Note de la fic :
Publié le 16/01/2009 à 17:25:18 par hoho1234
-Vous m’attendiez ? Et comment vous connaissez mon prénom d’abord ?
Un rire se propage dans l’assemblé.
-Nous connaissons bien plus que ton prénom William
-Okay s’en est trop, je me tire d’ici ! Bande de psychopathes !
Je me retourne et fonce droit vers la porte.
BOUM
J’ai tapé quelque chose. Je reprends mes esprits et, que vois-je ! L’homme de l’assemblé, celui qui semblait être le chef se tenant droit comme un i, devant moi. Je titube et m’effondre au sol.
-Qui…êtes…vous ?
-Je crois avoir déjà répondu à ta question jeune homme. Nous formons l’Ordre du Temps, et personne ne nous échappe.
-vous ne répondez pas à ma question. Je vous ai vu, vous m’avez rattrapez beaucoup trop vite. Comment faîtes vous cela et pourquoi suis-je ici ?
Ses compères ricanent dans mon dos.
-Je suis le Grand Maître de cet ordre, mon nom est Andolf, et j’ai la capacité de modifier l’espace temps. Une capacité que tu as expérimentée très récemment. Ai-je tort ?
-Non Monsieur, euh.. Grand Maître. Il m’est arrivé plusieurs évènements étranges ces derniers jours.
-Bien assieds toi je te prie.
Me comprenant piégé, je décide d’obtempérer. Le Grand Maître reprend sa place à pied cette fois.
-William Shepard, vous avez créé une perturbation de l’espace temps importante. Il y a exactement 14h00, vous êtes apparu dans ce même lieu en 1381. au bas du château se préparait alors l’armée britannique dans le cadre de la guerre de cent ans, vous êtes resté 6 minutes et 47 secondes dans cette espace temps différent. Confirmez vous les faits ?
Mes pensées s’affolaient. Cela faisait donc 14h00 que j’étais piégé dans ce château. Et comment en savait il autant sur ce qui m’étais arrivé ? Je décidai de répondre honnêtement
-Je ne peux rien confirmer Monsieur, ce que vous dîtes me paraît juste néanmoins.
-Bien, la séance est levée. Noiray, emmenez Monsieur dans sa cellule.
Quoi ?! ils allaient m’enfermer. Avant que je puisse dire quoi que ce soit, l’homme dénommé Noiray s’avance vers moi, m’attrape le bras..
PAF !
Me revoilà dans la pièce médiévale. Noiray est toujours là, il relâche son étreinte.
L’Homme a enlevé sa capuche. Il parait avoir une quarantaine d’années, il est brun et a la chevelure clairsemée de cheveux grisonnants. Il a l’œil vif et semble rassurant.
-Nous n’allons pas t’enfermer bien longtemps William. En réalité tout dépend de toi.
-Que voulez vous dire ?
-Tu as la capacité de te téléporter. Si tu sors de cette pièce verrouillée, sans l’aide de personne, alors tu seras libre et deviendra un apprenti.
-Un apprenti ?
-Bien sur, tu possèdes un grand pouvoir, et nous ne pouvons te libérer sans que tu es appris à le maîtriser.
-Admettons que je crois à vos sottises, quel est votre boulot ?
-Nous résolvons les problèmes spatio-temporelles. Evidemment nous avons nos règles, et nous ne pouvons pas changer l’Histoire selon notre bon vouloir.
Loi 1 : Nous ne pouvons pas tuer,
Loi 2 : nous ne pouvons pas révéler l’existence de l’Ordre,
Loi 3 : nous ne pouvons agir seuls ou sans l’approbation du Conseil,
Loi 4 : nous ne pouvons agir pour des raisons personnelles.
Ces 4 lois sont les fondements de l’Ordre.
-Dans ce cas, pourquoi m’avoir révéler l’existence de l’Ordre ?
-Oh et bien, la réponse est simple, tu seras initié et entrera dans l’Ordre, ou bien nous te tuerons.
-Quoi ? ! Mais je pensais que vous ne pouviez pas tuer ?
-J’ai oublié de mentionner l’Exception. Lorsqu’un Détenteur, ce sont ceux qui détiennent un pouvoir similaire au notre refuse de se soumettre à notre autorité, il met en péril l’Espace Temps et pourrait profondément changer l’Histoire. Si quelqu’un agit contre une des quatre lois, nous pouvons alors utiliser la première loi contre lui.
-Et vous pensez que je suis un… euh Détenteur ?
-A toi de me le dire. Une dernière chose : tu ne peux pas voyager dans le temps, seuls les chevaliers du temps y sont autorisé. Si tu le faisais tu mourrai dans cette pièce, personne ne te sauverai car tu aurais échoué.
Il s’avance au centre de la pièce, et dans un claquement très bruyant disparaît soudainement. Son corps s’est littéralement plié sur lui-même en une fraction de seconde, et lorsqu’il eut atteint une taille très réduite, le bruit se déclencha.
Cela me faisait penser à une implosion.
Je suis maintenant seul dans cette pièce, Dieu sait si j’en sortirai un jour.
Les jours s’écoulent. J’ai perdu toute notion du temps. Seul l’ouverture de la meurtrière me permet de distinguer le jour de la nuit.
J’ai très soif et faim.
J’essaie pour la énième fois de me remémorer l’effet déclencheur de ma disparition les fois précédentes. Tant qu’à mourir, je préfère penser à Pauline, finalement j’abandonne toute tentative. Je me remémore ce baiser, enfin cet ébauche de baiser, je me souviens de l’excitation ressenti à ce moment précis, la chaleur de son souffle sur ma peau.
Et si…et si cette excitation était responsable du réveil de mon pouvoir. Je me décide enfin à tenter quelque chose. Je m’imagine devant la salle du conseil, embrassant Pauline, nos deux bouches vont se toucher…Mon esprit est très clair et je m’imagine parfaitement cette sensation. L’épuisement est le responsable surement, et mon imagination se poursuit alors que je m’assoupie. Mes idées se brouillent et je ne pense plus qu’à la sensation du baiser, à cette excitation.
PAF !
Je me retrouve face contre terre. Je me relève, et je comprends que j’ai enfin réussi. Je me tiens devant la salle du conseil. La porte est entr’ouverte. Je décide de m’approcher, j’entends les voix des chevaliers.
-Que sait il d’autre Grand Maitre ? Connaît-il sa paternité ?
-Non mon bon Franck, ils n’en sait rien et n’a jamais entendu la prophétie.
.
Un rire se propage dans l’assemblé.
-Nous connaissons bien plus que ton prénom William
-Okay s’en est trop, je me tire d’ici ! Bande de psychopathes !
Je me retourne et fonce droit vers la porte.
BOUM
J’ai tapé quelque chose. Je reprends mes esprits et, que vois-je ! L’homme de l’assemblé, celui qui semblait être le chef se tenant droit comme un i, devant moi. Je titube et m’effondre au sol.
-Qui…êtes…vous ?
-Je crois avoir déjà répondu à ta question jeune homme. Nous formons l’Ordre du Temps, et personne ne nous échappe.
-vous ne répondez pas à ma question. Je vous ai vu, vous m’avez rattrapez beaucoup trop vite. Comment faîtes vous cela et pourquoi suis-je ici ?
Ses compères ricanent dans mon dos.
-Je suis le Grand Maître de cet ordre, mon nom est Andolf, et j’ai la capacité de modifier l’espace temps. Une capacité que tu as expérimentée très récemment. Ai-je tort ?
-Non Monsieur, euh.. Grand Maître. Il m’est arrivé plusieurs évènements étranges ces derniers jours.
-Bien assieds toi je te prie.
Me comprenant piégé, je décide d’obtempérer. Le Grand Maître reprend sa place à pied cette fois.
-William Shepard, vous avez créé une perturbation de l’espace temps importante. Il y a exactement 14h00, vous êtes apparu dans ce même lieu en 1381. au bas du château se préparait alors l’armée britannique dans le cadre de la guerre de cent ans, vous êtes resté 6 minutes et 47 secondes dans cette espace temps différent. Confirmez vous les faits ?
Mes pensées s’affolaient. Cela faisait donc 14h00 que j’étais piégé dans ce château. Et comment en savait il autant sur ce qui m’étais arrivé ? Je décidai de répondre honnêtement
-Je ne peux rien confirmer Monsieur, ce que vous dîtes me paraît juste néanmoins.
-Bien, la séance est levée. Noiray, emmenez Monsieur dans sa cellule.
Quoi ?! ils allaient m’enfermer. Avant que je puisse dire quoi que ce soit, l’homme dénommé Noiray s’avance vers moi, m’attrape le bras..
PAF !
Me revoilà dans la pièce médiévale. Noiray est toujours là, il relâche son étreinte.
L’Homme a enlevé sa capuche. Il parait avoir une quarantaine d’années, il est brun et a la chevelure clairsemée de cheveux grisonnants. Il a l’œil vif et semble rassurant.
-Nous n’allons pas t’enfermer bien longtemps William. En réalité tout dépend de toi.
-Que voulez vous dire ?
-Tu as la capacité de te téléporter. Si tu sors de cette pièce verrouillée, sans l’aide de personne, alors tu seras libre et deviendra un apprenti.
-Un apprenti ?
-Bien sur, tu possèdes un grand pouvoir, et nous ne pouvons te libérer sans que tu es appris à le maîtriser.
-Admettons que je crois à vos sottises, quel est votre boulot ?
-Nous résolvons les problèmes spatio-temporelles. Evidemment nous avons nos règles, et nous ne pouvons pas changer l’Histoire selon notre bon vouloir.
Loi 1 : Nous ne pouvons pas tuer,
Loi 2 : nous ne pouvons pas révéler l’existence de l’Ordre,
Loi 3 : nous ne pouvons agir seuls ou sans l’approbation du Conseil,
Loi 4 : nous ne pouvons agir pour des raisons personnelles.
Ces 4 lois sont les fondements de l’Ordre.
-Dans ce cas, pourquoi m’avoir révéler l’existence de l’Ordre ?
-Oh et bien, la réponse est simple, tu seras initié et entrera dans l’Ordre, ou bien nous te tuerons.
-Quoi ? ! Mais je pensais que vous ne pouviez pas tuer ?
-J’ai oublié de mentionner l’Exception. Lorsqu’un Détenteur, ce sont ceux qui détiennent un pouvoir similaire au notre refuse de se soumettre à notre autorité, il met en péril l’Espace Temps et pourrait profondément changer l’Histoire. Si quelqu’un agit contre une des quatre lois, nous pouvons alors utiliser la première loi contre lui.
-Et vous pensez que je suis un… euh Détenteur ?
-A toi de me le dire. Une dernière chose : tu ne peux pas voyager dans le temps, seuls les chevaliers du temps y sont autorisé. Si tu le faisais tu mourrai dans cette pièce, personne ne te sauverai car tu aurais échoué.
Il s’avance au centre de la pièce, et dans un claquement très bruyant disparaît soudainement. Son corps s’est littéralement plié sur lui-même en une fraction de seconde, et lorsqu’il eut atteint une taille très réduite, le bruit se déclencha.
Cela me faisait penser à une implosion.
Je suis maintenant seul dans cette pièce, Dieu sait si j’en sortirai un jour.
Les jours s’écoulent. J’ai perdu toute notion du temps. Seul l’ouverture de la meurtrière me permet de distinguer le jour de la nuit.
J’ai très soif et faim.
J’essaie pour la énième fois de me remémorer l’effet déclencheur de ma disparition les fois précédentes. Tant qu’à mourir, je préfère penser à Pauline, finalement j’abandonne toute tentative. Je me remémore ce baiser, enfin cet ébauche de baiser, je me souviens de l’excitation ressenti à ce moment précis, la chaleur de son souffle sur ma peau.
Et si…et si cette excitation était responsable du réveil de mon pouvoir. Je me décide enfin à tenter quelque chose. Je m’imagine devant la salle du conseil, embrassant Pauline, nos deux bouches vont se toucher…Mon esprit est très clair et je m’imagine parfaitement cette sensation. L’épuisement est le responsable surement, et mon imagination se poursuit alors que je m’assoupie. Mes idées se brouillent et je ne pense plus qu’à la sensation du baiser, à cette excitation.
PAF !
Je me retrouve face contre terre. Je me relève, et je comprends que j’ai enfin réussi. Je me tiens devant la salle du conseil. La porte est entr’ouverte. Je décide de m’approcher, j’entends les voix des chevaliers.
-Que sait il d’autre Grand Maitre ? Connaît-il sa paternité ?
-Non mon bon Franck, ils n’en sait rien et n’a jamais entendu la prophétie.
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Commentaires
- neilujjulien
16/01/2009 à 22:16:14
Sweet