Note de la fic :
Cours (très) particulier
Par : mintoi
Genre : Sayks, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 8 : Retour nocturne
Publié le 16/10/2011 à 19:54:59 par mintoi
Chapitre 8 : Retour nocturne
Dans l’obscurité de la nuit nancéenne, je me dirige à nouveau vers le quartier que j’ai quitté quelques heures auparavant.
En arrivant devant la maison des Deschamps, je m’aperçois que la lumière est éteinte dans la chambre de Jules. Une angoisse me prend.
J’espère que la dispute n’a pas dégénéré…
Mes doigts pressent finalement la sonnette et c’est Flora Deschamps, la mère de Jules, qui me fait pénétrer dans sa maison.
Et dans son fils, c’est possible ou pas ?
F : Bonsoir, Lucas. Jules est sous la douche. Il ne va pas tarder. Il m’a dit de vous demander de l’attendre dans sa chambre.
Vous êtes sûre qu’il ne vous a pas dit que je devais le rejoindre dans la salle de bains ?
L : D’accord. J’y vais.
F : Attendez Lucas. Je voulais vous parler de ce qui s’est passé tout à l’heure…
L : Oh, ne vous inquiétez pas… Dans ma famille, on s’emporte assez souvent, donc aucun problème, je vous assure...
Je lui adresse un sourire auquel elle répond fébrilement. Je gagne finalement les escaliers et entre dans la chambre vide de Jules.
Je m’assois aussitôt à son bureau et relis l’énoncé des exercices que nous devons finir.
En trois quarts d’heure, ça devrait être torché.
J’entends à l’autre bout du couloir la douche qui s’arrête et le bruit d’un rideau qu’on fait glisser le long de sa tringle. Je ne peux m’empêcher d’imaginer Jules sortir de la douche, nu comme un ver, puis saisir une serviette et se la frotter sur tout le corps.
J : Ha ben t’es déjà arrivé et prêt à reprendre ?
Je sursaute en me rendant compte que Jules est arrivé dans la pièce et je me retourne brusquement.
Jules est là devant moi. Il a enfilé un pantalon mais est toujours torse nu, une serviette blanche autour de son cou qu’il tient de ses deux mains.
J : Désolé, j’enfile un T-shirt et je suis à toi.
Oh oui, sois à moi ! Et ne t’excuse pas, t’es pas obligé d’enfiler quelque chose d’ailleurs je t’assure ! A part moi bien sûr…
Je le regarde se diriger vers sa commode et se pencher en avant pour chercher des vêtements dans son tiroir. Je vois de fines gouttelettes d’eau qui coulent dans son dos légèrement bronzé. Les gouttelettes glissent doucement le long de sa peau imberbe et douce, contournent les quelques grains de beauté qui parsèment son dos parfait jusqu’à ce qu’elles soient arrêtées par le haut de son caleçon blanc que je vois apparaître quand il se penche davantage… Il reste ainsi, les fesses tendues vers moi, pendant quelques secondes, puis se redresse tenant dans ses mains un T-shirt noir à manches courtes.
Il se tourne ensuite vers moi et tire de sa main gauche sa serviette pour la faire glisser le long de sa nuque puis la lance négligemment sur son lit.
Je peux maintenant observer à loisir son torse. Voir ses muscles finement dessinés, son ventre plat et ferme, sa taille et ses hanches fines qui m’émoustillent quelque peu et je sens bien qu’il ne faut pas que je laisse mon imagination vagabonder trop longtemps.
Concentre-toi Lucas, concentre-toi ! Alors si je prends la partie imaginaire du nombre z, je peux..
Quelques instants plus tard, Jules vient s’asseoir sur la chaise tout près de moi. Quand il bouge, je sens les effluves de son gel douche et de son shampoing qui atteignent mes narines et enivrent mes sens. Les manches courtes de son T-shirt laissent apparaître presque entièrement ses petits bras musclés et il devient très difficile pour moi de rester concentré sur ce pour quoi je suis payé.
Je finis tout de même par revenir aux exercices de mathématiques.
Au bout de plus d'une heure finalement, nous terminons son sujet et je laisse Jules seul dans sa chambre.
En bas des escaliers, sa mère m’interpelle.
F : Lucas ? Je suis dans le salon. Venez.
J’entre pour la première fois dans la pièce et voit la mère de Jules adossée à la cheminée, un verre de whisky à la main se balançant légèrement au rythme du CD de musique classique qui tourne dans la chaîne-hifi.
F : Aimez-vous Brahms ?
L : Je dois bien vous avouer que mes connaissances en ce qui concerne la musique classique sont très limitées…
F : Vous n’écoutez pas de musique classique dans votre famille ? Ne bougez pas, je vais chercher mon porte-monnaie.
Elle quitte la pièce sans même écouter une éventuelle réponse de ma part et revient quelques secondes plus tard avec son sac à main.
F : Alors, vu l’heure tardive, il faudrait que vous songiez à appliquer un tarif de nuit. Tenez, voici pour les 3 heures.
Après avoir déposé l’argent dans la paume de ma main, elle fait légèrement glisser ses doigts le long des miens en me souriant…
F : Vous ne voulez pas un petit verre avant de partir ?
L : Non, non, Madame, c’est très gentil de votre part mais j’ai cours demain donc je vais rentrer.
F : Cessez les « Madame », appelez-moi Flora s’il-vous-plaît.
L : Très bien… Flora. Bon, euh… Je vais y aller. Bonne fin de soirée Ma… Euh… Flora.
F : A très bientôt…
Dans l’obscurité de la nuit nancéenne, je me dirige à nouveau vers le quartier que j’ai quitté quelques heures auparavant.
En arrivant devant la maison des Deschamps, je m’aperçois que la lumière est éteinte dans la chambre de Jules. Une angoisse me prend.
J’espère que la dispute n’a pas dégénéré…
Mes doigts pressent finalement la sonnette et c’est Flora Deschamps, la mère de Jules, qui me fait pénétrer dans sa maison.
Et dans son fils, c’est possible ou pas ?
F : Bonsoir, Lucas. Jules est sous la douche. Il ne va pas tarder. Il m’a dit de vous demander de l’attendre dans sa chambre.
Vous êtes sûre qu’il ne vous a pas dit que je devais le rejoindre dans la salle de bains ?
L : D’accord. J’y vais.
F : Attendez Lucas. Je voulais vous parler de ce qui s’est passé tout à l’heure…
L : Oh, ne vous inquiétez pas… Dans ma famille, on s’emporte assez souvent, donc aucun problème, je vous assure...
Je lui adresse un sourire auquel elle répond fébrilement. Je gagne finalement les escaliers et entre dans la chambre vide de Jules.
Je m’assois aussitôt à son bureau et relis l’énoncé des exercices que nous devons finir.
En trois quarts d’heure, ça devrait être torché.
J’entends à l’autre bout du couloir la douche qui s’arrête et le bruit d’un rideau qu’on fait glisser le long de sa tringle. Je ne peux m’empêcher d’imaginer Jules sortir de la douche, nu comme un ver, puis saisir une serviette et se la frotter sur tout le corps.
J : Ha ben t’es déjà arrivé et prêt à reprendre ?
Je sursaute en me rendant compte que Jules est arrivé dans la pièce et je me retourne brusquement.
Jules est là devant moi. Il a enfilé un pantalon mais est toujours torse nu, une serviette blanche autour de son cou qu’il tient de ses deux mains.
J : Désolé, j’enfile un T-shirt et je suis à toi.
Oh oui, sois à moi ! Et ne t’excuse pas, t’es pas obligé d’enfiler quelque chose d’ailleurs je t’assure ! A part moi bien sûr…
Je le regarde se diriger vers sa commode et se pencher en avant pour chercher des vêtements dans son tiroir. Je vois de fines gouttelettes d’eau qui coulent dans son dos légèrement bronzé. Les gouttelettes glissent doucement le long de sa peau imberbe et douce, contournent les quelques grains de beauté qui parsèment son dos parfait jusqu’à ce qu’elles soient arrêtées par le haut de son caleçon blanc que je vois apparaître quand il se penche davantage… Il reste ainsi, les fesses tendues vers moi, pendant quelques secondes, puis se redresse tenant dans ses mains un T-shirt noir à manches courtes.
Il se tourne ensuite vers moi et tire de sa main gauche sa serviette pour la faire glisser le long de sa nuque puis la lance négligemment sur son lit.
Je peux maintenant observer à loisir son torse. Voir ses muscles finement dessinés, son ventre plat et ferme, sa taille et ses hanches fines qui m’émoustillent quelque peu et je sens bien qu’il ne faut pas que je laisse mon imagination vagabonder trop longtemps.
Concentre-toi Lucas, concentre-toi ! Alors si je prends la partie imaginaire du nombre z, je peux..
Quelques instants plus tard, Jules vient s’asseoir sur la chaise tout près de moi. Quand il bouge, je sens les effluves de son gel douche et de son shampoing qui atteignent mes narines et enivrent mes sens. Les manches courtes de son T-shirt laissent apparaître presque entièrement ses petits bras musclés et il devient très difficile pour moi de rester concentré sur ce pour quoi je suis payé.
Je finis tout de même par revenir aux exercices de mathématiques.
Au bout de plus d'une heure finalement, nous terminons son sujet et je laisse Jules seul dans sa chambre.
En bas des escaliers, sa mère m’interpelle.
F : Lucas ? Je suis dans le salon. Venez.
J’entre pour la première fois dans la pièce et voit la mère de Jules adossée à la cheminée, un verre de whisky à la main se balançant légèrement au rythme du CD de musique classique qui tourne dans la chaîne-hifi.
F : Aimez-vous Brahms ?
L : Je dois bien vous avouer que mes connaissances en ce qui concerne la musique classique sont très limitées…
F : Vous n’écoutez pas de musique classique dans votre famille ? Ne bougez pas, je vais chercher mon porte-monnaie.
Elle quitte la pièce sans même écouter une éventuelle réponse de ma part et revient quelques secondes plus tard avec son sac à main.
F : Alors, vu l’heure tardive, il faudrait que vous songiez à appliquer un tarif de nuit. Tenez, voici pour les 3 heures.
Après avoir déposé l’argent dans la paume de ma main, elle fait légèrement glisser ses doigts le long des miens en me souriant…
F : Vous ne voulez pas un petit verre avant de partir ?
L : Non, non, Madame, c’est très gentil de votre part mais j’ai cours demain donc je vais rentrer.
F : Cessez les « Madame », appelez-moi Flora s’il-vous-plaît.
L : Très bien… Flora. Bon, euh… Je vais y aller. Bonne fin de soirée Ma… Euh… Flora.
F : A très bientôt…