Note de la fic :
Cours (très) particulier
Par : mintoi
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9 : Rendez-vous
Publié le 16/10/2011 à 19:56:29 par mintoi
Chapitre 9 : Rendez-vous
Je sors de la maison complètement perturbé par les événements de la soirée. D’une part, Jules…
Ohhh Jules ! Son corps qui me fait fantasmer… Sa petite bouille adorable…
Et d’autre part Flora et son comportement bien trop osé à mon goût.
Qu’est-ce qu’elle me veut la vieille…J’veux pas d’son cul, j’veux celui d’son fils…
Mais bon, elle avait l’air d’avoir un peu bu, c’est peut-être pour ça. On verra bien quand j’y retournerai.
Et l’attente est courte car, seulement deux jours après, Flora me recontacte pour que je vienne chez elle l’après-midi suivant.
En arrivant chez eux, je remarque une grosse Mercedes noire garée dans la cour et que je n’avais jamais vue jusque là.
Et quand on m’ouvre la porte, c’est la silhouette massive du père de Jules qui me fait entrer, et non pas son fils avec son sourire ravageur.
P : Je crois que nous n’avons pas eu l’occasion d’être présentés quand nous nous sommes croisés. Paul Deschamps. Le père de Jules.
L : Bonjour Monsieur. Lucas Prediski.
Nous nous serrons la main et je sens à la poigne ferme de l’homme toute sa force.
P : Jules est dans sa chambre avec Étienne. Ils vous attendent.
Étienne ? Mais qui c’est c’lui-là ?
Je m’apprête à me diriger vers les escaliers quand je croise la mère de Jules qui m’adresse un petit signe de tête et disparaît ensuite les bras chargés de linge fraîchement lavé.
Une fois à l’étage, je traverse le couloir et pousse la porte entrouverte. Jules et
celui-dont-je-n’ai-pas-envie-de-prononcer-le-nom-t
ant-que-je-ne-suis-pas-sûr-qu’il-ne-veut-pas-me-vo
ler-MON-Jules sont assis côte à côte sur le lit, en grande discussion.
E : Ha, voilà ton prof mon p’tit Jules !
Attends mon gars, c’est pas TON p’tit Jules d’abord. Et retire cette main de son épaule !
J : Eh oui, il est temps que j’me mette au boulot. Tu as compris, toi, tout ce qu’on a vu en probabilité hier matin ?
E : Ben c’était que des rappels de l’année dernière donc ça a été…
J : Parce qu’on a déjà fait ça en première ?
E : Ha ben oui, et même un peu en seconde d’ailleurs…
J : T’es certain qu’on a…
L : J’crois que tu ferais mieux d’te taire Jules…
Je lance un regard faussement désespéré vers Étienne qui sourit en voyant que je me moque de son ami.
Hmm il est mignon Étienne finalement.
Bon, ce n’est pas du tout le même style que Jules : un bon mètre quatre-vingts, brun aux yeux foncés. Par contre le même style vestimentaire donc sûrement le même encadrement familial.
E : Bon ben j’te souhaite bon courage avec Jules, j’crois qu’tu vas en avoir besoin.
J : Oh, ça va !
E : Allez, faut qu’j’y aille avant que ma copine s’impatiente.
Hétéro ! Au moins, ce n’est plus une menace en ce qui concerne Jules… Je l'aime bien tout compte fait...
E : Au fait, Jules. C’est toujours bon pour la piscine mercredi ? Comme tu m’as dit que tu t’étais engueulé avec ta mère il y a quelques jours…
J : Oui, oui, c’est bon. J’ai réussi à la convaincre de me laisser y aller finalement. En lui disant que c’était pour préparer l’épreuve de natation et bla bla bla et bla bla bla…
Il se tourne alors vers moi.
J : Et toi, Lucas, t’aimes bien nager ?
L : Oui, plutôt. Je vais assez souvent à la piscine.
E : Ça te dit de venir avec nous mercredi ?
L : Oh, j’veux pas m’incruster…
E : Non mais c’est pas un souci, y a juste un autre pote qui sera là donc c’est vraiment pas un problème je t’assure.
Je me tourne vers Jules pour voir s’il est d’accord également. Il me fait de rapides signes de la tête de haut en bas pour me dire d’accepter.
L : Bon ben ça marche.
Étienne nous quitte finalement en nous serrant la main à tous les deux.
Je vais m’installer au bureau de Jules et suis vite rejoint par mon petit protégé. Sa chemisette est rentrée dans son pantalon et je ne peux m’empêcher de regarder les reliefs que m’offrent son entrejambe juste avant qu’il ne s’assoie.
T’as l’air d’avoir un beau petit paquet quand même. Ton retard de croissance n’a peut-être pas touché cette zone-là…
Nous reprenons ensemble les bases des probabilités. Jules est assez logique donc comprend relativement vite.
Mais qu’est-ce que tu peux bien foutre en cours pour être autant à la ramasse vu les facilités qu’tu as ?
Au milieu d’une explication, Jules m’interrompt.
J : Euh… Tu voulais peut-être y aller avec ta copine à la piscine au fait ? C’est pas du tout un problème si elle vient…
L : Non, non, je suis célibataire. Donc je viendrai seul...
Allez, enchaîne Lucas, c’est le bon moment pour savoir !
L : Et toi ? Une copine ?
J : Non, non, y a pas de risque…
« y a pas de risque » ? Qu’est-ce que ça veut dire ça ? Tu penses ne pas plaire du tout ? Ou…
J : Oh excuse-moi, on était en plein exo et je t’ai interrompu… On termine ?
Nous finissons finalement la lecture de son cours sans nouvelle digression.
L : Donc on se retrouve mercredi ?
J : Oui, oui, 15 heures à la piscine thermale.
L : Parfait. De toute façon, si j’ai un problème, je t’enverrai un texto… Mais j’ai pas ton numéro de portable par contre…
J : Euh… Ben en fait, j’ai pas de portable… Oui, je sais, ça surprend mais bon… J’ai pas trop l’choix… Donc tu téléphones ici si y a un souci.
L : Ok, on fait comme ça. Passe une bonne fin de journée mon p’tit Jules.
Oh putain quel con ! « mon p’tit Jules » ! T’avais qu’à lui rouler une pelle tant qu’tu y étais ! Et puis, lui rappeler qu’il est petit alors qu’il doit être déjà vachement complexé par sa taille, c’est d’une délicatesse… Conclusion : Lucas, t’es vraiment con !
J : Toi aussi. A mercredi…
Bon, il n’a pas l’air d’avoir tiqué ou de l’avoir mal pris, c’est déjà ça…
Je sors de la maison complètement perturbé par les événements de la soirée. D’une part, Jules…
Ohhh Jules ! Son corps qui me fait fantasmer… Sa petite bouille adorable…
Et d’autre part Flora et son comportement bien trop osé à mon goût.
Qu’est-ce qu’elle me veut la vieille…J’veux pas d’son cul, j’veux celui d’son fils…
Mais bon, elle avait l’air d’avoir un peu bu, c’est peut-être pour ça. On verra bien quand j’y retournerai.
Et l’attente est courte car, seulement deux jours après, Flora me recontacte pour que je vienne chez elle l’après-midi suivant.
En arrivant chez eux, je remarque une grosse Mercedes noire garée dans la cour et que je n’avais jamais vue jusque là.
Et quand on m’ouvre la porte, c’est la silhouette massive du père de Jules qui me fait entrer, et non pas son fils avec son sourire ravageur.
P : Je crois que nous n’avons pas eu l’occasion d’être présentés quand nous nous sommes croisés. Paul Deschamps. Le père de Jules.
L : Bonjour Monsieur. Lucas Prediski.
Nous nous serrons la main et je sens à la poigne ferme de l’homme toute sa force.
P : Jules est dans sa chambre avec Étienne. Ils vous attendent.
Étienne ? Mais qui c’est c’lui-là ?
Je m’apprête à me diriger vers les escaliers quand je croise la mère de Jules qui m’adresse un petit signe de tête et disparaît ensuite les bras chargés de linge fraîchement lavé.
Une fois à l’étage, je traverse le couloir et pousse la porte entrouverte. Jules et
celui-dont-je-n’ai-pas-envie-de-prononcer-le-nom-t
ant-que-je-ne-suis-pas-sûr-qu’il-ne-veut-pas-me-vo
ler-MON-Jules sont assis côte à côte sur le lit, en grande discussion.
E : Ha, voilà ton prof mon p’tit Jules !
Attends mon gars, c’est pas TON p’tit Jules d’abord. Et retire cette main de son épaule !
J : Eh oui, il est temps que j’me mette au boulot. Tu as compris, toi, tout ce qu’on a vu en probabilité hier matin ?
E : Ben c’était que des rappels de l’année dernière donc ça a été…
J : Parce qu’on a déjà fait ça en première ?
E : Ha ben oui, et même un peu en seconde d’ailleurs…
J : T’es certain qu’on a…
L : J’crois que tu ferais mieux d’te taire Jules…
Je lance un regard faussement désespéré vers Étienne qui sourit en voyant que je me moque de son ami.
Hmm il est mignon Étienne finalement.
Bon, ce n’est pas du tout le même style que Jules : un bon mètre quatre-vingts, brun aux yeux foncés. Par contre le même style vestimentaire donc sûrement le même encadrement familial.
E : Bon ben j’te souhaite bon courage avec Jules, j’crois qu’tu vas en avoir besoin.
J : Oh, ça va !
E : Allez, faut qu’j’y aille avant que ma copine s’impatiente.
Hétéro ! Au moins, ce n’est plus une menace en ce qui concerne Jules… Je l'aime bien tout compte fait...
E : Au fait, Jules. C’est toujours bon pour la piscine mercredi ? Comme tu m’as dit que tu t’étais engueulé avec ta mère il y a quelques jours…
J : Oui, oui, c’est bon. J’ai réussi à la convaincre de me laisser y aller finalement. En lui disant que c’était pour préparer l’épreuve de natation et bla bla bla et bla bla bla…
Il se tourne alors vers moi.
J : Et toi, Lucas, t’aimes bien nager ?
L : Oui, plutôt. Je vais assez souvent à la piscine.
E : Ça te dit de venir avec nous mercredi ?
L : Oh, j’veux pas m’incruster…
E : Non mais c’est pas un souci, y a juste un autre pote qui sera là donc c’est vraiment pas un problème je t’assure.
Je me tourne vers Jules pour voir s’il est d’accord également. Il me fait de rapides signes de la tête de haut en bas pour me dire d’accepter.
L : Bon ben ça marche.
Étienne nous quitte finalement en nous serrant la main à tous les deux.
Je vais m’installer au bureau de Jules et suis vite rejoint par mon petit protégé. Sa chemisette est rentrée dans son pantalon et je ne peux m’empêcher de regarder les reliefs que m’offrent son entrejambe juste avant qu’il ne s’assoie.
T’as l’air d’avoir un beau petit paquet quand même. Ton retard de croissance n’a peut-être pas touché cette zone-là…
Nous reprenons ensemble les bases des probabilités. Jules est assez logique donc comprend relativement vite.
Mais qu’est-ce que tu peux bien foutre en cours pour être autant à la ramasse vu les facilités qu’tu as ?
Au milieu d’une explication, Jules m’interrompt.
J : Euh… Tu voulais peut-être y aller avec ta copine à la piscine au fait ? C’est pas du tout un problème si elle vient…
L : Non, non, je suis célibataire. Donc je viendrai seul...
Allez, enchaîne Lucas, c’est le bon moment pour savoir !
L : Et toi ? Une copine ?
J : Non, non, y a pas de risque…
« y a pas de risque » ? Qu’est-ce que ça veut dire ça ? Tu penses ne pas plaire du tout ? Ou…
J : Oh excuse-moi, on était en plein exo et je t’ai interrompu… On termine ?
Nous finissons finalement la lecture de son cours sans nouvelle digression.
L : Donc on se retrouve mercredi ?
J : Oui, oui, 15 heures à la piscine thermale.
L : Parfait. De toute façon, si j’ai un problème, je t’enverrai un texto… Mais j’ai pas ton numéro de portable par contre…
J : Euh… Ben en fait, j’ai pas de portable… Oui, je sais, ça surprend mais bon… J’ai pas trop l’choix… Donc tu téléphones ici si y a un souci.
L : Ok, on fait comme ça. Passe une bonne fin de journée mon p’tit Jules.
Oh putain quel con ! « mon p’tit Jules » ! T’avais qu’à lui rouler une pelle tant qu’tu y étais ! Et puis, lui rappeler qu’il est petit alors qu’il doit être déjà vachement complexé par sa taille, c’est d’une délicatesse… Conclusion : Lucas, t’es vraiment con !
J : Toi aussi. A mercredi…
Bon, il n’a pas l’air d’avoir tiqué ou de l’avoir mal pris, c’est déjà ça…