pomme»
-Oh, une pomme à protéger? Très intéressant..., ironisa-t-il
«Elle est menacé, elle est dangereuse. Je dois la protéger contre eux, je dois la protéger d'elle.»
-Intéressant. Quelqu'un doit vouloir me faire découvrir une nouvelle série. Je me demande qui. Bah, autant le lire, après tout, j'ai rien de mieux à faire ces temps-ci, et comme le contrôle ne sera surement pas compté...
Il se prépara à dîner, un simple sandwiche fait de viandes et de salade, fit son sac, alluma une bougie et monta dans sa chambre avec. Il se mit en habits de nuit, posa la bougie à coté de son lit, puis continua sa lecture.
-Alors, reprenons...
***
1514, 22h
Les rues de Paris étaient sales, des mendiants demandaient l'aumône, les passants ne leurs prêtaient pas attention et riaient entre eux. Un prêtre passait dans ces rues, et il lâchait cinquante francs dans chaque gamelle vide. Tout le monde le regardait bizarrement. «Cet homme d'église avait dut faire vœu de pauvreté pour dilapider son argent ainsi» s'indignaient les bourgeois qui passaient par les rues. Le bon samaritain continuait se route, la tête penché, une capuche blanche recouvrant sa tête, il avait les mains jointe, et avançait. De temps à autre, il lisait un passage d'un petit livret à sa ceinture, une bible à coup sûr.
Il continuait sa route, redonnant espoir aux démunis. Un bruit aigüe se fit entendre dans la nuit. L'homme bifurqua et partit en direction du son.
Sept homme harcelaient une pauvre dame, ils faisaient des allusions grivoises, déchiraient ses vêtements, se moquaient de cette faiblesse. La femme se débattait en vain, elle savait qu'elle n'y échapperai pas. Et l'ombre blanche avança. Agacé d'être interrompue, un malfrat lui fit barrage en l'insultant et en le menaçant. Il s'écroula ensuite, gémissant de douleur. Ses compagnons hésitaient à lâcher leur divertissement, et ce fut une erreur. Le croyant sortit sa bible et commença à lire un chapitre. On se raillait de lui, et pensant qu'il ne ferait rien, ils continuèrent leurs affaires.
Mais à l'instant où l'homme d'église termina le verset qu'il lisais, il donna une impulsion à son livre, et six petites étoiles de métal volèrent vers le ciel. Les bandits, intrigués, admiraient le spectacle, inconscients. L'adepte remis son symbole religieux en place, et, en un éclair, tout ce termina. Deux secondes. En deux secondes, il avait lancer toute les petites étoiles sur les six imbéciles. Il un lançait une d'une main, rattrapait une autre en vol grâce à l'autre, puis la lançait tout en rattrapant une autre dans le même mouvement. En deux secondes, les six petites étoiles ricochaient sur le mur, ensanglantées. La tempe des six idiots saignaient, et ils tombèrent tous, inconscients et inerte sur la ruelle sale et pleine d'ordure. Le sauveur s'approcha de la pauvre victime, s'agenouilla et lui donna une bourse en cuir.
-Achète toi de nouveaux habits, et pardonne leurs leur faute, il n'ont pas suivit le chemin que notre seigneur a tracé pour eux.
Et il s'en alla, s'enfonçant dans les rues sombres de Paris.
Un groupe d'étudiant marchait à travers un couloir bordé de salles de cours. Ils étaient neuf. Neuf garçons. Ils se dirigeaient vers une salle en particulier qui se trouvait au troisième étage. Ils rentrèrent en même temps que la cloche retentit. La pièce faisait 3 mètres de haut. Un tableau en ardoise était accroché au mur où se trouvait l'instituteur. Les murs latéraux étaient ornés de cartes, frises chronologique, une petite étagère remplie de livres de différente taille se trouvait au fond de la pièce, avec une autre à côté, mais qui était remplie de petites statuettes, de pièces d'art... Il y avait même une armure en bronze dans l'un des coins de la salle.
-Pile à l'heure, remarqua l'un des étudiant.
-Clair, c'est...
-Arrêtez de jacasser et allez vous assoir, coupa le professeur, assit sur son pupitre.
Les concernés se dirigèrent chacun vers leurs sièges respectif en rouspétant et sortirent leurs affaires. Il n'y avait que des garçons dans la classe. Tous étaient vêtus en noir. Leurs sacs étaient généralement en cuir souple, fin et élégant. Ils étaient tous plus ou moins distrais, aussi l'instituteur dût les rappeler à l'ordre.
-Bien, aujourd'hui, nous allons faire de l'histoire. Sortez votre livre page 86. Je lis, histoire de ne pas perdre de temps.
Quelques élèves avaient relevés la blague assez peu hilarante et sourirent devant cet échec.
-«Afin de peupler sa Cité, Romulus ne se montre guère délicat sur la qualité de ceux qui viennent se joindre à lui et à ses hommes. Tous les bannis, tous les exilés mais aussi et surtout tous les démunis qu’une extrême pauvreté rendait pratiquement esclaves de riches praticiens, affluent dans l’espoir de devenir maîtres de leur destin. Rome se trouve ainsi pourvue de guerriers, de paysans et de bergers. Mais les femmes font cruellement défaut. Les Romains décident donc de pallier cette absence grâce à leurs voisins, les Sabins. Sous le prétexte de participer à des jeux qui doivent fonder l’union des deux peuples, les hommes de Romulus, sur un signal de celui-ci se ruent sur les jeunes femmes et s’emparent chacun d’une Sabine. Quoiqu’il en soit -Henri, arrête de bavarder- , une guerre fait rage entre les Romains et les Sabins et ce pendant plusieurs années, jusqu’au jour où les Sabines s’interposent sur le champ de bataille, présentant à leurs pères et aux membres de leurs familles les enfants qu’elles avaient conçus de leur mariage : elle supplient leurs maris, qu’elles avaient appris à aimer, et leurs familles d’origine de cesser une lutte devenue sans objet. Les deux peuples se lient et ne font bientôt qu’une seule nation, placée sous le signe de la royauté partagée. Quant à Romulus lui-même, toujours dans la même logique de glorification et de justification par le Grand Ordre Divin, on raconte qu’il disparut brusquement. Alors que le peuple était réuni au Champ de Mars, un éclair le frappe et un nuage vient le dérober à la vue des siens. Après la dissipation du nuage, force est de constater que Romulus n’est plus là. On entendit une voix qui assura qu’il avait été promu au rang de dieu par les divinités. Il fut dès lors honoré sous le nom de Quirinus, vieille divinité qui passait pour sabine et qui avait un temple sur le mont Quirinal.»
La plupart des élèves rêvassaient. Certains, plus soucieux de leurs études, écoutaient et prenaient des notes.
-Mr. Pinberg, est ce que ceci est vrai? Demanda un élève.
-Eh bien, il y a effectivement un temple sur le mont Quirinal, mais pour ce qui est de Romulus... on à retrouvé son armure il y a longtemps, mais elle fut dérobé il y a un peu moins d'une cinquantaine d'année.
Le cours dura ainsi tout l'heure. Il endormit la plupart de l'auditoire, et c'est avec des bâillement que la sonnerie qui marquait la fin du cours retentit, et les élèves s'empressèrent de sortirent. La bande qui c'était précédemment formé se regroupa.
-Pff, je vois pas à quoi servent tous ces cours alors que nos parents soudoierons les évêques pour qu'on obtiennent quand même notre licence, bougonna homme de la bande.
-Bah y'en a qui ont pas des papas assez riches, se moqua celui qui avait l'air du chef de la bande en fixant celui qui avait posé une question au début du cour.
Le concerné se retourna, un air méprisant sur le visage.
-Moi, au moins j'aurai le mérite de pas être un imbécile fini, rétorqua-t-il froidement.
-Ah ouais, tu le prend comme ça? On va te montrer ce qu'il en coûte de se payer notre tête, s'énerva l'un d'eux.
-Très franchement, se payer ta tête est inutile. Ce serait une dépense bête, si elle vaut quelque chose.
-Quoi? Les gars, si on allait refaire le portrait de notre amis avant de partir?
-Je suis assez beau comme ça, merci, lança-t-il avant de détaler.
-Choppez le! s'exclama le chef du groupe.
Une course poursuite débuta depuis le troisième étage du bâtiment. Notre fuyard descendit les escaliers précipitamment, suivie d'une dizaine de marches par ses poursuivants. Plusieurs personne furent bousculer et perdirent leurs cahiers, surtout à cause de la bande. «Excusez moi» ; «Je suis désolé» ; «Pardon, je suis pressé» furent répété un nombre incalculable de fois. Enfin, la course s'arrêta à la sortie de l'université. La cible s'arrêta devant la foule, un sourire aux lèvres, et se retourna en observant les personnes qui s'en prenaient à lui.
-Ce fut un plaisir de jouer avec vous, mais je préfère rentre dans la calme. Une prochaine fois peut-être?
-Connard, reviens là!
Mais à peine la racaille prononça-t-il son juron que notre jeune ami recula dans la foule plutôt dense et disparut aux yeux des fauteurs de troubles.
-On fait quoi Billy? questionna l'un des membres du groupe
-On l'aura demain à la sortie, il termine une heure plus tôt, ce bâtard! Cracha-t-il
La personne qui marchait la conscience légère se nommait Rayllen, mais il était plus connue sous le nom de «blondinet» pour les plus relous, ou «Ray» pour ses rares amis. Il avait 24 ans, les cheveux blonds clair un peu en pétard, il était un peu mince, mais ses performances en sport n'en souffraient pas. Ses yeux était bruns, toujours un sourire aux lèvres lorsqu'il était seul. Il est très rêveurs, mais il ne croit cependant qu'en très peu de choses. Ses parents étaient d'origine britannique, ce qui expliquait son nom d'origine anglaise. Sa maison n'était pas extraordinaire. C'est l'un des rares étudiants à ne pas loger dans les quartiers aisées. Il n'était pas non plus pauvre, sinon il n'aurait pas pût rentrer dans cette université. Il rentra chez lui et posa son sac sur la table de son salon. Il avait une maison comprenant deux chambres et une salle d'eau qui se trouvaient à l'étage, une cuisine, des toilettes et un salon au rez-de-chaussé. Il sortis ses livres de cours pour travailler.
-Pff, demain composition d'histoire... Ce prof est sympa, mais j'aimerai savoir pourquoi il nous fait faire une dissertation sur trois leçons alors qu'il sait très bien que seul moi et deux autres personnes vont réviser...
Il sorti son cahier, puis son livre. Cependant, il remarqua un petit livret au fond de son sac dont il n'avait pas de souvenir d'avoir emporté. Il le sorti et l'observa. C'était un carnet en cuir de bouc, ce qui devait expliquer la curieuse odeur qui lui piquait les narines. Il était ancien, vue l'état de ses pages. Il commença à lire les premières pages:
«Ceci est mon journal. J'y ai décris ma vie d'Assassin dans ma lutte contre les Templiers et mes recherches de la vérité, ma quête de la sagesse et la protection de la pomme»
-Oh, une pomme à protéger? Très intéressant..., ironisa-t-il
«Elle est menacé, elle est dangereuse. Je dois la protéger contre eux, je dois la protéger d'elle.»
-Intéressant. Quelqu'un doit vouloir me faire découvrir une nouvelle série. Je me demande qui. Bah, autant le lire, après tout, j'ai rien de mieux à faire ces temps-ci, et comme le contrôle ne sera surement pas compté...
Il se prépara à dîner, un simple sandwiche fait de viandes et de salade, fit son sac, alluma une bougie et monta dans sa chambre avec. Il se mit en habits de nuit, posa la bougie à coté de son lit, puis continua sa lecture.
-Alors, reprenons...
***
1514, 22h
Les rues de Paris étaient sales, des mendiants demandaient l'aumône, les passants ne leurs prêtaient pas attention et riaient entre eux. Un prêtre passait dans ces rues, et il lâchait cinquante francs dans chaque gamelle vide. Tout le monde le regardait bizarrement. «Cet homme d'église avait dut faire vœu de pauvreté pour dilapider son argent ainsi» s'indignaient les bourgeois qui passaient par les rues. Le bon samaritain continuait se route, la tête penché, une capuche blanche recouvrant sa tête, il avait les mains jointe, et avançait. De temps à autre, il lisait un passage d'un petit livret à sa ceinture, une bible à coup sûr.
Il continuait sa route, redonnant espoir aux démunis. Un bruit aigüe se fit entendre dans la nuit. L'homme bifurqua et partit en direction du son.
Sept homme harcelaient une pauvre dame, ils faisaient des allusions grivoises, déchiraient ses vêtements, se moquaient de cette faiblesse. La femme se débattait en vain, elle savait qu'elle n'y échapperai pas. Et l'ombre blanche avança. Agacé d'être interrompue, un malfrat lui fit barrage en l'insultant et en le menaçant. Il s'écroula ensuite, gémissant de douleur. Ses compagnons hésitaient à lâcher leur divertissement, et ce fut une erreur. Le croyant sortit sa bible et commença à lire un chapitre. On se raillait de lui, et pensant qu'il ne ferait rien, ils continuèrent leurs affaires.
Mais à l'instant où l'homme d'église termina le verset qu'il lisais, il donna une impulsion à son livre, et six petites étoiles de métal volèrent vers le ciel. Les bandits, intrigués, admiraient le spectacle, inconscients. L'adepte remis son symbole religieux en place, et, en un éclair, tout ce termina. Deux secondes. En deux secondes, il avait lancer toute les petites étoiles sur les six imbéciles. Il un lançait une d'une main, rattrapait une autre en vol grâce à l'autre, puis la lançait tout en rattrapant une autre dans le même mouvement. En deux secondes, les six petites étoiles ricochaient sur le mur, ensanglantées. La tempe des six idiots saignaient, et ils tombèrent tous, inconscients et inerte sur la ruelle sale et pleine d'ordure. Le sauveur s'approcha de la pauvre victime, s'agenouilla et lui donna une bourse en cuir.
-Achète toi de nouveaux habits, et pardonne leurs leur faute, il n'ont pas suivit le chemin que notre seigneur a tracé pour eux.
Et il s'en alla, s'enfonçant dans les rues sombres de Paris.